Benjamin, voyageur écolo et utopique avec 0 euro par mois Benjamin voyage sans aucun revenu depuis trois ans. Il échange nourriture ou hébergement contre menus services, et fait confiance à la générosité des gens. « Cela fait maintenant trois ans que je vis sans utiliser d’argent directement. Depuis le 19 janvier 2010, le jeune homme de 28 ans voyage sans un rond sur les routes d’Europe, d’Amérique, en passant par l’Afrique. Le sac de Benjamin, en 2010 Le voyage a débuté à trois, au bord d’une route de La Haye. Le projet de documentaire qu’ils ont sur leur voyage écolo est abandonné assez vite, entre une nuit à la belle étoile et un trajet en voilier (« on avait beaucoup d’égo à l’époque »). Même destination mais nouveau cap : les trois garçons se concentrent tout au long du périple sur l’idée de consommer le moins possible, en limitant leur empreinte écologique. Vivre « abondamment sans argent » Depuis 2000, Daniel Suelo se nourrit de ce qu’il trouve dans les poubelles ou de petits ratons laveurs tués par des voitures sur les routes.
Peut-on vivre sans argent? Cet homme l'a fait INSOLITE - "Je suis sur le point de pénétrer un monde qui m'est quasiment étranger et, pour la première fois, je me sens vulnérable". Et il y a de quoi. Car le monde que l'idéaliste Mark Boyle s'apprête à découvrir ne connait pas l'argent. Au lendemain de la crise des subprimes, cet Irlandais de 29 ans a fait un rêve, vivre les poches vides pendant un an. Une expérience radicale, l'utopie ultime qu'il a raconté dans un essai, L'homme sans argent dont la traduction vient de paraître (ed. Les Arènes). Hasard du calendrier, quelques jours plus tôt sortait un autre récit d'expérience tout aussi radicale. Lire aussi:» Psychologie : comment l'argent influence notre comportement » L'argent qui corrompt : comment la pression des marchés dégrade la morale Cette expérience, il la raconte depuis 14 ans sur son blog qu'il alimente depuis une bibliothèque municipale. Et c'est tout ce qui le différencie de Mark Boyle. Le moyen de cette déconnexion? Débrouille L’ameublement continue. Contactez-nous
vivre sans argent | On peut vivre autrement ! Ils travaillent moins, gagnent moins, mais s'enrichissent Ils ont choisi de travailler moins... quitte à gagner moins. Pour s’occuper de leurs enfants, planter des fleurs, s’investir dans une association ou, comme Frédéric et Laure, profiter de la vie. Ce jeune couple, qui avait détaillé son porte-monnaie sur Rue89, expliquait avoir fait le « choix de vie » de travailler moins pour avoir plus de temps. Ils répètent d’ailleurs à l’envi le mot « temps ». Laure est salariée à 80% dans la fonction publique et Frédéric, au chômage, ne cherche pas systématiquement des contrats mais s’occupe des enfants, retape la maison et jardine. En France, les salariés bossent en moyenne 39 heures par semaine (Insee, 2012). Ceux qui ont répondu à l’appel à témoins de Rue89 ont un jour décidé de diminuer le nombre d’heures de travail pour faire autre chose. La décision se prend souvent à deux car, comme dans le cas de Sylvain, elle a des conséquences sur le budget d’un couple. Charlie, 28 ans : « Les fins de mois sont délicates » J’ai trouvé un meilleur équilibre.
De quelle façon l'argent a-t-il influencé les moeurs? Céline/Laura - apvvalabreargent Introduction Dans ces pages, nous développerons le sujet de l'argent dans les relations sociales autour de la question suivante : De quelles manières l'argent influence-t-il les mœurs ? L'argent est présent dans toutes les sphères en effet toutes les transactions monétaires ne sont pas marchandes, c'est pour cela que l'argent intervient également dans les relation sociales. L'argent exerce des actions sur les pratiques sociales, les habitudes de vie ou sur les règles codifiés par la morale sociale. C'est pourquoi on verra à travers différents documents que l'argent peut avoir des influences positives ou négatives ou simplement transformer le système de valeurs morales. Dans tous les cas il faut relativiser l'action de l'argent car il n'est pas toujours le seul facteur entrant en jeu. I L'argent et ses influences négatives : Affiche du film « Wall Street » Résumé du film: Son portrait est dans un billet ce qui connote également l'importance et la richesse du personnage. Manon Lescaut Extrait :
15 conseils pour vivre et cesser d’être un esclave « Off-the-grid » (hors réseau) fait référence à des maisons qui sont autonomes, ce qui signifie qu’on ne compte pas sur l’approvisionnement en eau, les égouts, le gaz naturel, le réseau électrique, ou les services publics similaires municipaux. Une vraie maison hors réseau peut fonctionner totalement indépendamment de tous les services publics traditionnels. « Nous devons faire disparaître la notion spécieuse que tout le monde doit gagner sa vie. Il est vrai qu’aujourd’hui une personne sur dix mille peut faire une percée technologique capable de supporter tout le reste. Les jeunes d’aujourd’hui ont tout à fait raison de reconnaître cette absurdité de gagner sa vie. Donc nous avons les inspecteurs des inspecteurs et des gens qui font les instruments pour les inspecteurs pour inspecter les inspecteurs. Voici 15 conseils pour ceux qui envisagent de prendre la décision de vivre « hors réseau » 1. 2. Eloignez-vous de la vie de servitude, et faites ce que vous aimez faire. 3. 4. 5. 6. 7. 8.
Comment voyager à moindre frais et en faire son mode de vie ? Pourquoi tout quitter ? Mon copain et moi avions des situations très confortables, des CDI et un appart, mais nous en avions marre de passer nos journées à travailler pour quelque chose qui ne nous intéressait pas. Travailler une année en Chine n’a pas vraiment amélioré le problème : le contexte était peut-être dépaysant, mais nous nous ennuyions toujours. Nous avions déjà testé la vie en France, en Espagne et en Chine donc, mais aucun de ces pays ne nous plaisait assez pour nous y installer définitivement. Nous étions tous les deux convaincus qu’une vie heureuse est une vie riche en expériences, en rencontres, équilibrée et surtout, avec toujours la possibilité de choisir. Alors en septembre, nous avons tout quitté et nous sommes partis à l’aventure! Baby, baby, it’s a wild world L’idée, c’est de voyager et découvrir de nouveaux pays et de nouvelles cultures, mais également de s’y immerger parfois pour plus longtemps et même de carrément s’y arrêter si nous en avons envie. On est parés.
Plus on est riche, moins on a de morale, c'est prouvé Des chercheurs américains et canadiens documentent l'existence d'une relation inverse entre élévation dans la hiérarchie sociale et éthique du comportement individuel. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart Dans un climat politique où il est tant question d'opposition entre les "élites" et le "peuple", voici une étude qui devrait faire couler beaucoup d'encre. Et pour cause : des chercheurs américains et canadiens documentent, dans l'édition du lundi 27 février de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), l'existence d'une relation inverse entre élévation dans la hiérarchie sociale et éthique du comportement individuel. L'équipe américano-canadienne menée par Paul Piff (université de Californie à Berkeley) a quelques arguments. Le premier est simple : il s'est simplement agi de se poster à un carrefour et d'observer les véhicules pris en flagrant délit de refus de priorité.
Les marchés gratuits, la nouvelle tendance anticonso Argentine / / Amérique du sud Né dans la capitale argentine, le concept fait fureur et a déjà conquis de nombreuses villes à travers tout le pays. L’idée est simple, il s’agit de donner le superflu sans rien attendre en retour, pour que plaisir d’offrir ne rime pas avec consommation effrénée. Les marchés gratuits connaissent un grand succès en Argentine. © jforth (Flickr) Une idée qui gagne du terrain Imaginez un instant une brocante ou derrière chaque étal vous seriez accueillis par un : « Servez-vous, tout est gratuit ». Baptisés gratiferias, ces événements ont vu le jour grâce à Ariel Bosio, un jeune argentin lassé de devoir transporter ses possessions de déménagement en déménagement. « J’ai découvert que je pouvais vivre avec moins d’affaires que ce que je possédais et que c’était surtout une question d’habitude ». N’importe qui peut organiser un gratiferia, à la seule condition que le lieu soit public, ouvert à tous et qu’aucun droit d’entrée ne soit exigé. Ni troc, ni réciprocité
Les décroissants : être et ne plus avoir… Fatigués de la course au "toujours plus", ils ont choisi de vivre mieux avec moins. Une nouvelle éthique de vie qu’ils mettent en actes au quotidien. Témoignages. Christilla Pellé Douel Sommaire Qu’on les baptise « décroissants », « créatifs culturels », « consomm’acteurs », que l’on range le mouvement dans un tiroir intitulé « simplicité volontaire » ou « downshifting », peu importe… Car la dynamique est bien là : de plus en plus de personnes, en Amérique du Nord comme en Europe, veulent cesser de se laisser déborder par une vie qui ne leur convient plus. Pour l’instant, impossible de chiffrer avec exactitude l’ampleur de la vague, mais des instituts d’études en marketing évoquent déjà une « tendance significative et en expansion (1) ». 1- Trends Research Institute (institut américain de recherche sur les tendances). Prise de conscience et passage à l’acte
Argent et mode de vie