Le ventre, notre deuxième cerveau Il y a quelques années, les scientifiques ont découvert en nous l’existence d’un deuxième cerveau. Notre ventre contient en effet deux cents millions de neurones qui veillent à notre digestion et échangent des informations avec notre "tête". Les chercheurs commencent à peine à décrypter cette conversation secrète. Espoirs thérapeutiques En outre, certaines découvertes ouvrent aujourd’hui d’immenses espoirs thérapeutiques. - Encyclopedie Neurologie, neurochirurgie, anatomie N. m. * nerf : du grec neuron [neur(o)-, -neural, -neurie], nerf ; * crânien : du grec kranion [crani(o)], relatif au crâne, partie osseuse de la tête. Les douze paires de nerfs craniens (notées par des chiffres romains) sont issues de l'encéphale, partie du système nerveux central qui est logée dans la boîte crânienne et qui comprend le cerveau (avec les deux hémisphères cérébraux et le diencéphale), le cervelet (deux hémisphères cérébelleux et le vermis médian) et le tronc cérébral, lui-même formé des pédoncules cérébraux, de la protubérance annulaire et du bulbe rachidien. Chez l'homme, le poids moyen de l'encéphale est de 1300 à 1400 grammes. Les deux hémisphères cérébraux du cerveau sont rattachés par deux structures appelées le corps calleux et le trigone qui se prolongent vers le bas par le tronc cérébral. © Dolisi
LE CERVEAU DU VENTRE - Les voyages spirituels de James Colpin Digérer une émotion qui nous est restée sur l’estomac, écouter son instinct viscéral et faire confiance à ses tripes… tant d’expressions populaires qui pourraient s’avérer ne pas être que des métaphores. Enquête au cœur de notre ventre où un deuxième cerveau serait doté de capacités véritablement surprenantes. Tout le monde le sait, nous avons un cerveau dans la tête - bien que parfois c’est à se demander s’il est bien là. Logé à l’abri de la boîte crânienne, il est souvent considéré comme étant l’organe le plus précieux que nous ayons. Son rôle serait alors de centraliser, par le biais d’un large réseau neuronal, les informations majeures de l’organisme pour en gérer toutes les fonctions vitales. Mais ce système nerveux central est-il réellement tout-puissant ? La science a récemment découvert que nous avons d’autres cerveaux dans le corps. Une anatomie insoupçonnée et autonome Autonomie d’action, voilà ce que cela veut dire. La décentralisation a le vent en poupe Un ventre intelligent ?
Vérification des travaux de Hamer Nous sommes en mai 1988. Depuis plusieurs années, ma découverte de l’homéopathie a bouleversé ma vision de la santé et de la maladie (voir mes articles des numéros 2 et 3 de Néosanté). Pourtant, des questions fondamentales restent encore sans réponse : « Pourquoi tombe-t-on malade ? Et lorsqu’on tombe malade, pourquoi cet organe spécifique est-il touché plutôt qu’un autre ? » C’est à ce moment qu’un de mes amis m’envoie des informations sur un certain docteur Ryke Geerd Hamer dont je n’ai jamais entendu parler. En quête de preuves… Pendant ma formation en sciences, mais aussi pendant ma formation en philosophie, plusieurs de mes professeurs m’ont appris à garder une attitude ouverte mais critique. Un cancer des os pour le moins mystérieux C’est avec cette détermination à trouver un contre-exemple aux théories de Hamer que je me présente, quelques mois plus tard, chez Charles, un membre de ma famille. La guérison miraculeuse du cancer « Oh, me dit-il, après cela, tout a été bizarre.
Agence prise de conscience shared their... - Agence prise de conscience LE DOCTEUR HAMER ET LE CANCER "Je ne suis pas juste quand je laisse entendre dans « Seul contre tous » que 92 % des patients de Hamer étaient encore en vie, 5 ans après leur diagnostic de leur cancer (alors que le taux de réussite de la Médecine d’école est de 30 %). Non pas que ce ne soit pas vrai, historiquement. C’est vrai, et ça été prouvé devant un tribunal, lors d’un des procès de Hamer. Mais ce qui n’est pas juste, c’est de sous-entendre que toute personne qui pratiquerait la thérapeutique de Hamer aurait les mêmes taux de réussite. Car la réalité, sur le terrain, est très différente (voir plus bas) ; je ne suis pas juste quand je lance l’information à travers un DVD, donnant l’espoir à des milliers de personnes atteintes du cancer, alors que je sais qu’il n’y a pratiquement pas de médecins formés à la Médecine Nouvelle pour les accompagner. Je suis avant tout un formateur et un enseignant. Dr Ryke Geerd Hamer est né en 1935 à Friese (Allemagne). Une autre surprise survint.
Comment l'organisme cohabite avec sa flore intestinale L'auteur Marie-Neige Cordonnier est journaliste à Pour la Science. Du même auteur Pour en savoir plus M. Ch. N. N. Ceci aussi peut vous intéresser Les petits thématiques n°10 - Les allergiesmai 2013Les allergies L’intestin humain héberge en permanence pas moins de 1014 bactéries, qui participent à la digestion des aliments. Le système immunitaire intestinal est constitué de cellules variées réparties le long du tube digestif, derrière la couche de cellules épithéliales qui le tapisse et forme la première barrière de l’intestin. Dès la naissance, l’organisme, soumis à de nombreux agents pathogènes, produit des cytokines qui renforcent la barrière intestinale, tandis que, au fil de l’alimentation, la flore intestinale évolue. Pour répondre à ces questions, G. Le mécanisme en jeu reste à décrypter.
Genèse du cancer (et des maladies) selon le Dr Hamer Comme je l'écrivais en introduction à la newsletter de Yves Rasir, "Pas touche à mes cancers", la cause première d'un cancer (dont le nom vient du mot latin "crabe") est un conflit psycho-émotionnel (voire spirituel). C'est la découverte majeure en matière de santé du médecin allemand Ryke Geerd Hamer (né en Allemagne en 1935, ) et "LA" découverte médicale du 20ème siècle, n'ayons pas peur des mots. Lire ici ou là qu'une plante ou un produit naturel (la liste est longue) va guérir le cancer est en partie vrai, en parti faux. Vrai, parce que le produit en question peut jouer un rôle de soutien, aussi bien physique que psychique (comme la vitamine C à forte dose, par exemple), faux dans la mesure où le cerveau avait déjà enclenché le processus de guérison, la personne ayant résolu son conflit. Vous comprendrez mieux les différentes phases de ce que le "mal a dit" en lisant l'article. Le Dr Hamer reste très controversé. La médecine nouvelle de Hamer par Dianequiose-6 Brève biographie :
Obésité : le risque de complication dépend de la flore intestinale Pour en savoir plus E. Le Chatelier et al., Richness of human gut microbiome correlates with metabolic markers, Nature, doi : 10.1038/nature12506, 29 août 2013 A. S. L'auteur Marie-Neige Cordonnier est journaliste à Pour la Science. Si la plupart des personnes en surpoids ou obèses ont un métabolisme normal, certaines développent des maladies métaboliques telles que le diabète, des inflammations chroniques de l’intestin et des maladies cardiovasculaires. La première, menée par le consortium international MetaHIT, montre que la diversité des bactéries intestinales influe sur l’obésité et ses complications. Si chaque groupe comportait des personnes obèses, celles-ci constituaient 80 pour cent du groupe caractérisé par une faible diversité bactérienne. Ainsi, la pauvreté de la flore intestinale serait un témoin du risque de développer des complications liées à l’obésité. Est-ce parce que la diversité bactérienne augmente que l’état de santé des personnes s’améliore ?
Neuropsychologie de la maladie de Parkinson et des syndromes apparentés 2ème edition | Livre Présentation: Neuropsychologie de la maladie de Parkinson et des syndromes apparentés La maladie de Parkinson est une affection neurodégénérative fréquente, touchant 1 à 2 % des plus de 50 ans. Même si ce sont principalement les troubles moteurs qui amènent le patient à consulter, les troubles cognitifs et psycho-comportementaux font aujourd'hui l'objet d'une évaluation quasi systématique. Après un rappel des bases de la physiologie des ganglions de la base, cette deuxième édition rend compte des principaux troubles cognitifs et psycho-comportementaux qui accompagnent les pathologies des noyaux gris centraux : maladie de Parkinson, atrophie multisystématisée, paralysie supranucléaire progressive, dégénérescence cortico-basale, démence à corps de Lewy et maladie de Huntington. Produit : POD – impression à la demande. Retour haut de page Table des matières I Introduction. Retour haut de page