Tour d’horizon des légumes perpétuels et vivaces A une époque où l’on cuisine du durable (et pas que de lapin) à toutes les sauces, peut-être est-il bon de réfléchir à de nouvelles manières d’envisager nos propres légumes. Le jardinage ne serait-il pas lui aussi soumis à la frénésie consumériste au même titre que le reste? Nos légumes actuels sont le fruit d’une sélection basée sur une certaine façon de cultiver, de "consommer" le jardin. De plus une grande partie de nos cultures nous vient de pays situés sous des latitudes plus clémentes, ce qui implique un travail conséquent pour adapter ces cultures : semis au chaud, rempotages successifs, amendements spécifiques, irrigation importante, soleil et chaleur … Il faut qu’on les adapte à un environnement qui n’est pas le leur et si on a mal bouclé notre affaire, elles souffrent ce qui engendre développement de maladies cryptogamiques, multiplication de parasites et donc : traitements, etc. cerfeuil tubéreux – Chaerophyllum bulbosum egopode podagraire – Aegopodium podagraria Like this:
Semer du gazon : conseils et astuces pour semer du gazon Conseils pour réussir à semer du gazon Voici les principaux conseils pour réussir à bien semer du gazon : Un jeune semis a besoin d'une attention constante, notamment pour les apports en eau. S'il faut que vous vous absentiez durant cette période, il est conseiller de différer vos semis de plusieurs semaines ou mois. Si vous êtes situé dans une région où les restrictions d'eau sont pratiquées couramment, il sera beaucoup plus judicieux de prévoir vos semis pour l'automne. Il est essentiel que les premières difficultés liées au climat (froid ou sécheresse) ne surviennent pas avant que le gazon n'ait 5 à 6 semaines. Quand semer du gazon ? Deux périodes dans l'année sont propices pour semer du gazon : le printemps de mi-mars à mi-juin, et l'automne de fin août à mi-novembre. Par exemple, dans le midi de la France, vous pourrez commencer les semis dès la fin février. Semer au printemps Semer en automne Semer de la pelouse Comment semer du gazon ? Bien brasser votre mélange Le bon dosage
Récoltez et vous sèmerez! Récolter soi-même ses semences, c’est réaliser des économies dans le budget jardinage, mais aussi, au-delà de la satisfaction personnelle, un acte éthique : une façon de participer à la préservation de la biodiversité. La plupart des graines que l’on trouve dans le commerce sont des hybrides F1, c’est à dire le résultat de première génération d’un croisement entre deux variétés différentes réalisé pour obtenir un rendent supérieur et des qualités et caractéristiques standardisées. Pour maintenir la biodiversité grâce aux infimes variations que subit une espèce en s’adaptant à ses conditions de vie et de culture, il peut être intéressant de réaliser ses propres semences. Pour entamer cette démarche, on peut échanger des semences, ou se procurer des semences traditionnelles ou paysannes. Les règles de base La récolte doit avoir lieu à complète maturité des graines, mais avant qu’elles ne tombent d’elles mêmes et ne se disséminent dans la nature. Récolter les semences des fleurs
Perma Locale Permaculture: Comment devenir autonome en restant chez vous avec la permaculture, c'est ce que je vous invite à découvrir à travers mes sites et ces vidéos. Je vous présente ici ma passion avec la permaculture et cette tendance à plus d'autonomie avec les techniques issues de l'éthique et des principes de la permaculture... Plus vous serez apte à combler vos besoins vous-même, plus vous serez libre! Et nos besoins sont très diversifiés, physiques ou émotionnels, mais ils peuvent être comblés sans toujours devoir dépendre d'une "source" extérieure. Au niveau matériel, avec la permaculture, nous pouvons bien étudier et préparer ce dont nous avons réellement besoin, d'abord apprendre à mieux gérer nos "énergies", éviter les pertes inutiles, et œuvrer pour produire ce dont nous avons besoin. Des légumes, des fruits, des fruits secs (nois, noisettes,...) C'était aussi l'occasion de réaliser une petite vidéo pour présenter cette chaîne Youtube PERMALOCALE, ses vidéos, leur but, etc.
On peut composter Les restes de cuisine : Epluchures de légumes, de fruits, etc. : couper les fruits entiers, les légumes et les épluchures en morceaux de 5 à 10 centimètres. Les épluchures d'agrumes (oranges, citrons,…) ne se décomposent parfaitement que lorsque la température du compostage atteint 60 °. Ne les conservez pas trop longtemps dans votre bac de collecte et idéalement, mélangez les avec un peu de compost mûr.Les résidus de repas ainsi que les restes de viande peuvent être ajoutés, recouverts par du compost frais (pour éviter la prolifération de mouches et l'approche de charognards) .Marc de café et sachets de thé.Coquilles d'œufs: elles doivent être écrasées.Os : ils sont compostables en petites quantités et doivent être écrasés préalablement.Coquilles de noix, noisettes, … : elles se décomposent très lentement mais donnent une structure aérée au compost. Elles peuvent être réintégrées au compost après le tamisage. Déchets de jardins : La sciure et les copeaux de bois. La paille et le foin.
Micro-jardin : la tendance de demain ? Le micro-jardin, comme son nom l’indique, est un tout petit jardin qui permet aux habitants, majoritairement issus des villes, de récolter chaque jour des légumes frais pour une consommation familiale. Et éventuellement, pour une vente des excédents au voisinage. Mais comment cela fonctionne-t-il ? Le micro-jardin est-il seulement un effet de mode pour des citadins en mal de verdure ? Zoom sur les micro-jardins. Dans la majorité des cas, le micro-jardin se conçoit hors sol. La technique est simple. Et cela, sur une table de culture construite à partir de bois de vieilles palettes ou dans de multiples autres types de récipients de récupération tels que vieux tiroirs, cuvettes émaillées chinées en brocantes, caisses à vin etc. A noter que les micro-jardins fonctionnent en cycle fermé, ce qui permet d’économiser l’eau. Le micro-jardin a de multiples avantages L’un des premiers atouts du micro-jardin est sa taille !
Légumes perpétuels : présentation, intérêt et conseils de culture Economiques et sans histoires, les légumes perpétuels cumulent les avantages des plantes vivaces. Ils restent en place d'une année sur l'autre au potager et assurent des récoltes régulières avec un minimum de soins. Découvrez comment les cultiver, et donnez-leur la place qu'ils méritent ! Des légumes qui durent Les légumes dits « perpétuels » restent en place dans le potager durant plusieurs années, sans que le jardinier n'ait à intervenir (ou presque !). Pas la peine, donc, d'acheter des plants ou des semences chaque année : voilà une économie qui ne peut laisser le jardinier indifférent (lire aussi : Jardiner sans se ruiner) ! Les plantes vivaces et rustiques, dont le cycle de vie s'étale sur plusieurs années, supportant les rigueurs hivernales comme les chaleurs et sécheresses estivales.Les plantes qui se multiplient par leurs bulbes, tubercules ou semis spontanés. Selon les légumes cultivés, le pied produit pendant 5 à 10 ans. Une culture simplifiée Qui sont-ils ? Les vivaces Tubercules
Les légumes perpétuels Voici une curieuse façon de cultiver un potager mais que les futés du jardinage adopteront volontiers. Parmi les légumes, un certain nombre peuvent survivre plusieurs années et continuer à produire pendant de longs mois. Plus besoin de labourer, semer et conserver la récolte ! 1 - L’oignon rocambole (Allium cepa var proliferum) On le dit perpétuel car vous n’avez pas besoin d’arracher la plante pour consommer les bulbes et il reste en place de nombreuses années. Les tiges vertes de 50 cm à 1 m de haut, remplacent agréablement le poireau ou la ciboule. v Au printemps ou à l’automne, plantez ses bulbilles ou semez les graines, dans une terre plutôt sableuse et humide, à exposition ensoleillée, ou bien en pot pour orner terrasses et balcons. L’oignon catawisa est un proche parent au goût un peu moins fin mais il est plus rustique. 2 - Poireau perpétuel à gousses (Allium porum) C’est un poireau aromatique au goût légèrement sucré qu convient aux soupes, omelettes et quiches.
Jardinage/Produire ses semences — Wikilivres Un livre de Wikilivres. Il existe plusieurs méthodes pour produire ses propres semences. La plus simple, ou quand on connaît un jardinier, est de garder les graines des légumes qu'on récolte soi-même - quand on jardine - ou qu'on a achetés ou que quelqu'un nous a donnés. On peut ainsi récolter : en laissant monter en graines : des radis, des navets...à la condition de les laisser bien mûrir : des graines de tomate, de concombre, de courge, courgette, choux, melon, pastèque, phacélie, moutarde blanche ou jaune (ces trois derniers sont très bons pour comme engrais vert)... Récolter des graines[modifier | modifier le wikitexte] Toutes les plantes ne produisent pas de graines (ou en produisent peu et/ou très peu fertiles). Qui dit récolte dit contenant. Les plantes sauvages[modifier | modifier le wikitexte] La plus simple des récoltes sera celles des plantes sauvages. a. les réceptacles et les gousses b. les fleurs composées Récolter quand les graines se détachent facilement du "coeur".
Jardin bio : le purin, pour quel usage ? Nous vous avions déjà donné quelques recettes de purins, et fait la liste de ses avantages, mais quel purin doit-on utiliser pour un usage précis ? Le purin n’est pas encore reconnu officiellement par la loi française mais cela ne devrait pas tarder. En attendant, c’est une astuce naturelle bien connu du jardinier écologique. Au jardin bio, on va donc utiliser plusieurs purins, selon ce qu’on cherche à faire. Certains purins vont éloigner les insectes et les acariens, par l’odeur la plupart du temps. Les purins fongicides Un fongicide est une substance destinée à éliminer le développement des champignons parasites. Le purin d’ail (Allium sativum) Le purin d’ail est également insecticid. Pour un usage insecticide, on laisse macérer 100g d’ail dans 2 cuillères à soupe d’huile de lin, pendant une demi-journée, avant de rincer et filtrer. Le purin de prêle des champs (Equisetum arvense) On l’obtient par décoction de 500g de prêle (sèche) dans 5 litres d’eau. Les purins insecticides
Jardin au naturel/Pourquoi créer un jardin au naturel ? — Wikilivres Un livre de Wikilivres. Qui n'aime pas écouter le chant des oiseaux, sentir le parfum des fleurs ? Qui ne s'émerveille pas à l'envol d'un papillon ou, plus rare, d'une libellule ? Enfin, un jardin au naturel permet de réduire son empreinte écologique tout en contribuant à reconstituer une trame verte et bleue indispensable à la survie de nombreuses espèces. Comment réussir un potager de balcon - Page 2 sur 2 Pour réussir votre potager sur balcon, suivez nos conseils pratiques. Les deux principes du potager sur balcon 1 – La culture en carrés Je vous recommande de suivre la méthode de culture en carrés qui a été décrite par Mel Bartholomew dans un livre publié en 1981, « Square Foot Gardening ». Il y décrit cette méthode qui consiste à faire des cases de 30 cm de côté, de les mettre dans un ensemble carré de 1,20m x 1,20m, au maximum. On peut bien sûr regrouper les carrés par multiples de 30 cm en fonction des plantes cultivées : 2 – La rotation des cultures Le 2ème principe permet au potager sur balcon d’obtenir d’excellents rendements : une plante remplace l’autre. Pensez par exemple à mélangez les aromates et les légumes. Cette rotation des plants a le mérite de ne pas épuiser la terre : les plantes et légumes ayant des besoins nutritifs différents, votre sol est mieux préservé. Optimiser son potager de balcon selon l’ensoleillement 4 à 6 heures de soleil par jour 6 heures de soleil par jour.
Comment réussir un potager de balcon Pour réussir votre potager sur balcon, suivez nos conseils pratiques. Les balcons de ville se couvrent de plus en plus de petits potagers, les terrasses d’appartement deviennent de véritables jardins où prospèrent des variétés inattendues de plantes décoratives ou alimentaires. Quel type de potager pour quel balcon ? Votre potager sur balcon peut prendre différentes formes selon la configuration de votre balcon ou terrasse : En hauteur : potager surélevé est recommandé pour les personnes qui ont du mal à se baisser et veulent travailler à hauteur, sans avoir à se pencher. Sur mon balcon – Et la terre ? Il existe du terreau spécial plus riche en éléments nutritifs qui permet d’en mettre moins (moins de poids et de place). Pensez à bien : nettoyer tous vos contenants (pots ou bacs), avant d’effectuer la plantationéviter les pots en terre qui cassent avec le gel,déposer une pierre et une couche d’argile au fond des pots et bacs. Quelles plantes pour réussir un potager de balcon ?