Témoignages: Ces choses qui coincent quand des lesbiennes voient un.e gynécologue Après la diffusion du témoignage d’Anne-Sophie face à une interne en gynécologie aux compétences douteuses, nous avons lancé un appel à témoins pour donner la parole à d’autres femmes ayant rencontré des difficultés similaires face à des praticien.ne.s censé.e.s être à même d’accueillir toutes les femmes, quelle que soit leur orientation sexuelle. Pour rappel, afin de limiter ce type de problèmes, un annuaire des gynécologues, médecins généralistes et sages-femmes respectant les bisexuelles, les lesbiennes et les personnes trans’ a été élaboré par les responsables du site Gynandco. Sandra: «Elle revient avec un phallus et un préservatif» Il y a quelques années je suis allée voir une gynécologue dans le quartier de l’Horloge, je crois, à côté du musée Beaubourg à Paris, pour un problème somme toute bénin. J’avais dans les 27 ans, et comme je voyais cette praticienne pour la première fois, j’étais timide et assez nerveuse. Un jour, on a parlé d’un vaccin pour le col de l’utérus.
Debi Jackson, Mother Of Transgender Child, Gives Moving Speech “My daughter is six years old. She transitioned, which means she changed her outward appearance from male to female and started living full time as her true gender, when she was four. Until that point she was quite a rough and tumble little boy with a buzz cut and a shark tooth necklace.” And so begins the absolutely beautiful speech Debi Jackson gave earlier this year about her transgender daughter, AJ, at the Unity Temple on the Plaza in Kansas City. As Jackson continues, she outlines how her family came to realize that AJ is transgender, what happened the first day she went to school “in girl clothes” and the bigotry her family faced. But the best part of the video may be when Jackson addresses the comments she’s heard about her daughter and sets the record straight about statements like you “wanted a girl so you turned your child into one” and “kids have no idea what they want or who they are — my kids wants to be a dog, should I let him?”
10 Theories About How Lesbians Have Sex From Straight People In History A favorite historical genre is “faux sociological studies of human sexuality that say crazy-ass shit about lesbians,” and though they were a huge trend in the 1950s and 60s there is a deep and rich history of mostly straight men speculating on or reporting about what women do in bed together in the name of research and information and anthropology and definitely not because it’s sexy to read about. Most of these excerpts come from or were found because of Sapphistries: A Global History of Love between Women by Leila Rupp and Surpassing the Love of Men by Lillian Faderman. 1. Probably the devil is involved “They do not put flesh to flesh in the sense of the genital organ of one within the body of the other, since nature precludes this, but they do transform the use of the member in question into an unnatural one, in that they are reported to use certain instruments of diabolical operation to excite desire.”—Hincmar of Reims, 9th century 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.
The Mary Sue Interview: Trans Actress Michelle Hendley On Positive Representation In Boy Meets Girl | The Mary Sue It’s not every day that an actress makes her debut on screen in a leading role, but for Michelle Hendley, that is exactly how she entered the film industry. When writer/director Eric Schaeffer was looking for a trans woman to play the lead in Boy Meets Girl, he stumbled upon Hendley’s old YouTube channel and thought she would be perfect fit for the role of Ricky. Hendley wasn’t looking to be an actress; she was in cosmetology school at the time, and had very little experience – but proved to have the right stuff. Lesley Coffin (TMS): I understand Eric approached you personally about appearing in the film? Hendley: Yeah, I think he had actually done a Google search for trans women and my old YouTube channel popped up. TMS: Were you a little apprehensive about some strange guy just coming to you and saying “I want to make a movie with you?” Hendley: Oh God, yes. TMS: When did you get a chance to read the script? Hendley: It was pretty early in our initial conversations. Hendley: Barely.
J’ai été élevé par des parents polyamoureux | VICE | France Peu de symboles culturels ont autant de poids que la famille nucléaire – celle qui est composée de deux parents hétérosexuels, deux enfants, un chien et une jolie maison délimitée par une petite clôture blanche. Je n'ai absolument rien contre ce type de structures familiales – mais je n'ai pas du tout été élevé ainsi. Mes parents sont polyamoureux, un mélange de grec et de latin pour désigner la non-monogamie amoureuse avec le consentement de chacun des partenaires concernés. Enfant, je vivais avec mon père, ma mère, le partenaire de ma mère, et pendant un temps, le partenaire du partenaire de ma mère. Ma mère pouvait avoir jusqu'à quatre partenaires à la fois. Mon père en avait un aussi. La première fois qu'ils me l'ont expliqué, je devais avoir 8 ans. « Parce que je l'aime », a dit ma mère, très simplement. « Tant mieux », a répondu mon frère, « parce que je l'aime aussi. » Ça n'a jamais été plus compliqué que ça. Je n'en ai jamais voulu à mes parents de traîner avec leurs partenaires.
Natation : Mélanie Hénique victime d’une agression homophobe La médaillée mondiale Mélanie Hénique a porté plainte, vendredi 3 juillet, pour agression homophobe après avoir été insultée et rouée de coups il y a huit jours à Amiens, rapporte la nageuse, qui a eu le nez cassé et a dû se faire opérer. « J'étais avec deux amies vendredi dernier [le 26 juin] et on sortait d'un restaurant. Quatre mecs nous regardaient, ils nous ont demandé des cigarettes, mais je sentais que ce n'était pas que pour ça », a témoigné la jeune femme de 23 ans, médaillée de bronze sur 50 m papillon aux Mondiaux de 2011. Passée sur la table d’opération mardi, elle se souvient : « On allait repartir, mais ils ont commencé à nous insulter et tout s'est enchaîné très vite. Un des gars nous a bloquées, je n'ai rien vu venir, le mec m'a frappée, j'étais complètement sonnée, je ne sais pas ce qu'il s'est passé après, j'ai vu mes amies par terre. « Je suis allée porter plainte vendredi, à Amiens, là où ça s'est passé. Forfait pour l’Open de France
Virginie: « C’est l’enfer » | Coming-Out Faire son coming-out dans une famille qui défile à la Manif pour tous… Un jour, après avoir écrit une lettre à ma mère pour lui annoncer mon homosexualité, sa première réaction fut de m’appeler. Ma mère était très sereine, elle m’a expliqué que depuis plusieurs années, elle s’en doutait… Mon père n’a plus voulu me parler, il était choqué. Nos relations ne sont plus les mêmes depuis. J’étais assez heureuse de voir que ma mère m’acceptait, car comme je l’avais écrit dans ma lettre, j’avais peur d’être rejetée. Malheureusement, le jour où je suis rentrée chez eux pendant mes vacances, nous n’en avons pas parlé et nos contacts ont été très tendus. Le silence… c’est terrible. Face à mes pleurs, ma grand mère m’a demandé ce que j’avais. Après m’être calmée, comme diraient mes parents, je suis revenue chez moi, la peur au ventre. Puis est venu le moment le plus crucial, celui de mon coming out. Ils m’ont annoncé à nouveau que je devais me taire face aux autres. Photo: Sugar Rush
Kristen Stewart Responds to the Public Determination to Out Her: ”Google me, I’m Not Hiding” | The Mary Sue Kristen Stewart has made a habit of flipping the bird to tabloid reporters ever since she first began to hit the big time; it’s no secret that she prefers her privacy, and that she’d rather avoid public scrutiny altogether. So it should come as no surprise that she has delayed responding to the long-standing rumors about her sexuality for as long as possible, but in a recent Nylon interview, she finally offered a flippant answer: “Google me. I’m not hiding.” Stewart went on to say, If you feel like you really want to define yourself, and you have the ability to articulate those parameters and that in itself defines you, then do it. Stewart’s reluctance to assign a label to herself may frustrate some; I recall friends of mine expressing anger that celebrities like Anderson Cooper took so long to come out, for example, because they considered his delay to be an act of cowardice, whereas Cooper cited his desire for privacy as the reason. But, hey, that’s just me.
POURQUOI LA GAY PRIDE EST IMPORTANTE. - Alors voilà. Article à partager en masse s’il vous plait. J’hesitais à le mettre sur le blog, puis je me suis dis « C’est ton blog, tu fais ce que tu veux ». Pour ceux que cela heurte, je m’excuse d’avance. Alors voilà, une ville, c’est d’abord des rues. Dans ces rues, des gens marchent. – « un papa, des roustons, une maman, des nichons » (quelle belle vision naturaliste et zoologique du genre humain!) Ou, nettement moins poétique: – « la france a besoin d’enfants, pas d’homosexuels ». Il y a donc: 1-nos rues, 2- les adultes qui manifestent, 3- des banderoles avec le mot « enfants » dessus. Avec des désirs compliqués, parfois jugés honteux. Pourquoi la gay-pride est-elle importante? Une fois par an, les enfants de nos villes peuvent regarder derrière leurs fenêtres et voir des femmes et des hommes: nombreux, différents, dansant et chantant. Certains s’habillent en femmes quand ils sont hommes, d’autres s’habillent en hommes quand elles sont femmes. La gay-pride est importante. Honte à nous tous!
Lesbiennes: en finir avec les clichés L'homosexualité féminine est l'objet de nombreuses idées reçues, allant de ses causes supposées à l'apparence physique des lesbiennes. Auteur d'un livre sur le sujet, Stéphanie Arc tente de démêler le vrai du faux. Qu’une femme se sente attirée par les corps féminins, qu’elle vive des amours saphiques, et la voici désignée comme « lesbienne », terme assorti d’une liste de caractéristiques à la fois masculines et misandres. Des femmes aux profils très divers En France, bien qu’on compte assez peu d’études sur l’homosexualité féminine – un sujet jusqu’alors déconsidéré par la recherche académique et essentiellement documenté par les associations LGBT –, elles s’accordent toutes sur une chose : la pluralité des vécus et des profils des femmes qui aiment les femmes. Image du film "La Belle Saison", de Catherine Corsini, en salles le 19 août 2015. En France, les études s’accordent sur une chose : la pluralité des vécus et des profils des femmes qui aiment les femmes.
For All The Girls I Loved Before I Knew I Could Amanda I remember vividly that her name was Amanda because of the crushing wave of confusion that came with that knowledge. I was 8-years-old and at Girl Scout camp, so I don’t know why I thought she was a boy when I saw her across the mess hall. It took 14 years more before I let myself fall for a woman. Ana We met at an international program for teenagers interested in conflict resolution. A few weeks ago on Facebook chat, she congratulated me on my new writing gig at Autostraddle, and we found out that we came out as queer in the same month. My hand is the one with the very straight rainbow thumb ring on it. We talked about how the program would have been a perfect space to start coming to terms with our sexuality — at camp we talked for hours about identity and personal stories and faith and a hundred kinds of loss. In college, my long-distance boyfriend who I loved a beautiful, frightening amount for a very hard 17 months gave me a pass to kiss girls while drunk. Kelly Molly
À propos de l'inclusion des mecs trans dans les espaces non-mixtes féministes - Lacets rouges et vernis noir Vu que je me suis résignée à poster mon article précédent ici, je me suis dit que je pouvais aussi être un peu courageuse et y poster mes réflexions actuelles sur l'inclusion des mecs trans dans les espaces non-mixtes féministes. J'ai un peu peur en écrivant cet aricle de me faire traiter de transphobe ou de « TERF »[1], mais à un moment il faut oser assumer un peu ses convictions (ou du moins ses reflexions) et à défaut de me faire des potes ça me permettra au moins d'être un peu plus droite dans mes rangeos. Donc en gros, ma position est la suivante : dans l'absolu, je ne suis pas contre que de tels espaces existent (même si personnellement ils me branchent moyennement et que je me sens plus à l'aise dans un espace non-mixte meufs que dans un espace qui inclut des mecs, fussent-ils trans). L'inclusivité hypocrite Imaginez la situation suivante. Désolée, mais ça s'appelle du foutage de gueule. Si t'inclus des mecs trans, t'inclus des mecs trans. Les raisons douteuses à l'inclusion
5-year-old Disney star gets death threats when her show introduces same-sex couple Proving once again that they have sensible priorities in addition to the moral high ground, conservatives against same-sex marriage are using social media to threaten Mia Talerico, a 5-year-old Disney star—in some cases with gruesome death. Violent Instagram messages from one particularly deranged individual have prompted an official police investigation. Talerico’s offense, it turns out, lies in playing the eponymous lead on the Disney Channel’s Good Luck Charlie, which recently became the first sitcom on that network to introduce a gay couple into its cast of characters. One of Charlie’s friends, it’s revealed, is being raised by Susan and Cheryl, two lesbian mothers. Clearly another attempt at brainwashing by the queer Illuminati. The “I have two mommies” trope is well-worn in children’s entertainment, the pair’s appearance was a one-off, and the series will end its run this month. “Die Mia, Fucking Die in hell! H/T Inquisitr | Photo via Loveatic4mylife/Flickr