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La resistance française - documentaire histoire - 2nde guerre mondiale

La resistance française - documentaire histoire - 2nde guerre mondiale

Journal de la résistance : la Libération de Paris Histoire@Politique n°24 : Le dossier : Introduction Le dossier Coordination : Claire Andrieu Étrange destin que celui du programme du Conseil national de la Résistance française. Objet d’un consensus quasi unanime de 1944 à 1946, il est aujourd’hui au cœur du dissensus portant sur les principes de la bonne économie. Dans une certaine mesure, le consensus réformateur social-démocrate de 1945 a été remplacé, en 1989, par le « consensus de Washington » avec ses recommandations de libéralisation, de privatisation et d’ouverture sur l’extérieur. Les crises économiques survenues depuis ont tempéré le discours libéral des années 1980. L’autre sujet d’étonnement vient de la médiatisation dont le programme du CNR fait actuellement l’objet en France et dans le monde. Le programme du CNR mérite aussi d’être examiné à l’aune de l’analyse alors prévalente de l’économie, à l’échelle non seulement européenne mais mondiale. Les articles qui suivent s’inscrivent dans ce questionnement. L’un des effets de la comparaison est la relativisation.

Histoire et mémoires de la Résistance, Par Laurent Douzou, Université Lyon-II 1. Singularité de l’histoire de la Résistance Au cœur de la lutte, les acteurs étaient étonnés par la singularité de leur propre histoire. Pierre Brossolette, chargé par le général de Gaulle de rédiger un discours pour le 18 juin 1943 en l’honneur des morts de la France combattante, décrit la Résistance comme une épopée, cite l’Iliade et l’Odyssée, assimile les morts à des héros, pas encore dieux mais déjà au-dessus des hommes ; Jean Paulhan , dans le numéro de février 1944 des Cahiers de la Libération écrit un article intitulé « L’abeille » dans lequel il évoque l’ambivalence de la pensée des résistants qui se demandent si Vichy n’est pas plus subtile qu’il y paraît, se reprochent tout de suite d’avoir cette pensée. Laurent Douzou se demande comment soumettre ces textes à nos élèves, relève le risque de grandiloquence. 2. Années 50 et 60 : Histoire des organisations (la Résistance vue d’en haut) ; A partir des années 70 : résistance des groupes dont on ne parlait pas jusque là ; 3.

Qui a dénoncé Jean Moulin ? 09 : Le dossier : Nouveaux regards sur l'histoire de la France dans la Seconde Guerre mondiale : Désenclaver l'objet Le dossier Coordination : Claire Andrieu et Michel Margairaz L’histoire ne peut être réduite à la séparation entre les faits et les discours sur les faits. « Le discours parlé (ou le texte lu) et l’événement en train de s’accomplir ne peuvent être disjoints in actu, mais seulement distingués analytiquement. » Comme l’écrit Pierre Guillain de Bénouville en mai 1945 : « La Résistance était un groupe de Volontaires qui comptaient renouveler le monde de demain, et ne pas se séparer au jour de la Libération. » La perception du temps comme critère d’analyse Si la perception du temps détermine les formes et le moment de l’activité résistante, il s’agit de repérer, dans le discours résistant, les relations qu’entretiennent passé, présent et avenir, à partir des sources disponibles. Dans cette perspective, on a proposé de différencier trois groupes. Quant aux activistes non communistes, l’intensité du présent, vécu comme réalisation de soi, offre une sorte de plénitude qui se suffit à elle-même.

« Voyages en résistances » webdoc et jeux sérieux Voyages en résistances Revivez la période d'occupation de novembre 1942 à la libération À mi-chemin entre webdoc et jeux sérieux, cette œuvre vous propose d’épouser les traits d’un résistant lyonnais, en pleine période d’occupation allemande lors de la Seconde guerre mondiale. La partie serious game de l’expérience est proposée à un nombre restreint d’utilisateurs (Lyon et alentour), la partie documentaire historique est accessible à tous. Vous avez donc accès à des flashs info, des messages originaux diffusés sur la BBC Téléchargez sur votre smartphone l'application gratuite "Voyages en résistances" Participez à un documentaire interactif vous immergeant dans la période d'occupation de Lyon par les nazis entre 1942 et 1944. Réalisez des missions. Les utilisateurs de l’application smartphone créent ainsi un personnage à qui sera proposé des missions que les résistants effectuaient. Entre le 11 novembre 2012 et les 4 septembre 2014 Le site Web :

La Résistance - Le Mont-Valérien pendant la Seconde Guerre mondiale - Le Mont Valerien, haut lieu de la mémoire nationale Résister Dès l'été 1940, malgré le traumatisme de l'effondrement militaire et politique, des refus s'expriment : refus de la défaite et de l’asservissement, refus du démantèlement du territoire national, refus des régimes d'oppression instaurés par l'occupant allemand et le régime de Vichy. Ce choix est celui d'une minorité de femmes et d'hommes issus de toutes les couches de la société, appartenant à toutes les familles de pensée politiques, religieuses et philosophiques. Isolés, ils s'engagent, sans moyen, dans un nouveau type de guerre où tout est à inventer : la « Résistance ». Après l’appel du 18 juin 1940, certains rejoignent Londres pour poursuivre la guerre au sein des Forces françaises libres du général de Gaulle ; d’autres mènent le combat sur le territoire français. Le basculement de l’opinion L’unification de la Résistance Après l'improvisation des débuts, les organisations clandestines se structurent.

Tracts et papillons clandestins de la Résistance, Papiers de l'urgence - Éditions Artulis Olivier Wieviorka, Histoire de la Résistance, 1940-1845 1Á peine publié, le présent ouvrage est probablement destiné à devenir une référence. Non que manquent les travaux de qualité sur la Résistance. L’historiographie en ce domaine est volumineuse et riche ; ces vingt dernières années, notamment, ayant donné lieu à quantité d’études qui ont profondément renouvelé la connaissance du phénomène. Mais manquait un ouvrage de synthèse qui rende compte d’une manière à la fois rigoureuse et claire de ce phénomène complexe que fut la Résistance. Le livre d’Olivier Wieviorka, dont ce n’est pas le moindre mérite que d’être accessible au grand public sans rien sacrifier de l’exigence scientifique, vient combler ce vide. 1 Marcot François, « Pour une sociologie de la Résistance : intentionnalité et fonctionnalité », in A (...) 2 Sur l’histoire de la France libre, cf. 2Dans l’introduction, l’auteur s’efforce en premier lieu de donner une définition circonscrite de la Résistance.

Olivier Wieviorka : « La part des femmes dans la Résistance a été longtemps négligée » À l’initiative de François Hollande, quatre figures illustres de la Seconde Guerre mondiale feront mercredi 27 mai leur entrée au Panthéon à l’occasion de la journée nationale de la Résistance : Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Pierre Brossolette et Jean Zay. L’occasion pour le chef de l’État, qui présidera les cérémonies, de prononcer un discours annoncé comme important par son entourage sur les valeurs de la Résistance et la Shoah. > Relire : Quatre résistants en lice pour entrer au Panthéon Temple républicain sur le fronton ­duquel figure la devise : « Aux grands hommes la patrie reconnaissante », le Panthéon n’accueillait jusqu’ici que 2 femmes sur 71 personnalités, la physicienne Marie Curie, prix Nobel de physique puis de chimie, et ­Sophie Berthelot, en qualité d’épouse du chimiste Marcellin Berthelot. Quelle place occupe la Résistance dans la mémoire nationale ? Olivier Wieviorka : La Résistance a ­bénéficié d’un traitement ambivalent dans la mémoire nationale. O.

Histoire de la Résistance 1940-1945 Membre de l’Institut universitaire de France, rédacteur en chef de la revue XXe Siècle, professeur des Universités à l’École normale supérieure de Cachan, Olivier Wieviorka est un historien spécialiste de la Seconde Guerre mondiale, de la France sous l’Occupation et de la résistance française. Il est l’auteur d’une Histoire du Débarquement en Normandie (Le Seuil, 2007), d’une histoire du mouvement de résistance « Défense de la France » (Une certaine idée de la Résistance. Défense de la France, Le Seuil, 1995, réédit. 2010) et d’une histoire politique de la mémoire française de l’Occupation (La Mémoire désunie. Le souvenir politique français des années sombres, de la Libération à nos jours, Le Seuil, 2010). Il publie aujourd’hui la première synthèse de l’histoire de la résistance en France, entreprise si difficile et démesurée que nul historien jusqu’à ce jour n’avait osé l’entreprendre à lui seul. Distanciation, historisation, démythification Définition Structure Connivences idéologiques

"Paris outragée, Paris brisée, Paris martyrisée ! Mais Paris libérée !" - Dossier Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Bienvenue ! {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *} {* /signInForm *} Votre compte a été désactivé Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}{* /resendVerificationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter {* #socialRegistrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} En cliquant sur "Créer un compte", vous confirmez que vous acceptez nos conditions générales et que vous avez lu et approuvé la politique de protection de données personnelles.{* /socialRegistrationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l'adresse suivante {* emailAddressData *}. Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe {| moreInfoText |}

Mémoire et histoire - Concours national de la Résistance et de la Déportation Description de l'action Institué en 1961 par Lucien Paye, ministre de l'éducation nationale, à la suite d'initiatives d'associations d'anciens résistants et déportés, le Concours national de la Résistance et de la Déportation (CNRD) est un concours scolaire destiné à susciter une réflexion civique chez les élèves en s'appuyant sur l'enseignement de l'histoire - et notamment de l'histoire des mémoires - de la Résistance et de la Déportation. Chaque année, un thème est défini, pouvant faire l'objet d'un véritable travail interdisciplinaire. Les élèves peuvent s'engager dans ce concours de façon individuelle ou collective. Leur travail est évalué et valorisé à l'échelon académique puis national. Le CNRD a fait l'objet d'une importante rénovation en 2016. Le recteur, responsable du concours au sein de son académie, détermine l'organisation qu'il juge être la plus efficace pour son bon déroulement. Elèves concernés Elèves des établissements relevant directement de l'éducation nationale Calendrier

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