Affaire Vincent Lambert
Vincent Lambert[modifier | modifier le code] Le 29 septembre 2008, un grave accident de la route met fin à son existence consciente. S'ensuit un long processus médical, juridique, puis politique et médiatique, visant à déterminer la nature de son état, et, partant de là, à décider de l'opportunité de poursuivre ou non les soins de maintien en vie. Vincent Lambert meurt le 11 juillet 2019 à 8 h 24 au CHU de Reims[6]. Après une autopsie, son corps est restitué le 12 juillet à sa veuve, Rachel Lambert. Ses obsèques et une cérémonie religieuse ont lieu le 13 juillet, dans l'intimité familiale, en l'église Saint-Dagobert à Longwy, là où il est ensuite inhumé[7]. Chronologie[modifier | modifier le code] Évolution de la situation médicale de Vincent Lambert[modifier | modifier le code] 2008 : Le 29 septembre[9], un accident de la route provoque un traumatisme crânien qui plonge Vincent Lambert dans un coma végétatif. 11 juillet 2019 : L'arrêt des fonctions vitales est constaté à 8 h 24[6].
Affaire des caisses noires : trois questions sur la condamnation du patron de l'UIMM
Par Francetv info avec Reuters Mis à jour le , publié le Partager Le tribunal correctionnel de Paris a condamné, lundi 10 février, l'ex-patron Denis Gautier-Sauvagnac à trois ans de prison, dont deux avec sursis, pour abus de confiance et travail dissimulé, dans l'affaire de la "caisse noire" de l'Union des industries et des métiers de la métallurgie (UIMM). Qui sont les condamnés ? Denis Gautier-Sauvagnac, ancien grand nom du patronat français, était le principal mis en cause dans ce procès qui s'est ouvert début octobre 2013. Le tribunal s'est donc montré plus sévère que le procureur, qui avait requis, en octobre, une peine de 2 ans de prison avec sursis et 250 000 euros d'amende. Trois autres anciens dirigeants de l'organisation patronale ont été condamnés à des peines allant de deux mois à un an de prison avec sursis. Que leur reproche-t-on ? Ces fonds étaient au départ destinés à apporter "un appui moral et matériel" à ses adhérents subissant un conflit du travail.
La justice confie la tutelle de Vincent Lambert à sa femme
VIDÉO - La décision est surprenante, les acteurs du dossier s'attendaient à ce que le tuteur soit extérieur au conflit qui oppose la famille de cet homme hospitalisé depuis 2008 en état végétatif. Les parents de Vincent Lambert, outrés, ont d'ores et déjà fait appel. La décision est un nouveau coup de théâtre dans l'affaire Lambert. Le juge des tutelles de Reims a confié à l'épouse de Vincent Lambert, Rachel Lambert, la tutelle de son mari, hospitalisé depuis 2008 en «état de conscience minimale». » À lire aussi: Qui est Rachel Lambert, l'épouse et (désormais) tutrice de Vincent Lambert? Rachel Lambert a été nommée tutrice pour une période de 120 mois. Le jugement, que s'est procuré Le Figaro, justifie la désignation de Rachel Lambert comme la continuité et le renforcement de son statut de représentante légale de son mari. » À lire aussi: Vincent Lambert: les leçons à tirer d'une déroute éthique et médicale
Le gynécologue André Hazout condamné à 8 ans de prison pour viols et agressions sexuelles
Par Francetv info avec AFP Mis à jour le , publié le Partager Après trois semaines d'audience, le gynécologue André Hazout a été condamné à huit ans de prison, jeudi 20 février, pour des viols et agressions sexuelles sur six de ses patientes. Après quatre heures de délibéré, la cour d'assises a répondu oui à toutes les questions sur la culpabilité de ce spécialiste mondialement reconnu de la procréation médicalement assistée (PMA). Des femmes vulnérables... Cinq patientes du docteur Hazout s'étaient constituées partie civile, aux côtés du Conseil de l'ordre des médecins et du Collectif féministe contre le viol. A la barre, les victimes racontent toutes la même histoire. Certaines de ses victimes disent avoir cédé à ses avances, parlent d'actes consentis, même si elles n'étaient pas demandeuses. ... face à un praticien qui avait "l'ascendant" Au cours de son procès, le docteur Hazout a reconnu quatre agressions sexuelles. Une profession confrontée à un "désastre déontologique"
Affaire Tapie-Crédit lyonnais : si vous avez manqué un épisode
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Jonathan Parienté Dans un entretien exclusif au Monde diffusé vendredi 29 novembre, Bernard Tapie s'explique sur les soupçons de fraude qui pèsent sur le règlement de son conflit avec le Crédit lyonnais et assure « regretter » d'avoir accepté l'arbitrage à l'issue duquel il a perçu de l'Etat, en juillet 2008, 405 millions d'euros. Mis en examen pour « escroquerie en bande organisée », l'homme d'affaires, accompagné de son avocat, a défendu sa version et donné des précisions inédites sur la responsabilité de Claude Guéant, l'ancien bras droit de Nicolas Sarkozy à l'Elysée. Pour tout comprendre, retour sur les épisodes de cette affaire de ses débuts, en 2008, à aujourd'hui. Où commence l'affaire ? Pourquoi l'Etat est-il concerné ? Pourquoi le recours au tribunal arbitral est-il contesté ? Qu'est-il reproché à Bernard Tapie ? Qu'est-il reproché à Christine Lagarde ? Qu'est-il reproché à Stéphane Richard, "dircab" de Mme Lagarde ? Où commence l'affaire ? M.
Le tueur en série Emile Louis est mort
Emile Louis a été découvert mort, dimanche matin, à la prison hôpital de Nancy, a annoncé L'Est républicain. Une information confirmée dans la soirée par son avocat. L'homme de 79 ans avait été condamné en 2004 à la réclusion criminelle à perpétuité dans l'affaire des disparues de l'Yonne, le meurtre de sept pupilles de la Ddass qui avaient disparu entre 1975 et 1979. Après des aveux complets, il s'était rétracté et avait évoqué l'existence d'un complot à son encontre. Mais la découverte de deux corps de jeunes femmes disparues à des endroits qu'il avait préalablement désignés avait lourdement pesé contre lui lors de ses différents procès. Il avait été transféré dans la semaine de la prison d'Ensisheim (Haut-Rhin), où il purgeait sa peine, à l'unité hospitalière sécurisée interrégionale (UHSI) de Nancy, en raison de la dégradation générale de son état de santé. Lire : Emile Louis, rattrapé vingt ans après
Dassault mis en examen: on reprend toute l'affaire depuis le début
AFFAIRE - Deux mois après la levée de son immunité parlementaire, Serge Dassault a été mis en examen, jeudi 10 avril. Agé de 89 ans, le sénateur UMP est soupçonné d'achat de vote, complicité de financement illicite de campagne électorale et financement de campagne électorale en dépassement du plafond autorisé. Il y a quelques semaines pourtant, l'industriel se réjouissait de la levée de son immunité. "Même si cette levée d'immunité provoque mon placement en garde à vue, je suis prêt à affronter cette épreuve. Cette affaire tentaculaire prend racine en 2008, lors des précédentes élections municipales. Le roi Dassault perd sa couronne mais adoube son dauphin Jusque là tout va bien pour Serge Dassault. Mais c'est là que les ennuis judiciaires commencent. Qu'à cela ne tienne. L'épilogue électoral n'interviendra qu'en décembre 2010 avec la nouvelle victoire de Jean-Paul Bechter. Des soupçons de corruption à la tentative d'assassinat Ces noms ne vous disent rien? La vidéo qui accuse Dassault
Qui est Abdelhakim Dekhar, le tireur présumé de Paris ?
Par Bastien Hugues Mis à jour le , publié le Sa cavale a duré un peu plus de 48 heures. Condamné en 1998 pour association de malfaiteurs Dekhar est loin d'être inconnu des services de police. Le 30 septembre 1998, Florence Rey est condamnée à vingt ans de réclusion criminelle. Un profil insaisissable à "tendance affabulatoire" Né le 24 septembre 1965 à Algrange (Moselle), un village situé à 30 km au nord de Metz, Dekhar se rapproche des milieux autonomes au début des années 1990, au moment de la guerre du Golfe. Arrêté deux semaines après la fusillade de la place de la Nation, "Toumi" assure être un indic de la Sécurité militaire algérienne chargé "par le consulat d'Aubervilliers d'infiltrer les milieux islamistes et autonomes de banlieue". En Angleterre depuis plusieurs années Placé en détention provisoire dès 1994, Dekhar a purgé sa peine avant d'être condamné. Des motivations confuses Reste à savoir pourquoi Abdelhakim Dekhar a visé BFMTV, Libération et la Société générale.