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Cinq intox sur la « théorie du genre »

Cinq intox sur la « théorie du genre »
Des centaines de parents ont retiré, hier, leurs enfants de l'école pour protester contre « l'enseignement obligatoire de la théorie du genre » dès la primaire. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Jonathan Parienté C'est le dernier « coup » des opposants à la supposée « théorie » du genre : suivant les recommandations de Farida Belghoul, ancienne figure de la lutte des « Beurs » des années 1980, devenue proche du militant d'extrême droite Alain Soral, des dizaines de parents ont retiré, lundi 27 janvier, leurs enfants de l'école pour protester contre « l'enseignement obligatoire de la théorie du genre » dès la primaire. Lire les dernières informations Après des boycotts de parents, Peillon dément tout enseignement du « genre » à l'école Une vaste opération d'intox, qui repose sur des fantasmes de plus en plus répandus. Or, c'est tout simplement faux. Lire : La « théorie du genre », ennemie de « l'ordre naturel » Deuxième intox : l'enseignement de la « théorie du genre » devient obligatoire

Genre : état des lieux La Vie des idées : « Gender studies », « théorie du genre », « théorie du gender », « théorie du genre sexuel » : les associations catholiques et les députés accablent ces théories de tous les maux, sans jamais les définir. Peut-on définir les gender studies, ou études de genre ? Laure Bereni : L’expression « études sur le genre » (on parle aussi, indifféremment, d’« études genre » ou d’« études de genre ») s’est diffusée au cours des dernières années en France pour désigner un champ de recherche qui s’est autonomisé dans le monde académique depuis une quarantaine d’années, et qui prend pour objet les rapports sociaux entre les sexes. La première réaction que m’inspirent les discours des contempteurs du genre, c’est qu’il est faux de laisser penser qu’il existerait une théorie du genre. Ce label utilisé par les adversaires des recherches sur le genre laisse entendre qu’il existerait un corpus idéologique homogène et doté d’une stratégie politique déterminée.

Pedro Almodóvar Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pedro Almodóvar Pedro Almodóvar à Madrid en septembre 2008. Pedro Almodóvar Caballero est un réalisateur de cinéma espagnol, né le à Calzada de Calatrava dans la province de Ciudad Real et la communauté autonome de Castille-La Manche, en Espagne. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et premiers pas artistiques[modifier | modifier le code] Vers 18 ans, il quitte sa maison seul pour s'installer à Madrid, sans argent et sans travail, mais avec un projet très concret : étudier le cinéma et en faire son métier. Il survit grâce à divers petits métiers et s'achète sa première caméra super 8 après avoir décroché un emploi à la Compagnie nationale de téléphone d'Espagne. Il collabore à diverses revues underground et écrit des nouvelles dont certaines sont publiées. Carrière cinématographique[modifier | modifier le code] En 1986, il fonde avec son frère Agustín Almodóvar la maison de production « El Deseo S.A. ». — Pedro Almodóvar.

Challenging Gender Stereotypes in Pedro Almodovar's All About My Mother | Adilbek Sultanov character. Esteban, although he indirectly has impact on later events, unfortunately dies too early tomake a difference to the story in first-hand. He, it can be said, himself becomes an object of Manuela and Lola‟s grief and others‟ pity. his disease. a woman‟s mercy, and anineffective family member, hence an object of care and pity. , Huma, Rosa, Nina, and Rosa‟s mother,all have distinct personalities, which portray them beyond simple “to -be-looked-at- ness”. no sexual scenes, which would otherwise make the film conform to a stereotypical voyeuristic practice. Even women‟s red outfits, so popular with the heroines, reflect their aggressive and active position in the story. centrism appears to be inapplicable to “All about mymother”, and even reversed to a certain extent. women‟s role in the plot, in that he questions the importance of clear male/female gender divisions per se.

Gender : l'impossible débat ? La première chose qui me frappe sur les débats actuels autour du genre, c’est la différence de vocabulaire entre « pro » et « anti » sur le sujet. La notion même de « théorie du genre », si fréquemment utilisée par ses opposants, est rejetée avec vigueur par ceux qui défendent les « études de genre ». « Théorie du genre » / « étude de genre », de quoi parle-t-on ? « Le fondement de cette théorie consiste à nier la réalité biologique pour imposer l’idée que le genre « masculin » ou « féminin » dépend de la culture, voire d’un rapport de force et non d’une quelconque réalité biologique ou anatomique. » Sur Wikipedia, nous trouvons cette définition sur les études de genre : Le constat est évident : les définitions ne coïncident pas et j’irais même jusqu’à dire qu’elles montrent que les opposants à la « théorie du genre » dénoncent des positions que ne tiennent pas nécessairement les partisans des « études de genre ». Un débat qui ne peut être que nuancé Comment situer cet exemple ?

Précieuses études de genre Même si l’égalité entre femmes et hommes est aujourd’hui un engagement de la République, les chiffres révèlent une réalité toujours accablante. L’origine de ces inégalités, c’est l’existence tenace de stéréotypes qu’il faut s’efforcer d’éradiquer. C’est là que s’inscrivent les sciences du genre, abordées dans ce dossier de CNRS Le journal. Même si l’égalité entre femmes et hommes est aujourd’hui un engagement de la République, les chiffres révèlent une réalité toujours accablante. La connaissance biologique du monde vivant est propre à renverser les idées préconçues qui touchent au sexe, trop souvent envisagé sous le prisme restreint de l’espèce humaine. Les études biologiques ne prennent pas toujours en compte le sexe, ce qui conduit à une certaine ignorance des mécanismes de santé spécifiques d’un sexe ou de l’autre. Refermer l'édito

La caricature, genre du moment “Théorie du genre ! idéologie diabolique” crient les uns, “théorie du complot ! obscurantisme !” rétorquent les autres. De toutes part, l’outrance et la caricature font florès. Fikmonskov a bien raison de rembarrer ainsi les “anti-genre” : “nous nous sommes enfermés dans un refus catégorique, qui nous oblige à nous réjouir de ce qu’un maire offre des cartables roses aux filles et bleus aux garçons, juste parce que ça fait hurler les féministes. Le sujet est sensible, au point qu’il est devenu difficile d’écrire sur ce sujet sans entamer l’article par quelque chose comme “oui, il existe des études très intéressantes analysant les rôles sociaux que jouent femmes et hommes etc.”. M’abstenant de ces précautions d’usage, je voudrais souligner quelques points qui me posent difficulté dans le concept de genre. il faut d’abord dire que, même pour qui fait l’effort de s’y pencher, le contenu des études de genre est loin d’être limpide. Dans le journal du CNRS, du prêt-à-penser pour un public bac+10

Vous reprendrez bien encore un peu de Gender ? Encore ? Encore ! L’ouragan d’absurdités qui s’abat actuellement en République du Bisounoursland a commencé, comme toutes les tempêtes, par un petit vent étrange et presque amusant au départ. Au début, cela fut facile et passa presque inaperçu : il s’agissait de promouvoir l’ « égalité homme-femme », ce qui est un but noble lorsqu’on s’empresse de préciser sa pensée en accolant « en droit » à l’égalité recherchée. Et bien évidemment, qui aurait pu s’opposer à l’égalité en droit des hommes et des femmes ? On est en France, que diable, et si ce pays doit rayonner sur le reste du monde, que ce soit au moins pour cette belle égalité. Partant de là, le reste s’est enclenché naturellement : l’égalité en droit est devenue l’égalité salariale, qui fut atteinte sans même forcer la machine (au contraire de ce que continuent de braire ceux et celles qui réclament toujours plus de lutte contre un mythe ). Les socialistes officiels sont au pouvoir depuis une douzaine de mois à présent.

Fédération de recherche sur le genre RING - université Paris 8 Cette journée est ouverte à toutes et à tous Université Paris-Dauphine Jeudi 13 juin 2013, salle A403 Programme 9h30 : Accueil 1/ La pédagogie du genre : dissiper les malentendus Le genre et la difficulté à l’enseigner à l’Université. Enseigner la sociologie du genre à Dauphine : un parcours de combattantes. 2/ 11h30 : Le genre incontournable Le genre dans un enseignement d’anglais. Le genre dans les enseignements de sociologie générale. Pause déjeuner 3/ 14h30 : Le genre à Dauphine et ailleurs : une place jamais acquise ? Les grands témoins : Dominique Fougeyrollas (sociologue, IRISSO, CNRS-U. Côté étudiants : Réaction et résistance à la sociologie du genre ? Pause café PRESAGE, le genre à SciencesPo (Hélène Périvier, OFCE, SciencesPo) (20 min) discussion avec la salle 4/ 16h30 La diversité : cache-genre ou cheval de Troie ? 17h :Conclusion de la journée Contact : Céline Bessière, celine.bessiere@dauphine.fr

Le Magazine Littéraire « enquête  sur les études de genre | «Genre! Je continue sur la série "Le Genre C’est Le Mal". Le Magazine Littéraire a publié dans son numéro de janvier 2013 une "Enquête sur les ‘gender studies’". Les études de genre semblent susciter un intérêt certain dans les médias, dû non pas au fait qu’il "envahisse" l’Université française, comme on a pu le prétendre, mais à la polémique issue des milieux catholiques conservateurs en 2011 et relancée par le mariage pour tou·te·s. Un article récent de Sciences Humaines (magazine de vulgarisation de référence), intitulé "Masculin – féminin: le genre explique-t-il tout? (question rhétorique s’il en est), est très bien analysé sur le blog Une heure de peine dans "Du genre face à la paresse intellectuelle". Denis Colombi montre en quoi il constitue un condensé des idées reçues que l’on retrouve de manière systématique chez les polémistes "anti-genre". Un mot d’abord sur son titre: "Enquête sur les ‘gender studies’". Qu’y trouve-t-on? Des éléments intéressants… Alors, la théorie du genre?

France : Pop, 6 ans, l'enfant suédois sans sexe En Suède, où plusieurs crèches mettent en pratique la théorie du genre, un couple élève son enfant sans révéler son sexe. Fille ou garçon? On ne sait toujours pas. En 2009, un couple de Suédois déclenchait une polémique en indiquant qu'il ne voulait pas révéler le sexe de son enfant de 2 ans. «Nous voulons que Pop grandisse librement, et non dans un moule d'un genre spécifique, ont raconté ses parents au quotidien Svenska Dagbladet. Les deux parents, qui ont eu Pop à 21 ans, ont décidé de travailler à mi-temps, pour pouvoir s'occuper de lui, plutôt que de l'envoyer à l'école maternelle. «De nombreux parents en Suède élèvent leurs enfants de façon aussi neutre que possible, dans le but de leur donner plus de possibilités, au lieu de les limiter», souligne Mia Sjöström, la journaliste qui a révélé l'affaire. » Sexisme: la théorie du genre fait son nid » Cette crèche suédoise où filles et garçons ont disparu

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