Cyber-harcèlement scolaire: "Les réseaux sociaux désinhibent les utilisateurs"
Cela n'arrive pas qu'aux autres. 40% des élèves de collèges et lycées déclarent avoir déjà été victimes d'une agression sur internet, 6% de manière régulière, selon l'essai de Catherine Blaya, Les ados dans le cyberespace, paru en mai 2013. Afin de lutter contre l'effet "caisse de résonance" des réseaux sociaux, une campagne est lancée lundi contre le cyber-harcèlement. Elle est pilotée par l'ONG BICE (Bureau international catholique de l'enfance), l'association française e-Enfance, l'Union nationale lycéenne et le Syndicat général lycéen. Le lancement de cette campagne intervient la veille du Safer internet day ("Jour de l'internet plus sûr"), auquel participent mardi 30 pays européens. Une pétition a été mise en ligne sur le site du BICE. 10 000 signatures sont espérées, un peu moins de 800 avaient déjà été récoltées lundi après-midi. 3 à 4 suicides par an dûs au cyber-harcèlement Les réseaux sociaux peuvent-ils être tenus directement pour responsable?
Harcèlement en ligne, pressions psychologiques
Les cas les plus fréquents de sexting parmi les adolescents sont les cas où un jeune échange des images ou vidéos dévoilant son intimité avec son petit copain, sa petite copine comme preuve de son amour, ou suite à une demande qu'il ne sait refuser (si tu m'aimes, montre-moi...). Parmi les autres pratiques communes, on citera le phénomène des dedipix (voir article), l'envoie de textos assez crus, et la mise en ligne d'images explicitement sexuelles sur les réseaux sociaux. L'exposition de son corps à l'adolescente ne date pas d'hier et n'est pas forcément un problème en soi. Dans la plupart des cas, il s'agit pour les adolescents de s'assurer de l'approbation, l'admiration de l'autre (phénomènes de reconnaissance et réassurance) et en rapport à un corps qui se dessine, se transforme et pose souvent question. Le sexting est souvent lié à une confusion des genres entre la nudité et la sexualité, dans les cas où la nudité est considérée négativement, à travers des tabous. Les conseils
Sondage CSQ sur la cyberintimidation – Les élèves sont les premières victimes et les principaux auteurs, et le personnel se sent démuni | Infobourg.com – TIC, actualité, grands dossiers et ressources en éducation-Mozilla Firefox
MONTRÉAL, le 7 avril /CNW Telbec/ – « Trois ans après le dévoilement d’un premier sondage sur la cyberintimidation, la CSQ est en mesure de confirmer aujourd’hui que le phénomène prend de l’ampleur et que le plan d’action pour contrer la violence à l’école n’a pas donné les résultats escomptés », affirme le président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Réjean Parent, à l’occasion du dévoilement des résultats d’un important sondage CROP sur le phénomène de la cyberintimidation réalisé pour la CSQ. Ces résultats ont été présentés aujourd’hui en conférence de presse à l’École secondaire Jacques-Rousseau, à Longueuil. Le sondage démontre que les victimes de cyberintimidation sont principalement des élèves (81 %), surtout des filles (72 %) plus que des garçons (40 %). Contrairement à une idée répandue, les victimes connaîtraient l’auteur ou les auteurs de la cyberintimidation à leur égard, et ce, dans une grande proportion (79 %). Le personnel semble moins visé Profil de la CSQ
Intimidation et violence
Pour visionner le bulletin d'information destiné aux parents, édition spéciale portant sur l'intimidation et la violence, cliquez ici. L'intimidation et la violence en milieu scolaire sont des sujets difficiles parce qu'ils peuvent représenter des réalités pour certains de nos élèves. La Commission scolaire des Hautes-Rivières prend très au sérieux cette question. D'ailleurs, bien avant qu'une loi ne soit adoptée, nos spécialistes travaillaient en étroite collaboration avec nos directions et avec les équipes-écoles sur le terrain pour que toutes nos interventions soient porteuses de sens et de résultats pour les victimes, les témoins et les intimidateurs. Voici quelques éléments clés à connaître sur les actions et les mesures prises à la CSDHR. Éduquer plutôt que simplement punir... À la Commission scolaire des Hautes-Rivières, nous choisissons de miser sur l'éducation et la sensibilisation plutôt que sur la punition. Prévenir et sensibiliser, c'est le bon choix et c'est payant. Livres
Quelques dangers d'Internet
Les jeunes forment la population la plus exposée et la plus ciblée par les prédateurs de toutes sortes sur le Net. C'est en effet un media de référence : en 2003 plus de 87% des 12/17 ans se sont connectés à Internet et le phénomène s'amplifie avec le développement de l'Internet mobile. La toile est un espace de tentation, un espace ludique mais aussi un espace à risques dans lequel ils pénètrent d'un simple clic ! La capacité d'interagir et de communiquer avec les autres est un des grands attraits qu'Internet exerce sur les jeunes. Pornographie L'accès facile qu'Internet donne à la pornographie figure parmi les principales inquiétudes des parents de jeunes internautes. en se servant d'un moteur de recherche ; lors d'une erreur de frappe en tapant l'adresse d'un site ; en cliquant sur un lien dans un mel, une messagerie instantanée ou un chat ; en utilisant les logiciels de partage de fichiers qui véhiculent beaucoup d'images et de vidéos pornographiques facilement accessibles
Cet article concerne le harcèlement et le cyberharcèlement, il provient du site Le café pédagogique, ce sont des témoignage de personnes ayant vécu le harcèlement sur internet. by anaellelb Nov 19