A sceptical review of Chris Anderson’s Makers Excerpted from David Rotman: “What kind of future might the maker movement bring us? Anderson envisions it could mean that “Western countries like the United States regain their lost manufacturing might, but rather than with a few big industrial giants, they spawn thousands of smaller firms picking off niche markets.” The problem with this thesis is that Anderson makes little effort to explain how a community of creative and enthusiastic individuals or small startups might give rise to an industrial movement capable of transforming and revitalizing manufacturing. Anderson’s prediction that many consumers will move away from cheap mass-produced goods to the work of “industrial artisans” could someday come true. Perhaps most damning for his ambitious claims about the impact of the maker movement, Anderson has little interest in how most things are actually manufactured. This is frustrating, because the way we make things in the United States is in desperate need of revitalization.
Comment mettre en place une politique du bonheur ? La voie danoise Une jeune femme sur un vélo public, auprès d’un garde royal du palais d’Amalienborg, à Copenhague Meik Wiking est le directeur de l’Institut de recherche sur le bonheur (Institut for Lykkeforskning). Début 2014, ce think tank danois, fondé par lui l’an passé, a publié son premier rapport sur les raisons du bonheur relativement important des habitants du Danemark [PDF]. Ex-directeur international de Monday Morning (Mandag Morgen) – un autre cercle de réflexion danois, spécialisé dans le développement durable –, Meik Wiking est actuellement engagé dans de nombreux projets de mesure du bonheur et d’amélioration des politiques publiques, en partenariat avec des villes et ministères du Danemark. Rue89 : Pour quelles raisons avoir mis en place ce think tank ? Making of L’entretien a été réalisé en anglais et traduit par Xavier Landes, chercheur en philosophie à l’université de Copenhague. Certains demeurent réticents quant au principe de « politiques du bonheur ». Oui et non.
Les sept erreurs qui tuent la crédibilité d'un leader Un manager doit être capable de s'autogouverner et de rester aligné, dans ses comportements et dans ses paroles, avec sa fonction. Il lui faut acquérir assez de hauteur et de recul sur les situations pour être écouté, suivi et respecté. A défaut, il se décrédibilisera dans l'entreprise. 1. Courir dans les couloirs en proclamant "je suis débordé(e)", "je suis sous l'eau". >> A faire. 2. Le chef du département mitoyen a fait un stage "super" sur la gestion de l'imprévu et votre confrère de la PME d'en face aussi. >> A faire. 3. "Vous permettez que je vous cite les chiffres exacts ?" >> A dire. 4. De peur d'être considérés comme ringards, certains managers adoptent des expressions "à la mode" (qui parfois ne le sont plus...) ou des looks dans l'air du temps. >> A faire. 5. Dire "non" à son patron est délicat. >> A dire. 6. Dans votre bureau, les livres débordent des rayonnages. >> A faire. 7. Un supérieur vous provoque ? >> A dire."
Four Scenarios for the Collaborative Economy Two scenarios are “for profit oriented” and two scenarios are “for benefit” oriented, which one do we choose? Watch the video here, explanations below: This mini-essay attempts to simplify possible outcomes by using two axes or polarities which give rise to four possible scenarios. The first axis concerns the polarity of centralized versus distributed control of the infrastructure, whereas the second axis relates a orientation towards the accumulation or circulation of capital versus an orientation towards the accumulation or circulation of the Commons. The four quadrants of future scenarios. Netarchical Capitalism We define as “netarchical capitalism” the first combination (upper-left) which matches centralized control of a distributed infrastructure with an orientation towards the accumulation of capital. Distributed Capitalism The second combination, (bottom-left) called “distributed capitalism”, matches distributed control but with a remaining focus on capital accumulation. Global Commons
Chez les « intellos précaires », un travail qui prend tout le temps Ils sont scénaristes, chercheurs en sciences humaines, diffuseurs de spectacles, éditeurs, psychanalystes, traducteurs, assistants dans la mode, formateurs, journalistes pigistes, consultants pour les entreprises, plasticiens, graphistes, enseignants dans l’enseignement supérieur, musiciens, etc. Certains – très diplômés, disposant de qualifications précieuses et de compétences très recherchées – réussissent à en vivre ; beaucoup doivent jongler avec plusieurs métiers et exercer des activités alimentaires pour espérer s’en sortir. Tous se retrouvent aux marges de la norme de l’emploi salarié, constituée au cours du XXe siècle ; quelques-uns ont des contrats de travail en tant que tels (CDD) ; beaucoup peuvent être indépendants, autoentrepreneurs, vacataires, bénévoles, travailleurs au noir, sous statut de portage salarial, etc. Bon nombre d’entre eux doivent recourir aux indemnités de chômage ou aux minima sociaux. Qui sont donc les «intellos précaires» ? repères
Dix «nouveaux» métiers qui bouleversent le monde du travail Le réseau professionnel LinkedIn a répertorié dix métiers qui se sont imposés massivement en à peine cinq ans… Du spécialiste des «datas» au professeur de zumba ! Les nouvelles technologies sont, déjà depuis plusieurs années, un des facteurs essentiels de la profonde mutation que traverse le monde du travail: des métiers aux appellations alternatives, parfois difficilement compréhensibles pour les générations plus anciennes, de nouveaux domaines de compétences qui ne cessent de se développer (et d'être demandés)… Le réseau professionnel LinkedIn a répertorié dix métiers qui se sont complètement imposés sur le marché du travail alors qu'ils existaient à peine il y a tout juste cinq ans: data scientist (spécialiste des «datas», ou «données»), consultant en social media… mais aussi professeur de zumba ou coach «beachbody»! Pas seulement des métiers liés au Web et aux nouvelles technologies. «Ce qu'il faut retenir de cette infographie, ce sont les bases qu'elle établit.
A Strategy for & around the Commons We often think of the commons as shared assets, whether elements of our environment such as forests, the atmosphere, oceans, space, rivers, lakes, fisheries or grazing land, or emerging digital and cultural resources such as the internet or Wikipedia. Commons are usually characterized as resources, natural or social, tangible or intangible that must be kept abundant; collaboratively governed by the communities and networks that produce or use them and have a stake in keeping them sustainable for their own livelihood and for posterity. Commons, commoning and commoners are three key elements that work together, and make up what characterizes the commons. Beyond this traditional definition, most of us who are actively seeking to create a world where people and nature can thrive are actually nurturing a piece of the commons. > > > We have elaborated on this here - and there.
RAPPORT SUR L’ÉCONOMIE CRÉATIVE DES NATIONS UNIES 2013, ÉDITION SPÉCIALE Le Rapport présente un état des lieux de l'économie créative au niveau local dans les pays en développement. Il est publié conjointement par l'UNESCO et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) par le biais de son bureau des Nations Unies pour la coopération sud-sud. Le Rapport est organisé en deux volumes : un rapport sur les politiques et un web-documentaire qui présente de manière vivante des cas pratiques, les tendances,, les opportunités et les défis de l’économie créative sur le terrain. Le Rapport confirme que l’économie créative est l’un des secteurs de l’économie mondiale qui connaît la croissance la plus rapide, ainsi qu’un secteur hautement transformateur en termes de production de revenus, de création d’emplois et de recettes d’exportation. Mais elle n’est pas que cela. Galerie photos
Top 10 des métiers qui n'existaient pas (ou peu) il y a 5 ans Avec l’apparition du web et le développement des nouvelles technologies, de nouveaux débouchés sont apparus. Des métiers que l’on n’aurait pas imaginé il y a encore quelques années sont apparus, d’autres ont évolué pour changer de forme et s’adapter aux nouveaux outils. Et avec l’arrivée des profils en ligne et notamment des réseaux sociaux professionnels, on est plus exposé que jamais à ces titres fraîchement inventés. LinkedIn s’est amusé à analyser les intitulés de métiers de 259 millions de membres et à les comparer à ceux existants sur le site il y a 5 ans pour en savoir plus. Développeur iOSDéveloppeur AndroidCoach de ZumbaStagiaire en médias sociaux (sic)Analyste de donnéesUI/UX DesignerArchitecte des données (Big Data Architect)Beachbody coachSpécialiste du Cloud computingSpécialiste du marketing digital
Rendre autonome la production entre pairs Dans cet article nous décrirons d’abord simplement la mécanique de création de valeur de la production entre pairs, ainsi que le système institutionnel qui émerge autour, pour ensuite voir comment ce système s’insère dans l’économie politique du capitalisme. Enfin nous examinerons s’il est possible de sortir ce système émergent de cette interdépendance, afin de rendre son processus de reproduction "autonome". La question sous-jacente étant : la production entre pairs peut-elle être plus qu’un simple adjoint du capitalisme ? La production entre pairs et ses institutions La production entre pairs regroupe tout système de production de valeur ouvert à la participation de toutes personnes capables d’apporter une contribution à l’ensemble, sans besoin de permission préalable, et dont le résultat du travail collectif est mis à la disposition de toute l’humanité sous la forme d’un commun. L’imbrication du système de production entre pairs dans le capitalisme Michel Bauwens