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Un système de culture autonome en eau et autofertile?

Un système de culture autonome en eau et autofertile?
Derrière cet anglicisme se cache un système de culture utilisé fréquemment en permaculture très intéressant. On pourrait traduire ce dernier par « une jardinière autosuffisante », beaucoup moins fun me direz-vous…N’hésitez pas à nous proposer des noms après lecture de l’article, si celui-ci vous inspire. Pour simplifier, le « wicking beds » est un système de culture éventuellement mobile, en jardinière donc « hors-sol », et complètement autosuffisant en eau et en fertilisant si on le souhaite. Les avantages sont énormes dans certains contextes, culture sur béton, parking, toitures, sols incultes, tout d’abord. On diminue aussi les intrants énergétiques : le travail tout d’abord, pas d’arrosage, travail en hauteur qui demande moins d’effort…Les intrants chimiques ensuite, pas d’engrais, ni de pesticides-désherbant. Que vous ayez un jardin ou une ferme, c’est une des techniques de permaculture extrêmement efficaces. Fonctionnement Forme et dimensions Avantages Inconvénients Optimisation

Bienvenue dans l’agriculture de demain, libérée des pesticides et du pétrole, et créatrice de dizaines de milliers d’emplois Ce jour de printemps, Charles Hervé-Gruyer est accroupi au pied d’une butte de terre et repique des navets. Autour, une mare et un cours d’eau où viennent se réfléchir les rayons du soleil, de quoi augmenter légèrement la température de la butte cultivée. Nous sommes ici sur une petite île de la ferme du Bec Hellouin, à une cinquantaine de kilomètres de Rouen, dans l’Eure. Des canards [1] barbotent et viennent, quand c’est nécessaire, happer les limaces qui menacent les cultures. Un peu plus loin, un jardin-forêt – entendez, des arbres et arbustes fruitiers mélangés à des plantes aromatiques et médicinales – abrite les cultures des vents dominants. « Nous avons créé des petits milieux qui interagissent entre eux, avec une circulation de la matière organique », explique Charles. « Un cocon de nature vivante, protégée. » Sur son île, Charles Hervé-Gruyer ressemble un peu à un aventurier… de l’alimentation de demain. « Les déchets de l’un font les ressources de l’autre »

La serre poulailler, une symbiose alimentaire et énergétique Le but de cette conception est de créer un système autosuffisant, où le travail humain se résume à relier les éléments entre eux. Comment fonctionne la serre poulailler ? On construit une seule structure combinant une serre adossée au mur sud du poulailler, en ménageant un passage d'air entre les deux (fenêtre grillagée). Ainsi la chaleur de la serre tempère le poulailler durant la journée, et la chaleur dégagée par les poules maintient la température de la serre la nuit. Dans la serre, on pourra cultiver des plantes potagères sensibles au froid, qui pourront être consommés par les poules comme par leurs propriétaires. Les plantes amèneront de l'oxygène aux poules, et les poules du dioxyde de carbone et de l'humidité ambiante pour les plantes. Les parties non consommées des plantes seront séchées pour servir de litière aux poules, et lorsque cette litière devra être changée, le fumier servira de paillis fertilisant aux plantes. La Fée VERTE

Garden Tower : le jardin bio à domicile Comment cultiver une nourriture saine de ses propres mains quand on habite en ville ? C’est pour répondre à cette question qu’est née la Garden Tower, véritable petit jardin urbain de 7,6m2 de surface cultivable pour à peine plus d’1m2 de surface au sol. Conçue en plastique recyclable, cette petite tour autonome qui vise à relocaliser la production alimentaire accueille jusqu’à 50 plantes grâce au compost qu’elle génère elle-même. Qui n’a jamais rêvé de cultiver ses propres légumes et salades ? Ecologique et quasi-autonome © Garden Tower Project Perforée de larges fentes, la tour permet de cultiver jusqu’à 50 plantes différentes de façon rapide et naturelle. De par sa structure qui limite l’évapotranspiration, la tour consomme moins d’eau qu’une culture sur sol à surface équivalente ou d’autres conteneurs traditionnels. Projet collaboratif et socialement responsable Son succès, la Garden Tower le doit en partie à une opération de crowdfunding en 2013. Nicolas Blain

Permaculture Plantain : cette petite plante de nos jardins est l’un des médicaments les plus utiles de la planète. Vous avez l’avez piétinée, ignorée, et vous avez même essayé de l’éliminer de votre pelouse. Cependant, cette petite herbe inoffensive est l’un des médicaments les plus utiles de la planète, et elle ne demande qu’à être récoltée. Le Plantain lancéolé et le Grand (Plantago major): En général, les 250 espèces de cette plante ont les mêmes propriétés. Ces petites herbes se plaisent particulièrement dans les terrains incultes, pauvres, caillouteux (on en trouve très souvent sur le bord des routes) et elles poussent la plupart du temps aux côtés des pissenlits (qui ont eux aussi de nombreux bienfaits sur la santé). Vous la trouverez également sur les sites de construction car la nature essaie de régénérer le sol. Le grand (Plantago major)ou plantain des oiseaux, originaire d’Europe, a ses feuilles basales qui sont disposées en rosette. Indications : Il faut savoir que l’aucubine favorise l’élimination par les reins et a des propriétés antimicrobiennes. Contre-indications : Posologie:

La permaculture peut-elle faire vivre des agriculteurs ? Ni pollution, ni pétrole, ni pesticide. La permaculture apporte des réponses détonantes aux critiques faites à l’agriculture conventionnelle. Elle permet de cultiver beaucoup sur une petite surface, le tout en créant de véritables éco-systèmes cohérents et auto-fertiles. Une première étude réalisée sur le sujet en France vient d’être publiée par le Sad-apt (un laboratoire commun à l’Institut national de recherche agronomique (Inra) et l’école Agro Paris Tech). Téléchargez ci-dessous l’étude complète : Les légumes produits sur la ferme en 2012 - où la météo a été particulièrement médiocre - montrent que l’on peut réaliser au moins 32 000 euros de chiffre d’affaires [1] pour 1400 heures de travail sur une surface cultivée d’environ 1000 mètres carrés. A lire aussi sur Terraeco.net : Bio et hyperproductive, la ferme magique d’un agriculteur québécois Notre dossier : Paysans, la nouvelle idyle

Technique de permaculture | monjardinpolitique Bien qu’il y ait une description de mulch en couche pour jardins dans Permaculture 1 (p. 1181), cette technique a provoqué de nombreuses questions, auxquelles j’espère pouvoir répondre ici. Cette technique est illustrée sur la fig. 3.3, et des méthodes similaires sont décrites par Ruth Stout en même temps que d’autres, publiées ou non, qui toutes connaissent des variations. Un film vidéo de l’auteur faisant la démonstration du procédé peut être obtenu par W.A.I.T. (West Australia Institute of Technology, Perth) : contactez Barry Oldfield, ou via Smith’s Bookstore, Canberra, contactez Harry Smith. La toute première chose à savoir sur le mulch en couche est qu’il épargne beaucoup de travail et économise beaucoup d’eau, tout en utilisant des matériaux que l’on a l’habitude de jeter. Le fait d’utiliser du mulch permet également aux services publics d’économiser de l’argent tout en produisant un excellent sol. 75 mm de, au choix : ou un mélange de ces matériaux. 150 mm de, au choix : OK.

La permaculture au sein de l’agriculture urbaine : Du jardin au projet de société 1Stimulée par une recherche contemporaine de relations environnementales et collectives plus harmonieuses, l’ambition d’une agriculture intégrée à des cycles écologiques durables rencontre un souhait citoyen de réinvestir la ville. Les expériences présentes de permaculture et leurs développements dans le mouvement des villes en transition tendent vers ces objectifs. Cet article, prolongeant les potentialités d’aménagement de l’agriculture urbaine au travers de la permaculture se propose de décrire les possibilités de mise en œuvre de production de « cultures alternatives » dans leurs sens le plus large. Pour cela, nous essayerons d’abord de définir la permaculture à partir d’elle-même. Puis, nous chercherons sa spécificité dans ses contrastes avec les disciplines qui travaillent l’agriculture urbaine : l’agriculture et l’urbanisme.Ensuite, nous envisagerons la permaculture, non plus comme seule méthode d’agriculture dans la ville, mais comme une méthode de conception de l’urbain.

monjardinpolitique | Ou comment faire de la politique en jardinant… tout un programme !!! Les miracles de la permaculture ,La productivité insoupçonnée de la terre Faites le test autour de vous. Affirmez haut et fort que nous pourrions nous passer des engrais et des pesticides. Ajoutez que l’utilisation de l’espace agricole en France pourrait être optimisée et que les monocultures défigurent une grande partie de nos paysages. Prétendez que nous pourrions produire beaucoup plus, sur de plus petites surfaces, en recréant des emplois en masse. Arguez que les fermes du XXIe siècle seront non seulement productives, mais magnifiquement belles et que les paysans qui y travailleront gagneront peut être mieux leur vie que les agriculteurs d’aujourd’hui. Je ne donne pas cher de votre peau. Et pourtant, ce que l’agroécologie et la permaculture – entre autres – sont en train d’apporter à la réflexion agronomique démontre, s’il en était encore besoin, à quel point cette vision est fondée. Je m’engage aux côtés de Kaizen pour un monde de solutions. Je fais un don Recréer la diversité et l’interdépendance des écosystèmes

untitled La permaculture et l’agroécologie — Des solutions sensées aux problèmes modernes | écomestible Posted by admin on Lundi, novembre 11, 2013 · Leave a Comment La permaculture et l’agroécologie sont des approches apparues dans les années 70 face à la destruction massive des sols et de la biodiversité par l’agriculture industrielle et chimique. La permaculture a été fondée en Australie, vers la fin des années soixante par Bill Mollison et David Holmgren. C’est une approche au design des systèmes humains basées sur l’observation. Elle peut s’appliquer autant à votre jardin potager, qu’à un nouveau développement résidentiel ou à une ferme laitière. Trois principes fondateurs composent l’éthique centrale : obtenir une récolte, soigner la terre et redistribuer les surplus. L’agroécologie est plus connue chez nos cousins français. Le Québec à connu sa révolution verte comme ailleurs en adoptant l’agriculture chimique et mécanisée.

Faire un max de blé grâce à la permaculture : La méthode Fukuoka-Bonfils | Jardinons la planète Un permaculteur complètement inconnu du grand public a peut-être mis au point une technique de production de blé révolutionnaire. Alors qu’en Beauce aujourd’hui, les agriculteurs les plus en pointe lèvent fièrement leur poitrail en réalisant 100 quintaux de blés à l’hectare, Marc Bonfils, déclarait dès les années 80 pouvoir en produire 150. Sa solution? S’inspirer de la physiologie de la célèbre graminée. Une démarche qui prend sa source dans la lecture du livre de Fukuoka, la révolution d’un seul brin de paille. Qui est Marc Bonfils? Autant le dire tout de suite, la vie de ce personnage est des plus énigmatique. Avant toute chose, j’ai essayé de connaître le personnage et éventuellement rentrer en contact avec lui pour obtenir des informations de premières main, mais ce curieux permaculteur avait déjà rendu l’âme. La culture moderne du blé Avant de détailler la méthode de Marc Bonfils, il convient de décrire rapidement la culture du blé telle qu’elle est aujourd’hui. J'aime :

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