La pédagogie Freinet
Une pédagogie qui aide l'enfant à révéler le meilleur de lui-même La pédagogie Freinet s'intéresse à l'enfant avant tout. Encadré, encouragé, mis en confiance, motivé par des activités intéressantes et créatives, il peut se développer et apprendre à son rythme. Cliquez sur les couvertures pour voir des extraits. Comment démarrer avec la pédagogie Freinet ? La pédagogie Freinet par l'exemple et la pratique9 € Des livres pour comprendre l'esprit et la méthode Freinet Expliquer la pédagogie Freinet n'est pas simple : elle est si riche ! L'un retrace le parcours de toute une vie d'école Freinet et raconte par le vécu le bonheur à l'école, tout en montrant des exemples et des réalisations : La danseuse sur un fil : Une vie d'école Freinet.
Dans l’actualité | Montessori ? Freinet ? L'école heureuse
Excellent article dans le Monde de l’éducation du 4 septembre (ci-dessous). Pour mémoire, aussi bien chez Montessori que chez Freinet, la morale ne s’apprend pas, elle se vit. Elle ne s’enseigne pas, elle se montre par l’exemple. Deux liens intéressants, avant l’article du Monde : La morale en version Freinet sur le site d’une enseignante ; Un site de ressources sur l’éducation à la non-violence. Le ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon, a annoncé lors de sa conférence de rentrée, mercredi 29 août, qu’il souhaitait développer l’enseignement de la morale laïque « du plus jeune âge au lycée ». « Une conduite irréprochable » plus importante qu’un cours, par Nicole L. D’autre part, l’enseignement de la morale laïque a une connotation trop politique. « Le professeur est déjà un vecteur d’éducation morale » par Jean-Jacques B., 60 ans, professeur de lettres en lycée en Bretagne. Des « débats philo » pour éveiller des « consciences citoyennes », par Anne B., professeure de français.
Pédagogie Freinet
Les pays avec des mouvements de l'école moderne, les associations de la pédagogie Freinet. La pédagogie Freinet est une pédagogie originale mise au point par les époux Élise Freinet[1] et Célestin Freinet fondée sur l'expression libre des enfants ; texte libre, dessin libre, correspondance inter-scolaire, imprimerie et journal étudiant, etc. Freinet parle de « techniques Freinet », et non de méthode car les techniques évoluent. Il les a décrites dans un livre intitulé Les techniques Freinet de l'école moderne (1964). Cette pédagogie s'inscrit dans le mouvement de l'Éducation nouvelle qui date de 1899, dont les divers courants (Ferrière, Édouard Claparède, Ovide Decroly, Roger Cousinet, etc.) développèrent des échanges via la Ligue internationale pour l'éducation nouvelle grâce au pédagogue suisse Adolphe Ferrière à partir de 1921. Guy Avanzini indiquait en 1972 que « le pourcentage de praticiens Freinet n'avait probablement jamais atteint 5 %[2] ». Élaboration[modifier | modifier le code]
Jean Piaget
Jean Piaget en 1967-1968. Jean Piaget, né le 9 août 1896 à Neuchâtel et mort le 16 septembre 1980 à Genève, est un biologiste, psychologue, logicien et épistémologue suisse connu pour ses travaux en psychologie du développement et en épistémologie à travers ce qu'il a appelé l'épistémologie génétique (ou structuralisme génétique). Ses travaux apportent un éclairage sur l'« intelligence », comprise comme une forme spécifique de l'adaptation du vivant à son milieu, sur les stades d'évolution de celle-ci chez l'enfant et sa théorie de l'apprentissage. Cet éclairage exercera une influence notable sur la pédagogie et les méthodes éducatives[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Jean Piaget est le fils aîné d'Arthur Édouard Piaget (1865-1952), professeur de littérature médiévale, et de la française Rebecca Susanne Jackson (1872-1942)[2], fille de William Fritz Jackson (petit-fils de James Jackson). Son intérêt pour les mollusques se développe après l'adolescence. Estimations :
Edupunk
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Edupunk est une méthode d'enseignement et d'apprentissage. Cette méthode se définit comme une approche de l'enseignement qui évite les outils traditionnels tels que PowerPoint et le tableau noir, et vise plutôt à amener l'attitude rebelle et le comportement Do it yourself des groupes punks des années 1970, au sein même de la classe[1]. Histoire[modifier | modifier le code] Ce néologisme a été utilisé pour la première fois le 25 mai 2008 un bloggeur du nom de Jim Groom[2] fit la couverture moins d'une semaine plus tard du Chronicle of Higher Education (en). L'Edupunk est né en opposition aux efforts du gouvernement et des entreprises de cadrer les nouvelles technologies à l'emporte pièce dans des applications bien définies, de manière similaire aux idéologies punks[4]. Principes[modifier | modifier le code] La réaction face à l'influence des entreprises sur l'éducation est une partie seulement de l'edupunk. Portail de l’éducation
Connectivisme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sugata Mitra a mené une étude durant dix ans et démontre que les enfants sont capables d'apprendre (de coapprendre), seuls, sans professeur, c'est-à-dire par eux-mêmes avec un ordinateur, internet et/ou des supports de cours. Il conclut que l'éducation est un système qui s'auto-organise et où l'apprentissage est le phénomène émergent[2],[3]. Donald G. Perrin, directeur de rédaction à l'International Journal of Instructional Technology and Distance Learning dit de la théorie qu'elle « combine les éléments pertinents de nombreuses théories d'apprentissage, des réseaux sociaux et des technologies afin de créer une théorie solide pour l'apprentissage à l'ère numérique »[1]. Principes du connectivisme[modifier | modifier le code] Un aspect du connectivisme est l'utilisation d'un réseau composé de nœuds et de connexions comme métaphore centrale de l'apprentissage[7]. Principes essentiels[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia :
Apprentissage par enquête et Pédagogie inversée |
«C’est le rôle de la prospective que de ne pas minimiser les tensions et les dangers futursau nom d’un optimisme de convention. Mais l’anticipation se veut aussi une incitation à l’action. En cela, elle ne saurait non plus céder au pessimisme.»Vers les sociétés du savoir, Rapport mondial de l’UNESCO, 2005 Dernièrement, une personne dans mon entourage professionnel m’a fait grandement réfléchir à propos de la grande importance que l’on accorde en éducation au spécialiste, à l’expert à qui on accorde le monopole du savoir. On aura pu constater, il y a quelques mois, dans le cadre du débrayage des étudiants, à quel point cette notion est aussi amplement ancrée dans le paysage médiatique. Qu’on ne se méprenne pas! C’est ici que la notion de partage d’expertise et de réelle interactivité prend toute son importance. Comme l’a avoué si candidement Mark Prensky lors d’une présentation récente, Conférence Natif du numérique : «D’où viennent mes idées? Cliquer sur l’illustration pour l’agrandir
18 vidéos sur les nouvelles pédagogies