Écotaxe : un 5e portique détruit en Bretagne, à Lanredec dans les Côtes d'Armor
ÉCONOMIE - Un nouveau portique écotaxe a été détruit en Bretagne, dimanche à Lanredec dans les Côtes d'Armor, sur la quatre-voies reliant Saint-Brieuc à Brest, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Le portique s'est effondré après que des manifestants coiffés de bonnets rouges y ont mis le feu, vers 15h15, a-t-on précisé. Le traffic sur cet axe majeur du nord de la Bretagne, la RN12, a été dévié. » Voir la vidéo en haut de l'article Cette action survient dans un contexte de fronde contre cette taxe sur les poids-lourds, dont le gouvernement a annoncé la suspension mardi. Elle se produit au lendemain d'une manifestation qui a réuni samedi à Quimper de 15.000 à 30.000 personnes contre l'écotaxe et pour l'emploi en Bretagne. La plupart des portiques bretons désormais gardés Il s'agit du cinquième portique visé par des manifestants ces dernières semaines en Bretagne. Une borne écotaxe incendiée dans le Nord
Panique à bord : Hollande n’a plus de politique économique
Abandonner, ajourner, annuler, abroger, capituler, céder, concéder, décaler, déplacer, différer, effacer, enlever, estomper, gommer, proroger, ralentir, reculer, renvoyer, reporter, repousser, retirer, retoquer, retarder, supprimer, surseoir, suspendre… Le vieux dictionnaire des synonymes de Matignon, corné à chaque page, ne suffit plus à fournir les éléments de langage indispensables au chef du gouvernement. En cet automne de bourrasques, une taxe annoncée est une taxe bientôt détaxée. Taxe sur l'excédent brut d'exploitation (EBE), fiscalité de l’épargne, écotaxe… Les réformes s’envolent comme des feuilles mortes. Une mauvaise saison ? Place à la dissolution ? Logiquement, la rupture intervient dans le champ économique et fiscal qui devait être le lieu même des réalisations hollandaises. Place à la convocation des Etats-généraux ?
Spéciale 11 Novembre : la guerre au jour le jour sur Facebook
EVENEMENT | France Info et la Direction des nouveaux médias de Radio France vous proposent une expérience spatio-temporelle sur Facebook : revivre la guerre au jour le jour, à un siècle de distance, avec "ceux de 14". La page, lancée ce lundi et remise à jour quotidiennement jusqu'en 2018, vous propose une plongée dans ce moment dramatique de l'Histoire, avec des témoignages, des photos parfois inédites ou des chansons de l'époque. La page Facebook France Info y était vous propose de suivre la guerre au jour le jour, pendant cinq ans. © © Leon Gimpel, coll. SFP C'est comme un écho, à 100 ans de distance. Comme si nos arrière-grand-parents, grands-parents, ou parents pour les plus anciens d'entre nous, nous chuchotaient à l'oreille quelques aperçus de leurs vies à travers une page Facebook. Une page alimentée pendant cinq ans Tous ces changements, brutaux ou progressifs, la page France Info y était s'en fera l'écho, au jour le jour, au front ou à l'arrière, en France ou à l'étranger.
Boulogne-Billancourt: des éboueurs licenciés pour refus de travailler le dimanche
Renvoyé pour avoir refusé de travailler le dimanche. Cinq éboueurs de la société Sepur, en charge de la récolte des ordures ménagères à Boulogne-Billancourt, dans les Hauts-de-Seine, ont été licenciés après avoir réclamé d'être payés le dimanche en heures supplémentaires. Leur contrat de travail prévoyait de les rémunérer 35 heures pour six jours de travail, dont le dimanche. Or, selon plusieurs salariés de l'entreprise, les 35 heures seraient dépassées dès le vendredi. "Les salariés refusent de travaillent le dimanche si la direction ne leur paye pas ce jour de travail", a réclamé Mohammed Saghir, délégué Force Ouvrière, au micro de BFMTV. Les éboueurs vont entamer une procédure aux prud'hommes Un argument réfuté par la direction, qui pointe du doigt les salariés. Les éboueurs ont décidé de contester la décision de la direction.
valie57 : Non, je n'en reviens pas !
Budget 2014 : jusqu'où ira la fronde des députés PS ?
Le week-end, entre la tempête Leonarda et la primaire mouvementée à Marseille, n'a sans doute pas contribué à améliorer l'ambiance... Après une semaine plus qu'agitée lors de l'examen du volet recettes du budget à l'Assemblée nationale, dans quel état d'esprit vont se retrouver les députés PS lundi 21 octobre à la reprise des débats ? Les coups de règles du gouvernement auront-ils réussi à endiguer la fronde d'une partie de la majorité opposée à sa politique budgétaire, jugée trop favorable aux entreprises et pas assez aux ménages ? Ou la fébrilité manifeste de l'exécutif va-t-elle donner des ailes aux voix dissonantes de la majorité? Réponse en milieu d'après-midi... De nombreux recadrages, en vain Il y a deux semaines, Jean-Marc Ayrault avait recadré le député d’Indre-et-Loire, Laurent Baumel, qui reprochait au gouvernement de laisser les députés se charger du "sale boulot". Qu'à cela ne tienne. Deux conceptions de l'exercice La fronde parlementaire n'est pas vraiment une nouveauté.