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Détroit, laboratoire du monde d'après le néolibéralisme - Décroissance forcée

Détroit, laboratoire du monde d'après le néolibéralisme - Décroissance forcée
Des trottoirs et des parkings vides longent les vastes avenues. Une enfilade de magasins aux rideaux baissés quadrille le centre-ville de Détroit, berceau de l’industrie automobile américaine. Les banderoles « à vendre » et « à louer » se succèdent sur les façades des bâtiments. 80 000 logements seraient abandonnés, soit près de un sur cinq. « Pendant les soixante-dix dernières années, les habitants de Détroit ont cru à tort que leurs vies étaient liées à General Motors, Ford et Chrysler, explique Maureen Taylor, militante depuis des années dans la lutte contre la pauvreté. Exode urbain Empruntant l’autoroute qui traverse la ville d’Est en Ouest, Peter Landon s’arrête sur la bande d’arrêt d’urgence, au sommet du pont enjambant Red-River. En 2008, Détroit a perdu près de 70 000 emplois. Mouvement ouvrier : du compromis à la déroute Près des chantiers navals, dont il ne reste qu’un monument commémoratif, nous rencontrons l’amie de Peter, Wendy Thompson. Ségrégation et décroissance forcée Related:  Décroissance forcée / voie non durable

Getting to One-Planet Living Worldwatch Institute’s State of the World 2013 explores new ways to measure sustainability and live within our planet’s boundaries Washington, D.C. —As the world continues down the path of unmitigated and unsustainable development, it is becoming increasingly clear that we have successfully pushed ourselves out of the stable geological era of the Holocene and into the more volatile and unpredictable Anthropocene. In State of the World 2013: Is Sustainability Still Possible? According to Ecological Footprint studies, humans have already overshot the planet’s ecological capability by about 50 percent. “If ‘one-planet’ living is the goal, then lifestyle choices will obviously have to entail more than recycling programs and stay-at-home vacations,” said Jennie Moore, Director of Sustainable Development and Environmental Stewardship at the British Columbia Institute of Technology, and also a contributing author. Examining Planetary Boundaries. Incorporating Social Boundaries.

De la cannelle contre Alzheimer Deux molécules présentes dans la cannelle empêchent l’agrégation des protéines Tau, un phénomène caractéristique de la maladie d’Alzheimer. La cannelle, connue depuis des millénaires pour ses propriétés médicinales, pourrait ralentir l’apparition de la maladie d’Alzheimer. C’est une des conclusions de travaux réalisés in vitro à l’université de Santa Barbara et publiés en ligne dans Journal of Alzheimer’s Disease . La cannelle est produite à partir de canneliers Cinnamomum zeylanicum pour la cannelle de Ceylan (de meilleure qualité et plus chère), et Cinnamomum cassia , pour la cannelle de Chine. Deux substances de la cannelle sont intéressantes du point de vue médical : l’ aldéhyde cinnamique (ou cinnamaldéhyde), qui donne l’odeur caractéristique de la cannelle, et l’ épicatéchine . La maladie d’Alzheimer est la forme de démence la plus répandue. Pour comprendre le stress oxydatif La cannelle n'est pas la seule épice à présenter un intérêt pour la maladie d'Alzheimer. Source

Bien manger, mais à quel prix ? Avec 58 milliards d'euros par an, les subventions accordées à l’agriculture représentent le deuxième poste budgétaire le plus coûteux de l’Union européenne. Les intentions de départ étaient vertueuses : aider les petits agriculteurs, stabiliser les prix alimentaires, assurer les approvisionnements et favoriser les exportations. Quelques décennies plus tard, la situation est catastrophique. Les documentaristes ont mené une enquête approfondie sur l’attribution des subventions, notamment en matière de production de lait, de pêche et de fabrication du pain.

Growth Is Not Just One Thing How do we resolve this dilemma: the human spirit is tremendously expansive, potentially vast, greatly powerful–and yet the chorus of environmental consciousness these days is that growth is not good. That the concern with prosperity is flawed. That riches are bad. Well, then, what must we do with this immense power and capacity and the imagination to dream that is a part of being human? So what is the matter? These may be simple questions, but these are not reductionist questions. It occurred to me one day that growth, which is held as such a concern and metric of well-being that we cannot even imagine considering an alternative, may be redefined. Why are nations, for instance, afraid to put a pause on their space missions and geographic expansion, and take time out to care for their own people, while letting another nation take up the task of imagining and inventing? Why, in short, are we holding on to one construct, a single construct, that happens to have only one dimension, too?

Vivre sans argent : à la conquête des villages abandonnés… Enfin une belle idée pour sortir du système!!! Enfin un projet intéressant!!! Maintenant, si des personnes connaissent des lieux abandonnés qui ne demandent qu’à revivre, on attend vos propositions! Mahamo : Qui n’a jamais eu envie de tout plaquer et de partir loin ? Le jardin de Uli-AltoEn attendant de se nourrir majoritairement de sa production, Uli se nourrit de ce que « Babylon » considère comme jetable. La recette de Incredible Edible pour booster l'économie locale Donner plutôt que vendre : tel est le crédo du mouvement Incredible Edible (Les incroyables comestibles en français). Né en 2008 en Angleterre, cette organisation développe des potagers en libre-service qui font des émules partout dans le monde, la France y compris. Comment ça marche ? Quel est l’impact pour l’économie locale, les maraîchers locaux, et les marchands de légumes? Article originalement publié sur le site de Incredible Edible. En fait, la réponse est simple. Food to share. Avec ce nouveau regard et cette nouvelle façon d’agir individuellement et collectivement, il y a un changement complet du cadre initial qui offre de nouvelles perspectives inédites. Du coup, chacun agit différemment dans son quotidien par la conscience qu’on est co-responsable et donc co-créateur du tout, c’est à dire de l’ensemble du système, de l’ensemble de la communauté locale. Le cas de l’apiculteur local Prenons un exemple concret pour illustrer la façon dont le changement s’opère.

David Holmgren : les quatre scénarios de la décroissance David Holmgren n’est pas un inconnu dans le monde de l’écologie et de la soutenabilité. Cet australien né en 1955 a été avec Bill Mollison l’inventeur du concept de Permaculture. Son premier ouvrage Permaculture One, basé sur les travaux de l’écologue américain T. Dans ce petit livre d’environ 120 pages, David Holmgren examine notre avenir à la lumière de la situation écologique présente. La techno-explosion prévoit une croissance indéfinie de notre richesse matérielle et de notre capacité à surmonter les contraintes environnementales. Holmgren n’écarte pas à priori l’effondrement mais le juge peu probable. Il récuse également les scénarios de la techno-explosion et de la techno-stabilité. Cela le conduit donc à se pencher sur le plus impopulaire des scénarios : la descente énergétique. Les facteurs déterminants : le changement climatique et le pic énergétique Le changement climatique a bénéficié d’une large médiatisation. Holmgren passe plus de temps sur le problème du pic énergétique.

Open Source Seeds Licence : une licence pour libérer les semences Les principes de l’Open Source s’étaient déjà propagés à des domaines relativement éloignés du logiciel, comme celui de l’Open Hardware ou de l’Open Design. Mais le projet Open Source Seeds propose un modèle de contrat pour placer des graines sous licence libre. Rice grains. Par IRRI Images. A première vue, l’idée peut paraître assez incongrue, car on voit assez mal ce que les semences peuvent avoir en commun avec les logiciels et pourquoi elles auraient besoin des licences libres. Une forme de copyleft « vert » est-il possible pour que les graines demeurent des biens communs ? Lutter contre l’appropriation des semences Face à ces formes d’appropriation du vivant par la propriété intellectuelle, il existe tout un mouvement qui se bat pour que les semences demeurent « libres ». Pour ne s’être pas pliée à cette réglementation, l’association Kokopelli a été poursuivie en justice et lourdement condamnée en 2012. Les semences comme biens communs ? Copyleft wallpapers. J'aime : Sur le même thème

fabriquer des bombes de graines Nous vous en parlions lors du premier volet de ce petit dossier, les bombes de graines, ou “seed bombs” ou “seed grenades” ont été utilisées (et nommées) la première fois par Liz Christy en 1973 quand on commencé à NYC les premières actions de Green Guerrilla destinées à re-végétaliser les espaces urbains inhospitaliers. Au tout début, ces armes de refleurissement massives étaient fabriquées à partir de préservatifs, de graines de fleurs sauvages et d’un mélange d’eau + engrais (ci dessous, la première recette des seeds bombs). Depuis , du chemin a été parcouru, et les seed bombs utilisées aujourd’hui s’inspirent d’une technique empruntée au japonais Masanobu Fukuoka (décédé en 2008) et père de l’agriculture du “non-agir”, encore appelée agriculture naturelle ou permaculture (nous y reviendrons dans le 3è volet de ce dossier). Toute bonne seed bomb est composée : d’un mix de grainesd’1/3 de lombricompostde 2/3 d’argile Etape 1 : mélangez le 2/3 - 1/3 d’argile et de lombricompost

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