Identifiez le sens des 9 types d’objections Loin d’être un frein, les objections rencontrées au cours du processus de la relation dessinent l’attitude de l’interlocuteur et son orientation. L’objection exprime un type de résistance et nous allons décrypter son intention. Dans la série « Les 9 clés de la Personnalité » article 24/41 Les origines des objections La résistance aux idées de l’autre est un processus naturel de défense. Ce peut-être un jeu, un challenge, la valorisation de soi, tester les limites et les compétences de l’autre. Toute conviction comprend une part de vérité, issue de nos croyances et de notre vécu, et des émotions que nous avons déjà traversées. Il est donc indispensable pour comprendre l’objection de décoder quelle fonction est en jeu. Le cerveau, source de l’objection Il faut chercher dans le fonctionnement des trois cerveaux reptilien, limbique et cortex la création des objections. Le cerveau reptilien assure les moyens de survie et la protection du territoire. Les 9 types d’objections. Rire et pleurer
Toxiques relationnels Chacun connaît, sans aucun doute, la situation suivante: on se trouve en compagnie d’une ou plusieurs personnes. Tout va bien, chacun se sent bien, l’atmosphère est sereine, les échanges harmonieux. Mais tout d’un coup, on ressent que «quelque chose ne va pas». Nous utilisons l’expression «toxique relationnel» pour désigner tout comportement qui empoisonne les relations. Cette liste, sans ordre apparent, en a quand même un: vers le haut de la liste, se trouvent les comportements que l’on est censé éviter très tôt dans la vie — on apprend aux enfants de 6–7 ans à ne pas se moquer, ne pas mentir, etc. Implications Il est de toute manière intéressant de poursuivre l’objectif «zéro toxiques relationnels». L’objectif «zéro toxiques relationnels» est compatible — et cohérent — avec les principes qui sous-tendent la communication non violente. Chacun est responsable de ne pas émettre [trop] de toxiques relationnels. de se protégerde limiter l’exposition, autant que possible. Nous y reviendrons.
«Je voudrais qu’il comprenne…!» Que de fois n’ai-je pas entendu cette petite phrase! Vous aussi, sans aucun doute. Peut-être vous arrive-t-il de la dire ou de la penser. Eh bien, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous. La mauvaise nouvelle, c’est que si vous vous trouvez dans une situation où vous «voudriez qu’il ou elle comprenne», c’est pratiquement garanti qu’il ne comprendra jamais ce que vous voulez qu’il comprenne. La bonne nouvelle, c’est que quand vous aurez compris pourquoi, vous pourrez renoncer à cette attente et que vous en éprouverez un immense soulagement. C’est bien facile de dire «je voudrais qu’il comprenne». (a + b)^2 = a^2 + b^2 + 2 a b Est-ce que tout le monde comprend ça? Tout d’abord, il faut connaître la notation algébrique. Ensuite, pour comprendre ce que a^2 signifie, il faut savoir que cela signifie «a à la puissance 2» ou «a au carré», ce qui veut dire «a fois a». Bien. Est-ce que tout le monde va comprendre en 30 secondes? Quelques exemples assez typiques
Marie Andersen - Couper la poire en deux Retour à la liste des articles Couper la poire en deux est une option souvent proposée lorsqu’un conflit oppose deux personnes qui ont des désirs divergents. Souvent, c’est la solution du bon sens, la « voie du milieu » diront les adeptes des philosophies orientales Il y a eu malentendus, négociations embrouillées, erreurs des deux côtés ou intérêts différents et l’issue qui semble finalement limiter la casse sera de transiger en choisissant une solution qui n’est certes pas parfaite, mais qui ne lèse profondément ni l’un ni l’autre. Cependant, il existe maintes histoires où l’on sent bien que la poire en deux n’est pas saine, n’est pas la meilleure voie et que sous l’allure d’un compromis apparemment équitable, elle recèle sa dose de perversion, de manque de clarté, de raisonnements tordus ou diffuse un relent d’injustice qui nous ramène à la loi du plus fort. Certains conflits, qui ne peuvent se résoudre de cette manière, sont de l’ordre du Jugement de Salomon. Réagir à cet article
Marie Andersen - Bien communiquer - La méthode 0-1-2 ! Retour à la liste des articles Petite méthode simple, pour apprendre à communiquer des choses difficiles à quelqu’un qui n’est pas nécessairement disposé à les entendre… Tout le monde connaît cette situation, tout le monde a déjà vécu quelques échecs de communication, un message qui nous revient en boomerang dans les gencives ou au contraire qui tombe avec un son caverneux au fond d’un précipice d’indifférence, une conversation qui tourne en règlement de compte, en accusations croisées, en portes qui claquent… Analysons comment nous nous y prenons : A est l’émetteur du message et B le récepteur. C’est donc A qui est le demandeur de cette communication, qui est en principe motivé, ce qui explique dans la démonstration qui va suivre, que c’est A qui fait l’effort de la remise en question. La situation qui va être analysée est celle d’un émetteur motivé, peu importe que le récepteur le soit ou non, donc « A vers B » ou « A vers b ». Le niveau 0 (zéro) : Le niveau 1 : Le niveau 2 : Bonne chance !
Communication: le « on » qui a mal à son « je »/ »nous » Ce « on » délicieusement vague, masque flou derrière lequel se cache l’indéterminé polymorphe : singulier ou pluriel, sans genre et sans risque, merveilleusement non discriminant, déresponsabilisant, indubitablement politiquement correct, à la neutralité presque luxembourgeoise, il a le défaut de ses qualités: il ne dit pas ce qu’il veut dire… Nous avons tendance à sous-estimer l’impact des mots que nous utilisons. Pourtant, nos choix sémantiques et syntaxiques sont le reflet de nos modes de fonctionnement, en particulier émotionnels et relationnels et de notre perception de la réalité. Ils sont donc des moyens d’améliorer la connaissance de soi au travers de la valeur du mot choisi. Et pendant lorsque le on s’exprime, ce sont le je et le nous qui souffrent, faute d’avoir le droit d’exister, muselés, rejetés dans les corbeilles à vider de notre ordinateur interne, mis au rebut des possibilités sémantiques. – Bon, on fait comme on a dit, hein les gars?
5 astuces psychologiques simples et efficaces pour vous aider à mieux draguer Saint Valentin oblige, j’ai reçu plusieurs questions via le formulaire de contact concernant les déclarations d’amour et la séduction. Il serait idiot de penser que l’amour se calcule de façon complètement psychologique. Cependant, de l’empathie combinée à de la psychologie vous permettra de capter et d’influencer la sensibilité des gens qui vous entourent. Voici donc 5 astuces purement psychologiques qui vous aideront à mieux séduire l’élu(e) de votre cœur 1) Pénétrez sa zone intime Les psychologues ont défini 4 zones virtuelles qui nous encerclent : La zone intime. Des dizaines de chercheurs ont testé et retesté ce phénomène lors d’expériences bien calculées : le fait de s’introduire avec douceur dans la zone intime d’une personne multiplie considérablement sa sympathie et sa confiance à votre égard. Il n’est pas la peine d’avoir fait de longues études pour deviner qu’une intrusion dans la sphère intime d’une personne de façon brutale créera immédiatement l’effet inverse. Bonne chance !
Comment saboter la communication Comment saboter la communication ? Guide du petit pervers. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. Y.A.Thalmann Le défi de remplacer la négation L'inconscient n'entend pas la négation, le cerveau humain doit faire un "travail" pour reconstituer le sens d'une phrase qui contient un "ne...pas". Si je vous demande maintenant de ne surtout pas penser à un éléphant rose, il y a de grandes chances que la première chose qui apparaisse à votre esprit soit...un éléphant rose ! Ce qui est vrai pour les adultes l'est encore plus pour les enfants. Voilà ce qu'on lit souvent. C'est extrêmement compliqué pour un enfant de décrypter la phrase puis d'y ajouter la consigne "ne pas". Je me suis donc lancée comme défi de remplacer la négation quand je m'adresse à Tom. A chaque envie de dire : "non, ne jette pas ça par terre", lui proposer un "je te le donne mais tu le gardes dans ta main". A ceux qui me raillent en disant : "ça marche pas ton truc, il le fait quand même...que tu utilises la négation ou pas". Tout ça suffit à me convaincre, je me lance jusque fin août, je relève le défi de changer d'habitudes et de formuler mes phrases en positif.
Et si on calmait le jeu ? - J'aime l'EFT On a vu dans « Ces discussions qui tournent mal »pourquoi certains sujets déclenchent si facilement des débats houleux. La question est alors : comment éviter d’en « rajouter » ? Quand dans une discussion, notre interlocuteur commence à s’énerver, c’est signe qu’il se sent mis en cause personnellement. Son amygdale perçoit donc la situation comme dangereuse. Alors : - Son Cerveau rationnel n’est plus aux commandes, donc il est impossible d’espérer une discussion constructive dans ce contexte. - Son Cerveau émotionnel va mettre en action de très vieux programmes d’auto-défense : se raccrocher à des idées toutes faites, et / ou passer à l’attaque. - Il risque donc de devenir de plus en plus désagréable. - Et à moins d’être un modèle de douceur et de calme, on peut très vite devenir aussi désagréable que lui. Donc : STOP. Je le redis : vous aurez droit à ce que disaient son Papa et sa Maman quand il avait trois ans, et vous n’allez pas tarder à faire la même chose…. Que faire, alors ?
Les conditionnements induits par « fidélité » au groupe - J'aime l'EFT On a fait connaissance (dans l’article L’apprentissage du mépris. Haïr par amour.) , de cet étrange groupe social, les Machin-Trucs, soudés par leur système de valeurs, qui comporte la dévalorisation des "Je-ne-sais-qui". Tout en lisant, des images vous ont peut-être traversé l’esprit : ah oui, les Machin-Trucs c’est des racistes, c’est tel parti politique, c’est la finance internationale qui méprise le reste du monde, c’est les intégristes de telle ou telle religion, etc. Non : les Machin-Trucs, ce n’est personne en particulier : seulement des gens appartenant à un même groupe social, avec ses valeurs, proches ou non des nôtres, peu importe. Les Machin-Trucs, c’est nous ? Nous avons tous nos "Je-ne-sais-qui", logés quelque part dans notre subconscient, des gens que nous critiquons sans même nous en rendre compte, que nous évitons "instinctivement", qui "nous agacent". Les ennemis des Machin-Truc ne sont pas toujours aussi faciles à reconnaître que dans l’histoire du gentil "Toto Truc".
La bioenergie pour tous Il y a plus de choses dans le ciel et sur la terre que n’en rêve votre philosophie. Shakespeare Qu’est-ce que la bioénergie ? D’où provient la bioénergie de notre corps ? Comment se protéger des vampires d’énergie ? Comment savoir si une discussion a provoqué ou non un “ dommage énergétique ” ? Le traitement par la bioénergie n’est pas une mode de ces dernières années. Qu’est-ce que la bioénergie ? Même les “ académiciens ” et les “ matérialistes ” pourraient être convaincus de son existence. D’où provient la bioénergie de notre corps ? De diverses réactions biochimiques s’opérant dans notre organisme et qui trouvent leur base dans la nourriture et l’air ; de l’information génétique héritée de nos parents ; de différentes influences sentimentales et esthétiques qui nous touchent lorsque nous communiquons avec d’autres personnes, lorsque nous écoutons de la musique, nous lisons, nous assistons à une exposition ou à un événement sportif. 7. Comment se protéger des vampires d’énergie ?
Les 4 règles essentielles d'une communication orale réussie Sharebar Vous avez peur du regard de l’autre, la peur du jugement ? La peur vous empêche d’exprimer ce que vous avez de plus profond en vous. Quand vous êtes face à un auditoire, face à un recruteur, face à une caméra, quatre choses sont essentielles pour réussir votre communication orale. Prise de parole en public réussie * Souriez ! Oh pas un sourire mécanique ou commercial, qui ne fera aucun effet. Non je vous parle du vrai sourire celui qui vient de votre coeur, de vos tripes, de votre passion. Si vous avez développé un projet, vous avez inévitablement créé quelque chose qui vous passionne et vous avez des choses à dire sur ce projet. Alors tournez-vous vers votre intention: que voulez-vous faire ? Le plaisir de la faire doit être constamment présent. * Soyez enthousiaste ! Si vous vous ennuyez à l’idée de parler (ie de présenter votre projet, votre candidature, ..) et de partager vos idées, alors n’y allez pas, vous avez perdu d’avance. * Soyez convaincu ! * Respirez !