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Fefaur - Etudes et conseil e-learning

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Woonoz Rapport "Ouverture et partage des données publiques culturelles" - C/blog La politique d’ouverture et de partage des données publiques (« open data ») est une politique voulue par le président de la République et le Premier ministre à laquelle le ministère de la Culture et de la Communication entend donner sa pleine mesure. Le mouvement d’ouverture et de partage des données publiques du secteur culturel ou « open data » culturel est un sujet de fond qui innerve aujourd’hui les réflexions de l’ensemble des acteurs culturels évoluant dans l’économie du numérique. Si l’ouverture des données publiques sert à la fois la modernisation de l’action publique, la transparence démocratique ainsi que l’innovation économique, sociale et culturelle ; l’open data représente avant tout un puissant levier de croissance pour l’économie culturelle française et de transformation des stratégies de développement des institutions culturelles. L’open data culturel ne peut se développer de manière pérenne que s’il s’inscrit dans un cadre juridique adapté aux données publiques.

Cours en ligne, classe inversée et visioconférences au secours des étudiants de médecine à Madagascar Pour former 7 000 futurs médecins, les 70 professeurs de l’université d’Antananarivo parcourent la province et développent des alternatives numériques. A Madagascar, enseigner la médecine est un marathon permanent. Sous-effectif oblige, les 70 professeurs de l’Université d’Antananarivo sillonnent les cinq autres facultés réparties sur un territoire grand comme la France, pour former plus de 7 000 aspirants médecins. « Quand on enseigne en province, on fait notre cours en deux ou trois semaines, à raison de huit heures par jour », explique d’un ton calme l’un de ces « enseignants missionnaires », Guy Raoelison. Lire aussi : Les universités africaines voient l’avenir en MOOC Casse-tête d’organisation « C’est une situation insupportable, tant pour les enseignants que pour les étudiants », ajoute Pierre Pacaud, un expert technique rémunéré par la coopération française. Lire aussi : Des écoles pour faire naître une nouvelle génération de codeurs « made in Africa » Numérisation plébiscitée

Début des grandes manœuvres dans l'e-learning Éditeurs et plates-formes numériques vont se disputer un marché à forte croissance. Depuis que Bill Gates en a fait l'une des priorités de sa fondation, l'e-learning apparaît comme le nouvel eldorado du numérique. Les initiatives fourmillent. Xavier Niel, le fondateur de Free, a investi dans le secteur au Pakistan, et Jean-Marc Tassetto, l'ex-patron de Google France, a lancé, en association avec l'École polytechnique de Lausanne, un projet pour lequel il espère lever un à deux millions d'euros l'an prochain. Aux États-Unis, les plus prestigieuses écoles ont enclenché leur transformation. Le secteur est en pleine expansion, car le potentiel est considérable. «Ce qui s'est passé dans les industries de la musique et des médias devrait arriver encore plus vite dans l'édition scolaire», prédit Jean-Marc Tassetto.

Allistene, L'alliance des sciences et technologies du numérique Thot Cursus Transfert technologique | iCOMMUNITY Le transfert en chiffres Innover avec Inria Innover avec Inria, c'est : un accès direct à plus de 160 équipes de recherche, au meilleur niveau mondial dans chacune de leurs spécialités ; représentant plus de 3400 scientifiques une équipe d'une cinquantaine de spécialistes dédiés aux relations avec les entreprises, en contact quotidien avec les équipes de recherche et les entreprises une présence nationale (avec 8 centres de recherche à Bordeaux, Grenoble, Lille, Nancy, Rocquencourt, Rennes, Saclay, Sophia-Antipolis et des implatations régionales) une volonté forte d'accompagnement des projets d'innovation des PME l'intégration entre recherche de haut niveau et développement technologique : environ 100 nouveaux logiciels déposés chaque année et plus de 300 brevets en portefeuille la porte d'entrée vers un riche écosystème d'...

A propos Depuis quelques années, le monde virtuel s’agite ! Le numérique bouillonne plus que jamais et draine d’innombrables questions éthiques, sociales et politiques. C’est dans ce contexte riche et hautement tourmenté qu’est né Mais où va le web. En ligne de mire un constat simple : le milieu ambiant fait preuve d’une complaisance exagérée à l’égard des nouvelles technologies et de l’innovation. En effet, à l’heure où la critique et la mesure doivent nous guider dans nos réflexions, l’extase et l’émerveillement sont devenus des normes qui caractérisent la pensée digitale. Ainsi, une ligne éditoriale à contre-courant devait naturellement trouver son créneau pour creuser les sujets innovants, ausculter les (r)évolutions technologiques et éclairer le débat du prisme de la technocritique. Naturellement, Mais où va le web reste un carnet de bord subjectif et surtout totalement libre, qui n’a pas vocation à devenir un média relayant des « news » ou commentant démesurément l’actualité.

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