Genetically engineered maize with synthetic toxin approved for usage in EU food and feed Detail from label of No-GMO Popcorn - design by Juan Wilson Christoph Then TestBiotech Safety of Monsanto’s Synthetic-Toxin maize to be re-examined Testbiotech and GeneWatch UK formally request withdrawal of EU market authorisation of Monsanto´s genetically engineered maize Genuity VT Triple PRO Corn with synthetic toxins. 28 July 2011. The organisations are filing a formal request for internal review of the EU Commission´s decision according Article 10 of Regulation (EC) No. 1367/2006 because the legally required high level of protection for consumers, farm animals and the environment are not met and legal requirements for monitoring of health effects have been ignored completely. “This maize produces a unique combination of insecticidal proteins. The plants were not tested for health effects in feeding studies. Currently, genetically engineered crops mainly enter the EU from North and South America as soya or maize for use in animal feed. Contact:
Produits - Mélanges 'Prairies Fleuries' - Mélange « Verger intégré » Nom : Mélange « accueil auxiliaires » Composition : Centaurea cyanus, Agrostemma githago, Papaver rhoeas, Consolida regalis, Centaurea thuillieri, Daucus carota, Echium vulgare, Leucanthemum vulgare, Reseda lutea, Malva moschata, Cichorium intybus, Silene latifolia alba, Silene vulgaris, Origanum vulgare, Campanula rapunculoides, Foeniculum vulgare, Coriandrum sativum, Glebionis segetum, Leontodon hispidus, Tragopogon pratensis, Verbascum nigrum, Geranium pyrenaicum et Achillea millefolium Ce mélange a été spécialement conçu pour favoriser la lutte intégrée dans les vergers de production. Il a retenu toute l'attention de plusieurs centres de recherches qui ont étudié , en 1998 et 2000, l'intérêt de ces plantes pour les insectes auxiliaires (pas moins de 21 espèces de syrphes ont été relevées dans ces bandes fleuries d'essais). Il est composé uniquement de fleurs sauvages annuelles, bisannuelles et vivaces. La pérennité est de 5 ans maximum.
Deux Caennais dévoilent l'autre face cachée des pesticides En septembre dernier, le professeur caennais Gilles-Eric Séralini secouait le monde de la santé, en publiant une étude qui révélait le développement de tumeurs cancéreuses chez des rats consommant des OGM traités avec le Roundup, un puissant herbicide condamné par une partie de la communauté scientifique. Les résultats d'une autre recherche menée dans son laboratoire de biologie moléculaire sont sur le point d'être publiés dans la revue scientifique internationale de référence Toxicology. Ils devraient jeter un nouveau pavé dans la mare. Tumeurs mammaires Son auteur, Robin Mesnage, dénonce le manque de transparence dans la composition chimique des pesticides. L'étude remet en cause le groupe Monsanto, le géant industriel spécialisé dans les biotechnologies végétales, condamné par la justice à plusieurs reprises et propriétaire de la marque Roundup.
Les marchés gratuits, la nouvelle tendance anticonso Argentine / / Amérique du sud Né dans la capitale argentine, le concept fait fureur et a déjà conquis de nombreuses villes à travers tout le pays. L’idée est simple, il s’agit de donner le superflu sans rien attendre en retour, pour que plaisir d’offrir ne rime pas avec consommation effrénée. Les marchés gratuits connaissent un grand succès en Argentine. © jforth (Flickr) Une idée qui gagne du terrain Imaginez un instant une brocante ou derrière chaque étal vous seriez accueillis par un : « Servez-vous, tout est gratuit ». Baptisés gratiferias, ces événements ont vu le jour grâce à Ariel Bosio, un jeune argentin lassé de devoir transporter ses possessions de déménagement en déménagement. « J’ai découvert que je pouvais vivre avec moins d’affaires que ce que je possédais et que c’était surtout une question d’habitude ». N’importe qui peut organiser un gratiferia, à la seule condition que le lieu soit public, ouvert à tous et qu’aucun droit d’entrée ne soit exigé. Ni troc, ni réciprocité
Le cri de la tomate - n°1 - Jean-Luc Porquet Cette chronique a été publiée dans le numéro 11 de la version papier d’Article11 (toujours en kiosques, soit dit en passant) Dans « l’appel des 451 » lancé par un collectif de personnes travaillant dans différents secteurs du livre, et désireux de contrer (entre autres) l’arrivée du « livre numérique », on tombe sur cette distrayante anecdote : « Un ami paysan nous racontait : “Avant il y avait la tomate. Puis, ils ont fabriqué la tomate de merde. Pour qu’elles ne souffrent plus du vent, du gel, des intermittences du soleil, et qu’elles poussent en toute saison, on les a mises sous serre, et ce sont désormais des ordinateurs qui règlent leur météo. Depuis les années 1960, les chercheurs de l’INRA créent à jets continus de nouvelles variétés de tomates en croisant plusieurs variétés dont ils mélangent savamment les gènes, ceux qui donnent de meilleurs rendements, ceux qui permettent une bonne résistance aux maladies, ceux qui contrôlent l’épaisseur de la peau, etc. (à suivre)
Permaculture Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jardin de permaculture à Sheffield, Royaume-Uni La permaculture est une méthode systémique et holistique de conception d'habitats humains et de systèmes agricoles inspirée de l'écologie naturelle (biomimétisme) et de la tradition. Elle n'est pas un mode de pensée mais un mode d'agir qui prend en considération la bio-diversité des écosystèmes1,2. Cette méthode a été créée dans les années 1970 par les Australiens Bill Mollison et David Holmgren. Elle utilise entre autres des notions d'écologie, de paysagisme, d'agriculture biologique, de biomimétisme, d'éthique, de philosophie et de pédologie3. Historique[modifier | modifier le code] Origine du mot[modifier | modifier le code] Les influences[modifier | modifier le code] L’Australien Percival Alfred Yeomans introduisit dans les années 1950 la méthode des contours (en) ( Keyline Design ) comme méthode d’approvisionnement et de distribution en eau d’un site[6]. Le travail de Howard T.
Semences : « La Commission européenne balaye 10.000 ans «En réduisant les droits des paysans à ressemer leurs propres semences, en durcissant les conditions de reconnaissance des variétés par des petits entrepreneurs indépendants, en limitant la circulation et l’échange de graines entre associations et entre planteurs, la Commission européenne balaye 10000 ans d’histoire agricole», a affirmé l’eurodéputé José Bové, cité dans un communiqué. La Commission a présenté lundi des propositions qui permettront selon elle de «simplifier» le régime d’enregistrement des semences. Elle balaie les critiques en assurant que les petites entreprises et certaines semences de niche sont exemptées des obligations coûteuses de tests et d’enregistrement. Mais les petits acteurs du secteur, notamment l’association Kokopelli, s’insurgent contre des propositions qu’ils jugent taillées sur mesure pour les poids lourds de l’industrie semencière (Monsanto, Pionner, Sygenta et Dupont).
untitled Fini la malbouffe pour les Boliviens : McDonald ferme tous ses restaurants en Bolivie La Bolivie est devenue la première nation à se libérer de la malbouffe de McDonald, qui a lutté pendant plus d’une décennie pour conserver son icône «rouge». Et cette victoire de la Bolivie a encore fait la une des journaux. Après 14 ans de malbouffe dans le pays et en dépit des nombreuses campagnes de promotion, McDonald a été contraint de fermer en 2002, ses 8 restaurants boliviens dans les principales villes de La Paz, Cochabamba et Santa Cruz de la Sierra. McDonald a servi ses derniers hamburgers en Bolivie un samedi à minuit, après avoir annoncé un plan de restructuration global dans lequel il allait fermer ses portes dans sept autres pays à faibles marges bénéficiaires. Une victoire pour la santé des peuples du sud. L’échec de McDonald en Bolivie a eu un impact profond qui a donné lieu à un documentaire intitulé “en Bolivie «Por que quebro McDonald» ou «Pourquoi McDonald a fait faillite en Bolivie». Reportage en espagnol : Article original en anglais : Traduction : Armand Pouliot
Les méthodes de l’action nonviolente Chacune des méthodes indiquées ci-dessous a été mise en oeuvre au cours de l’Histoire et a fait l’objet d’études publiées dans le tome II de The Politics of Nonviolent Action (Porter Sargent Publishers, Boston, Ma. 02108). Méthodes de protestation et de persuasion nonviolente Déclarations formelles 1. Communications à de larges audiences 7. Représentations de groupe 13. Actes publics symboliques 18. Pressions sur les individus 31. « Visites » récurrentes à des fonctionnaires32. Théâtre et musique 35. Processions 38. Commémoration des morts 43. Rassemblements publics 47. Retrait et renonciation 51. Méthodes de noncoopération Noncoopération sociale Ostracisme de personnes 55. Noncoopération avec évènements, coutumes et institutions sociales 60. Retrait du système social 65. Noncoopération économique : boycotts économiques Action par les consommateurs 71. Action des travailleurs et producteurs 78. Action des intermédiaires 80. Action des propriétaires et dirigeants 81. 86. Action des gouvernements 92. 97. 99.
Quand les investisseurs s’estiment « expropriés » par les réglementations environnementales et sociales - Loi néolibérale Un moratoire interdit tel type d’exploitation pétrolière ou gazière, comme les gaz de schiste ? Qu’importe ! Demain, si l’accord économique en discussion entre l’Europe et le Canada est signé, des multinationales ou leurs filiales installées au Canada pourront attaquer en justice la France et obtenir d’importantes compensations financières. Car grâce au droit commercial sur la « protection des investissements », un investisseur peut réclamer des indemnités même s’il n’a pas investi un centime. 3,7 milliards de dollars. La France, qui a interdit cette même fracturation hydraulique en juin 2011 [1], risque-t-elle aussi d’être poursuivie par des sociétés pétrolières ? Quand les investisseurs inventent « l’expropriation indirecte » L’accord bilatéral actuellement négocié entre l’UE et le Canada contiendrait une clause dite d’ « expropriation indirecte ». Autre clause, « le traitement juste et équitable », inscrite dans presque tous les traités d’investissements bilatéraux et multilatéraux.
Dette publique et "loi Rothschild" : le silence des médias C'est le point aveugle du débat : la dette publique est une escroquerie ! En cause, la loi Pompidou-Giscard de 1973 sur la Banque de France, dite "loi Rothschild", du nom de la banque dont était issu le président français, étendue et confortée ensuite au niveau de l'Union européenne par les traités de Maastricht (article 104) et Lisbonne (article 123). D'une seule phrase découle l'absolue spoliation dont est victime 99% de la population : "Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France". Contraint d'emprunter aux banques privées En clair et pour faire simple, la Banque de France a désormais interdiction de faire crédit à l’État, le condamnant à se financer en empruntant, contre intérêts, aux banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la banque de France qui lui appartient. Qui gouverne ? Silence médiatique Inlassable propagande des conservateurs-libéraux ? Mais les éminents confrères ?
Santé : Monsanto en Argentine, un bilan accablant:: Novopress.info – arme de réinformation massive Novopress a traduit en français une enquête décapante de Micheal Warren et Natacha Pisarenko (Associated Press) datant du 20 octobre dernier et portant sur les effets secondaires dévastateurs des produits agro-chimiques de la firme Monsanto, multinationale spécialisée dans les pesticides et semences génétiquement modifiées. Source originale et nombreuses photos : www.concordmonitor.comPhoto ci-dessus : le 31 mars 2013, Camila Veron, 2 ans, née avec de multiples malformations et très malade, se tient devant la maison de sa famille à Avia Terai, dans la province de Chaco, en Argentine. (AP Photo/Natacha Pisarenko) L’ouvrier agricole Fabian Tomasi n’avait pas l’habitude d’utiliser des vêtements de protection lorsqu’il manipulait des pesticides sous forme pulvérulente. À 47 ans, il n’est plus aujourd’hui qu’un squelette vivant. Dans la province de Santa Fe, cœur de l’industrie du soja, le nombre moyen de cancers est deux fois supérieur à la moyenne nationale.