Science Folle : Au nom de la ‘géo-ingénierie’, les scientifiques délirants peuvent détruire la civilisation humaine Science Folle : Au nom de la ‘géo-ingénierie’, les scientifiques délirants peuvent détruire la civilisation humaine (NaturalNews) Le concept grotesque du « réchauffement mondial » causé par l’Homme n’est toujours pas mort, et apparemment pas plus que les méthodes dérangées d’affronter cette crise créée par l’homme que certains membres de la communauté scientifique développent. Des rapports du Royaume-Uni soulignent certaines des mesures drastiques suggérées par des apologues dévoués du changement climatique ces temps-ci, qui comprennent le largage de particules toxiques dans l’atmosphère dans le but qu’elles réfléchissent la lumière du soleil dans l’espace, par exemple, altérant intentionnellement les modèles climatiques afin de bricoler l’écologie locale et en quelque sorte induire un effet de refroidissement de masse. Que la messe soit dites, la géo-ingénierie est en opération depuis des décennies La géo-ingénierie pourrait sonner le glas de l’humanité 307Share 519Share
Le soupçon de corruption qui pollue l'écotaxe Le mot "corruption" est écrit en toutes lettres, en exergue de ce courrier peu ordinaire. Le 8 février, le président de Société des autoroutes du nord et de l'est de la France (Sanef), Pierre Chassigneux, s'adresse au Service central de la prévention de la corruption (SCPC), unité spécialisée du ministère de la Justice. Il veut révéler un événement particulièrement troublant. Candidate au marché de la collecte de l'écotaxe - qui doit être imposée aux poids lourds circulant en France à partir de 2013 -, sa société aurait été"approchée", assure-t-il. Suit cette mention plus explicite : "On lui a fait comprendre que le résultat de l'appel d'offres serait fonction de ce qu'elle pourrait accepter de "faire" ou de qui elle pourrait "gratifier"." Or le marché en question dépendait directement de l'Etat. Car le SCPC a jugé les faits assez graves pour exiger une enquête. La scène aurait eu lieu le 22 octobre 2010, soit en pleine période d'examen des offres reçues par le ministère.
Ours blancs, boisson gazeuse et ONG : un cocktail insipide -- Science et Technologie Considéré comme « espèce en voie de disparition », l'ours polaire est devenu le symbole écologique d'une lutte contre le réchauffement climatique. Curieux pour un animal dont la population a quintuplé en 40 ans Papa, Maman, Fifille et Fiston nounours blancs érigent avec entrain un bonhomme de neige en forme... d'ours blanc. Les yeux brillants, un peu humides, ils l'admirent un instant. Pourtant, quelque chose semble manquer pour compléter vraiment leur œuvre. Fondu enchaîné. WWF, comme Greenpeace, est une organisation militante écologique qui utilise toutes les armes médiatiques à sa disposition, dont la désinformation contrôlée. Quant aux ours polaires, ils sont devenus dans l'esprit populaire et bien malgré eux le nouveau symbole écologique d'une lutte contre le réchauffement climatique. Et les faits scientifiques, dans tout cela ? Il y a quarante ans, en 1973, était signé l'arrêt de la chasse non-réglementée des ours polaires. Oh, j'oubliais. Notes :
Contrat Ecomouv' : "aberrant" pour Copé, "transparent" pour NKM L'écotaxe ne divise pas que la majorité. Le président de l'UMP, Jean-François Copé, juge "aberrant" le coût de collecte de la taxe prévu par le contrat passé entre l'Etat et la société Ecomouv' sous le gouvernement Sarkozy. "On ne peut pas imaginer dans un pays moderne un tel coût de collecte d'impôt quel qu'il soit", a déclaré M. Copé sur I-Télé, mardi 5 novembre. Interrogé sur la responsabilité de la précédente majorité, à laquelle il appartenait, le député de Seine-et-Marne et maire de Meaux a répondu que l'écotaxe avait été décidée puis reportée "pour des raisons qui tenaient à la crise financière". L'écotaxe, suspendue la semaine dernière par le gouvernement Ayrault, était censée rapporter 1,15 milliard d'euros par an, dont 20 %, soit 250 millions d'euros, pour Ecomouv', société appartenant à 70 % au groupe italien Autostrade per l'Italia. Dans un entretien à RMC-BFM TV, M. Lire : Ecotaxe : questions autour d'un partenariat public-privé
Eco-Taxe : Bonnets Rouges et Bonnets d’Âne… - A Contre-Courant... Les rouages de l’injustice et de sa violence démontrent l’abyssal fossé entre une "démocratie vertueuse" que le système de désinformation nous vend dans les JT, en France comme dans les autres pays européens, et la réalité d’une "autocratie" exercée par la nomenklatura. Consternés, les observateurs les plus neutres n’ont pu que constater le broyage du bon sens et de la légitimité citoyenne, par le cynisme de la classe politique en cheville avec des intérêts privés (3) : i) Répression . L’autocratie ne peut tolérer l’expression populaire surtout lorsqu’elle dénonce l’injustice du système, économique, social, ou politique dans son ensemble, qui l’accable. Première et immédiate réponse : la répression. Ce qu’on a vu en Grèce, en Espagne ou ailleurs, pour nous limiter à l’Europe, est plus que révélateur de la détermination des castes au pouvoir. . ii) Domination des lobbies . Obligeant à un nivellement par le bas, dans un premier effet, sous forme d’affaissement de la qualité. Ah !... . . .
Écotaxe : la polémique enfle autour du contrat Ecomouv' Les conditions du contrat signé entre Ecomouv' et l'ancien gouvernement Fillon pour la collecte de l'écotaxe cristallisent les critiques de droite comme de gauche. Taxe collectée par une société privée, retour sur investissement juteux, «scandale d'État»... Les conditions du contrat signé entre Ecomouv' et l'ancien gouvernement Fillon pour la collecte de l'écotaxe cristallisent les critiques de droite comme de gauche. Ardents défenseurs de la philosophie du «pollueur-payeur», les écologistes ont tiré à boulets rouges lundi contre les modalités de mise en œuvre de cette taxe, qui a soulevé la Bretagne. «Les 20% qu'ils touchent eux, c'est énorme» Le principe de cette fiscalité écologique, imposée au transport routier en vue de financer des grands projets d'infrastructures, avait été adopté largement par la classe politique lors du Grenelle de l'environnement, sous le gouvernement Fillon. Cette dernière lui a répondu mardi matin sur France Inter. «Étonnement» de certains à droite
l’INRA souhaite officiellement la disparition de l’agriculture biologique C’est une première : l’INRA souhaite officiellement la disparition de l’agriculture biologique. L’INRA veut la fin du bio dans ce message adressé début novembre à tous les agents dépendants de l’institut. La branche INRA de SUD-RE alerte sur le contenu d’un rapport rendu public à la mi-octobre. En juillet 2012 l’INRA a remporté un appel d’offre du Commissariat général à la stratégie et à la prospective (à l’époque Centre d’Analyse Stratégique et successeur du Commissariat Général du Plan) qui coordonne les réflexions pour le Premier ministre. - comment rendre l’agriculture biologique plus productive et plus compétitive ? - comment organiser la transition de l’agriculture conventionnelle vers une agriculture plus durable ? L’étude, « Vers des agricultures à hautes performances », qui a été présentée publiquement le 14 octobre, est organisée en quatre volumes et deux synthèses. SUD s’est particulièrement intéressé au volume 1, Analyse des performances de l’agriculture biologique .
Ecomouv' : la polémique enfle Taxe collectée par une société privée, retour sur investissement juteux, «scandale d’Etat»... Les conditions du contrat signé entre Ecomouv' et l’ancien gouvernement Fillon pour la collecte de l’écotaxe cristallise désormais les critiques de droite comme de gauche. Ardents défenseurs de la philosophie du «pollueur-payeur», les écologistes ont tiré à boulets rouges lundi contre les modalités de mise en oeuvre de cette taxe, qui a soulevé la Bretagne. Le député EELV des Bouches-du-Rhône François-Michel Lambert, n’hésite pas à décrire les germes d’un «scandale d’Etat» derrière le partenariat public-privé (PPP) avec Ecomouv', société montée spécifiquement par une compagnie italienne pour mettre en oeuvre et collecter l’écotaxe. 20% des recettes de la taxe pour Ecomouv' Ecomouv' appartient à 70% à la compagnie italienne Autostrade per l’Italia. Règlements de comptes à l’UMP L'entourage de Fillon plaide le respect des règles Les conditions d’attribution à Ecomouv' refont surface.
Taches solaires, refroidissement global et Agenda 21 Moi qui écrivais récemment en commentaire que je ne voulais pas de prophétie alarmiste, la fin de cet article sur la question solaire y fait penser, bien qu'on ne puisse parler de prophétie dans le domaine scientifique. Beaucoup d'articles ont déjà traité de la faiblesse du cycle solaire actuel, le BBB compris (ICI, ICI, ICI et ICI) . La vie sur Terre a des cycles et il semble que nous soyons au seuil d'un cycle de refroidissement. Lien entre taches solaires, refroidissement global et Agenda 21* *Agenda 21 : plan de "développement durable" pour le XXIème siècle, concocté au sommet de Rio en 1992, et adopté par 173 chefs d'état, sous l'égide des Nations-Unies. La NASA admet que le cycle solaire actuel est le plus faible en 200 ans Chris CarringtonActivist Post 12 novembre 2013 David Hathaway, directeur de recherche en physique solaire au centre Marshall Space Flight de la NASA à Huntsville en Alabama, a parlé dans le Wall Street Journal de la faiblesse du cycle solaire 24.
Ecotaxe: NKM défend le contrat Ecomouv' Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris, a défendu le contrat Ecomouv', "passé dans les règles" et transparent, ce mardi matin sur France Inter. "Je reste convaincue que l'éco-redevance sur les poids lourds est une taxe juste", a--t-elle ajouté, alors que le sujet de l'écotaxe s'est imposé sur le plan national... mais aussi dans la campagne pour les élections municipales de 2014 à Paris. Taxe collectée par une société privée, retour sur investissement juteux, "scandale d'Etat"... Les conditions du contrat signé entre Ecomouv' et l'ancien gouvernement Fillon pour la collecte de l'écotaxe cristallisait les critiques de droite comme de gauche, ces derniers jours. NKM tacle Hidalgo... et Copé "Mme Hidalgo demande des comptes, elle ferait mieux de regarder ce qu'elle signe au Conseil de Paris", lui a rétorqué la candidate UMP sur France Inter.
La fuite en avant du GIEC Afin de ne pas modifier la doxa du réchauffement climatique, le dernier rapport du GIEC passe sous silence les études aux conclusions iconoclastes, fussent-elles bien fondées et menées par des climatologues reconnus. Par István E. Markó, depuis la Belgique. Ce vendredi, le cinquième rapport du GIEC sur l’évolution du climat était dévoilé en grande pompe à Stockholm. Depuis des mois, les ténors du réchauffement climatique dû à l’Homme ont multiplié les exercices de musculation vocale et préparé la planète à la sortie de leur Bible climatique. Pourtant, le contenu de ce rapport ne s’écarte en rien des précédents. Au fil des rapports successifs, la conviction de la culpabilité de l’Homme n’a cessé de croître, passant de 50% à 90%, et aujourd’hui, à 95% ! La validité de ces modèles « améliorés » vient d’être infirmée par l’un des climatologues allemands les plus renommés, le Professeur Hans von Storch, membre éminent du GIEC. Car c’est bien de politique et d’argent qu’il s’agit.
Ecotaxe: Pourquoi le contrat entre l'Etat et Ecomouv’ pose question Alors que la fronde contre l’écotaxe continue, la polémique commence à porter sur le contrat signé par l’Etat avec la société Ecomouv’, chargée de la collecte de la taxe. François-Michel Lambert, député écologiste des Bouches-du-Rhône et vice-président de la commission du Développement durable, parle de «scandale d’Etat» et réclame au gouvernement de faire la lumière sur cet accord. 20 Minutes fait le point. Que dit le contrat? Des clauses trop avantageuses? Et si l’Etat voulait se dédire de ce contrat, cela coûterait un milliard d’euros, dont 800 millions immédiatement, une «clause léonine» selon Mediapart (article payant). Mais François-Michel Lambert veut aussi des éclaircissements «sur les clauses du contrat qui sont extrêmement désavantageuses pour l'Etat d'un point de vue financier», puisqu’Ecomouv peut «bénéficier du service des douanes pour poursuivre et arrêter les contrevenants» sans que ce service ne lui soit refacturé par l'Etat. La question du choix d’un partenariat privé?