Amazon : l'empire attaque dans la logistique, Le Cercle Le géant du commerce en ligne, même si ses marges ont fortement chuté, ne dévie pas de sa ligne. L'objectif ? Devenir l'égal de Google. Comment expliquer qu’Amazon consacre tellement d’argent à la logistique qu’il en est aujourd’hui en situation de pertes financières ? Premier point, la logistique est la clef de voûte de la stratégie de différenciation sur le service qu’offre Amazon. Lire aussi : >> Amazon : une stratégie impérialiste risquée >> Amazon : des robots révolutionnent le travail dans les entrepôts Cet avantage a également des répercussions sur l’autre population-clef d’Amazon, à savoir les commerçants. Deuxième point, cette logistique est en fait le point d’entrée d’Amazon vers d’autres activités permettant de rendre le client ou le commerçant captif et plus rentable. Troisième point enfin, il semble que ces investissements frénétiques annoncent en fait une offensive massive dans tout le commerce, et pas uniquement dans le commerce en propre ou via la marketplace.
Ecommerce : le retrait en magasins séduit les consommateurs D'après une étude réalisée par Nextcontent pour neopost ID, la possibilité de se faire livrer un colis dans un point relais est particulièrement appréciée par les consommateurs. Ils seraient même 15% à changer d'enseigne si ce mode de livraison ne leur était pas proposé. Le retrait en magasin est apprécié : un consommateur sur deux a déjà choisi ce mode de livraison lors d'un achat en ligne et plus de la moitié le font régulièrement. Le plus souvent pour de l'habillement (30M%) et des produits high tech (17%). Le principal avantage qu'ils voient dans ce mode de livraison est le prix puisqu'il est souvent gratuit. Ensuite, viennent les arguments de la praticité liée au commerce de proximité, la rapidité et l'assurance de récupérer le colis. Le CP
L'e-commerce menace-t-il vraiment le commerce de proximité? La faillite de Virgin, les difficultés des petites librairies, les complaintes des vendeurs de chaussures, dont les boutiques deviennent de simples salons d'essayage pour les accros au cybershopping... Si la mort du commerce de proximité n'est pas pour demain, de nombreux indices laissent penser qu'elle sera sans doute pour après-demain. Un diagnostic encore confirmé par les taux de croissance à deux chiffres de l'e-commerce (+ 20 % l'an dernier), bien loin des performances poussives des magasins traditionnels. Sauf que... les jeux sont loin d'être faits, comme le montre une récente étude du cabinet Xerfi. En réalité, le panier moyen d'achats sur Internet diminue : les ventes en ligne sont tirées uniquement par la hausse du nombre de cyber-acheteurs. De fait, de nouvelles tendances se dessinent déjà : les cybervendeurs ont de plus en plus besoin des magasins de proximité, tandis que, de leur côté, les petits commerçants commencent à comprendre tout l'intérêt qu'ils peuvent tirer du Web.
CommercantsFautIlAvoirPeurdInterne L'e-commerce, menace ou opportunité ? - enquête Depuis quelques semaines, les petits sablés aux gouttes de chocolat de chez Michel et Augustin sont en vente sur le cybermarché telemarket.fr. Pour cette petite entreprise qui possède, par ailleurs, son propre site marchand, ce supermarché en ligne est «un point de vente supplémentaire, indique le cofondateur, Augustin Paluel-Marmont. Et une occasion, pour de nouveaux clients, de découvrir les produits». Comme ce chef d'entreprise, nombreux sont les dirigeants à se laisser tenter par les sirènes de l'Internet pour vendre leurs produits. Déstocker les fins de série. Pour attirer les clients, ces sites d'e-commerce soignent le moindre détail marketing. En outre, Internet est aussi un formidable vecteur de notoriété, qui permet aux marques de conquérir une nouvelle clientèle. Le risque, court-circuiter les boutiques. D'ailleurs, les entreprises qui s'affichent ainsi sur la Toile ont bien conscience du risque qu'elles prennent. Céline Chéa vend sa lingerie à prix cassés sur eBay.
E-commerce : Un poison pour les magasins physiques D’après une étude réalisée par Mappy et BVA sur le Web-to-Store, il semblerait que les commerces physiques se sentent menacés par la croissance sans précédent du e-commerce. Le e-commerce annonce t-il la mort des magasins physiques ? Il est vrai que de plus en plus d’outils sont mis à disposition des consommateurs : comparateurs de prix, sites d’avis etc… Cette recrudescence desservirait le commerce physique : Les achats en commerce de proximité baissent de 2%Les achats en ligne progressent de 19%. Qu’en pensent les commerçants physiques ? Les commerces de proximité ne sont pas encore à l’ère du digital La communication des commerces de proximité n’est pas développée en ligne. 52% des marchands consacrent moins de la moitié de leur budget de communication au digital. Un décalage entre demande du consommateur et offre du commerçant physique Toutefois, peu de commerçants physiques (seulement 28% d’entre eux) se disent intéressés par le développement d’une stratégie Web-to-Store.
Loi anti-Amazon : le géant du commerce en ligne menace - 3 octobre 2013 - L'Obs Amazon a fustigé jeudi 3 octobre une mesure qualifiée de discriminatoire et nuisible au pouvoir d'achat, après l'adoption par les députés d'une loi interdisant aux sites de vente en ligne de cumuler la gratuité des frais de port du livre et la remise autorisée de 5%. "Toute mesure visant à augmenter le prix du livre pénaliserait d'abord le pouvoir d'achat des Français et créerait une discrimination pour le consommateur sur internet", a réagi le géant américain du commerce en ligne. Selon le groupe, la proposition de loi, déposée par l'UMP et adoptée à l'unanimité de l'Assemblée nationale, "risque également de ne pas être neutre sur la diversité culturelle", en pesant notamment sur les maisons d'édition de moindre envergure. "Son impact sera le plus important à la fois sur le fond de catalogue et pour les petits éditeurs pour qui internet peut représenter une large part de leur activité", estime Amazon. D'abord le dumping, ensuite la position dominante
L'avenir du commerce en ligne est au commerce, et inversement “Là je n’ai plus le produit en stock, mais je vais être livré samedi matin“. J’imagine que vous avez déjà dû entendre cette phrase des dizaines de fois dans divers magasins. Je ne sais pas pour vous, mais à chaque fois je me retiens de dire “Mais bien sûr… vous me prenez pour un pigeon ?“. D’un côté nous avons des consommateurs qui sont équipés de smartphones, comparent les prix et achètent en ligne depuis des années ; des produits qui sont distribués par tous les grands sites de vente en ligne grâce aux marketplaces, dont les caractéristiques sont parfaitement détaillées, avec des tonnes de photos et avis…De l’autre nous avons des boutiques avec un stock très limité, des cabines d’essayage pas forcément pratiques, ou à défaut des conditions de manipulation du produit quasi inexistantes (souvent derrière une vitrine) et des vendeurs sous-payés et débordés, donc pas forcément motivés, compétents ou disponibles. Il n’y a plus de e / mobile / social commerce, simplement du commerce