background preloader

Addiction et Jeux Vidéo [2 minutes pour convaincre]

Addiction et Jeux Vidéo [2 minutes pour convaincre]

INRP_RF136_14.pdf Combattre l'addiction aux jeux vidéo Juillet 2015 Dans l'immense majorité des cas, la consommation des jeux vidéo par les ados et pré-ados est avant tout... le problème des parents ! Sur le plan clinique, les véritables addictions pathologiques aux jeux vidéo sont rarissimes, même si elles sont bien réelles. Comment canaliser la fascination exercée par ces jeux sur les enfants ? Les jeux vidéo : une passion moderne controversée Les jeux vidéos sont les jeux préférés des 10-15 ans, et concernent davantage les garçons que les filles. Au centre d'un véritable débat de société, les jeux vidéo font polémiques y compris dans la communauté des psychologues. 5 conseils pour bien utiliser les jeux vidéos Premier conseil : s'interdire d'interdire ! Deuxième conseil : s'initier aux jeux honnis, car pour mieux sortir l'enfant du jeu, il est préférable d'y entrer avec lui ! Ce contact est essentiel pour avancer sur la voie d'une utilisation raisonnée de la console de jeux à la maison. Troisième conseil : fixer des règles réalistes.

L'addiction aux jeux vidéo : mythe ou réalité ? Peut-on vraiment être dépendant aux jeux vidéo ? C'est la question que nous avons posée au Docteur Bruno Rocher, psychiatre spécialisé dans ce domaine. Pour ce médecin du centre de référence en la matière, la réponse est clairement oui. Et il affirme que renforcer la pédagogie pour les parents est primordial. Peut-on, médicalement parlant, devenir dépendant aux jeux vidéo ? Pour faire le point sur ce dossier aussi passionné que passionnant, nous avons interrogé le psychiatre Bruno Rocher, expert en addictologie et spécialiste de l’addiction aux jeux vidéo ou aux jeux d’argent, qui officie au sein du très réputé Centre de Référence sur le Jeu Excessif, au CHU de Nantes. Pour le docteur Rocher, l’addiction aux jeux vidéo est une réalité. L’addiction et les pratiques excessives ne doivent pas être opposées, nous explique Bruno Rocher. Quels critères pour décrire la dépendance ? Les critères pour qualifier un joueur d’addict ne sont pas définitivement arrêtés. Qui sont les joueurs addicts ?

I - Addiction aux jeux I. L'addiction aux jeux Introduction : Nous avons choisi de viser les personnes souffrant de l’addiction aux jeux vidéo et aux jeux d’argent. Ici, la personne « addict » est totalement soumise à une activité comme son jeu, qui prend le pas sur tout le reste (famille, loisirs, activités sociales, travail). Sa vie ne tourne plus qu’autour de cette activité qui la place dans un état de manque terrifiant à tel point qu’elle ne peut s’y adonner. Le joueur pathologique, appelé aussi joueur compulsif, est une personne qui a perdu le contrôle de sa relation au jeu, pour qui le jeu n'est plus un plaisir, mais un besoin qui mobilise toute son énergie et lui cause une souffrance telle qu'il souhaite arrêter, mais n'y arrive pas sans aide. A. 1. Une recherche a été faite en 2011 remarquant que 27 millions de personnes c'est-à-dire plus de la moitié des adultes français jouent au moins une fois par an à un des jeux dans les casinos, en ligne, sur des sites internet, ou encore sur une console de jeux.

Dépendance au jeu vidéo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance au jeu vidéo désigne un trouble psychologique caractérisant un besoin irrésistible et obsessionnel de jouer à un jeu vidéo. L'addiction aux jeux vidéo entraînerait chez le joueur des comportements au caractère répétitif et compulsif, comme chez les joueurs pathologiques ou les consommateurs de substances psychoactives. Controverse[modifier | modifier le code] Le 6 mars 2012 l'Académie nationale de Médecine précise qu'il est préférable de parler de « pratique excessive » que d'addiction aux jeux-vidéo et cela pour deux raisons[1] : il n'y a à ce jour aucun consensus scientifique sur l'existence d'une réelle addiction aux jeux vidéo ;le terme « pratique excessive » est plus approprié car moins stigmatisant. Ainsi, le psychanalyste Yann Leroux affirme pour sa part qu’« Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo[2]. » De même, Keith Baker, spécialiste de l'addiction, a créé en 2006 un centre de désintoxication.

Related: