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Les 4 moyens par lesquels Google piétine notre vie privée

Les 4 moyens par lesquels Google piétine notre vie privée
Alors que la majorité des personnes pensent que Google est un simple moteur de recherche pour trouver les informations que l’on cherche sur Internet, la vérité est tout autre. La multinationale basée à Mountain View aux Etats-Unis est en réalité un géant du web qui traite chaque jour plusieurs milliards de données et détient une quantité colossale d’informations sur les individus comme vous et moi. Google : Big Brother is watching you ! Ce qui faut savoir sur Google, c’est que c’est une firme qui s’est avant tout distinguée par la qualité de son service au début du web grand public. En Europe et aux Etats-Unis, il s’est en effet imposé comme LA référence des moteurs de recherche grâce à la qualité et à la pertinence de ses résultats devant ses concurrents Altavista, Lycos, Yahoo, ou encore Voilà en France. Et cela ne s’arrête pas là ! Comment Google arrive-t-il à rassembler vos données personnelles ? 1 - Gmail Pratique non ? 2 - Street View atlantico sur facebook notre compte twitter

Facebook sait si vous êtes gay, Google que vous êtes enceinte. Et ta soeur ? Facebook sait probablement si vous êtes gay, ou célibataire (quand bien même vous ne l’ayez pas expressément précisé sur votre profil), et peut-être même si vous êtes infidèle, ou bien cocu(e). Google, de son côté, sait probablement si vous êtes enceinte, ménopausée, diabétique ou anorexique, si vous avez un cancer, ou allez bientôt être opéré… entre autres. Le soi-disant « Bug de Facebook » a défrayé la chronique le temps… d’une soirée (cf les conclusions de la CNIL, qui confirment l’excellente synthèse du Monde.fr). Il en était aussi question ce dimanche sur Médias le magazine, qui m’avait invité suite à mon billet sur le « paradoxe de la vie privée » auquel nous sommes tous confrontés sur Internet. @manhack ça vous choque pas d’associer gays et sida comme ça ? Si c’est gratuit, c’est que vous êtes le produit Explication du tweet : le profil de vos amis, sur Facebook, permet a priori de savoir si vous êtes gay, quand bien même vous ne vous y êtes pas affiché en tant que tel.

FAQ – Règles de confidentialité et conditions d’utilisation Comment appliquez-vous la récente décision de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) concernant le droit à l'oubli ? Le récent arrêt de la Cour de justice de l'Union européenne a de profondes répercussions pour les moteurs de recherche en Europe. La Cour a estimé que certains utilisateurs ont le droit de demander aux moteurs de recherche tels que Google de supprimer les résultats de recherche qui incluent leur nom. Pour que cette décision soit applicable, les résultats affichés doivent être inadéquats, pas ou plus pertinents ou excessifs. Depuis la publication de cette décision le 13 mai 2014, nous avons mis tout en œuvre pour nous y conformer. Il s'agit d'un processus complexe, car nous devons évaluer chaque demande individuelle et trouver un juste équilibre entre les droits d'un individu à contrôler ses données personnelles et le droit du public à accéder à ces informations et à les diffuser. Comment puis-je supprimer mes données personnelles des résultats de recherche Google ?

Protection de la vie privée et droits d’auteurLes politiques... Google : des cookies à 17 millions de dollars Google : des cookies à 17 millions de dollars Juridique - Rédigé le mercredi 20 novembre 2013 - Frédéric Mazué Google vient de passer un accord amiable avec 38 états américains pour mettre fin à des poursuites judiciaires. L'affaire remonte à mi février 2012, date à laquelle le Wall Street Journal révélait que Google avait contourné une fonctionnalité anti tracking de Safari, le navigateur d'Apple sous Mac OS X et iOS. Ceci depuis le 1er juin 2011. En contournant cette fonctionnalité, Google déposait ces cookies sur les machines des internautes, et contre leur volonté, de manière à mieux cibler les publicités. "Les consommateurs devraient pouvoir savoir s’il y a d’autres yeux naviguant sur Internet avec eux. De son côté Google fait profil bas : "Nous sommes satisfaits d’avoir coopéré avec les ministres de la Justice des États pour arriver à cet accord.

Droit à l'oubli Le droit à l'oubli est un concept qui a été discuté et mis en pratique dans l'Union européenne ainsi qu'en Argentine tout à la fin du XXe siècle. Il permet à un individu de demander le retrait sur le World Wide Web de certaines informations qui pourraient lui nuire sur des actions qu'il a faites dans le passé. Le droit à l'oubli s'applique concrètement soit par le retrait de l'information sur le site d'origine, on parle alors du droit à l'effacement, soit par un déréférencement du site internet par les moteurs de recherches, on parle alors du droit au déréférencement[1]. Contexte historique[modifier | modifier le code] Le droit à l'oubli est le produit de plus de dix années de travail des institutions européennes, de la Directive sur la protection des données en 1995 à un nouveau travail depuis 2012 qui a abouti à la décision de la Cour de justice de l'Union européenne du 13 mai 2014 consacrant un droit à l'oubli en Europe. Le droit à l'oubli[modifier | modifier le code]

(Article) Droit à l'oubli : en France, Google accepte une demande sur deux En Europe, les Français sont ceux qui sollicitent le plus le droit à l'oubli via le formulaire que Google a mis en place suite à l'arrêt désormais célèbre de la cour de justice de l'Union européenne. C'est ce qui ressort du rapport de transparence mis en ligne par la firme de Mountain View à propos des "demandes de suppression de contenus liés à la vie privée dans les résultats de recherche". Le rapport, qui a été mis à jour ce jeudi, signale en effet que Google a reçu 28 898 demandes venant de France portant sur 89 125 liens. En comparaison, les Allemands ont adressé 24 979 requêtes visant 88 873 adresses, les Britanniques 18 304 demandes pour 63 606 URL, l'Espagne 13 316 requêtes pour 43 383 liens et l'Italie 11 379 sollicitations visant 39 530 URL. Dans le cas de France, Google valide près d'une demande sur deux. 36 375 liens ont en effet été retirés du moteur, soit 51,5 % du total, tandis que les 34 272 autres ont été conservées dans l'index, soit 48,5 %.

Google : 900 000 euros d'amende pour atteinte à la vie privée Google : 900 000 euros d'amende pour atteinte à la vie privée Business - Rédigé le vendredi 20 décembre 2013 - Frédéric Mazué L'agence espagnole de protection des données accuse Google "d'usage illégal de données personnelles" obtenues à partir d'utilisateurs de différents services, dont des comptes de messagerie électronique. Pour l'agence espagnole de protection des données qui a publié un communiqué, Google "a illégalement collecté et traité des informations personnelles". Enfin Google est accusée de détenir ces données plus longtemps que ne le prévoient les délais légaux, et de faire des difficultés aux personnes qui veulent savoir quel usage est fait de leurs données. De son côté, Google répète que ses pratiques respectent les lois européennes.

Comment la NSA infiltre secrètement les serveurs de Google et Yahoo! Le "Washington Post" révèle, sur la base de documents d'Edward Snowden, comment la NSA a procédé pour récolter les données privées des utilisateurs de Google et Yahoo!. Chaque jour son lot de révélations sur la surveillance menée par l'Agence nationale de sécurité américaine (NSA). Mercredi 30 octobre, le Washington Post révèle ainsi, sur la base de documents d'Edward Snowden, comment la NSA a procédé pour récolter les données privées des utilisateurs de Google et Yahoo! Le site du quotidien divulgue en effet l'existence d'un programme de la NSA appelé Muscular dont le but est de surveiller les serveurs de Google et Yahoo! Voir notre infographie interactive : "Plongée dans la 'pieuvre' de la cybersurveillance de la NSA" Quel est intérêt d'un tel programme pour la NSA qui dispose déjà de PRISM, lui permettant d'obtenir légalement l'accès à des communications, y compris de la part de Google et Yahoo! Lire les révélations du Monde : "Comment la NSA espionne la France" Pour Yahoo!

(article) La justice européenne défend le droit à l'oubli numérique face à Google La Cour de justice européenne a débouté Google mardi dans une affaire de droit à l'oubli numérique, estimant que les moteurs de recherche sont responsables du traitement des données personnelles qui apparaissent sur leurs pages internet et ont le devoir, dans certains cas, de les supprimer. Les particuliers peuvent obtenir, sous certaines conditions, la suppression des liens vers des pages internet comportant des données personnelles en s'adressant directement à l'exploitant, a tranché la Cour. Si celui-ci ne fait pas suite à leur demande, ils peuvent saisir les autorités compétentes. Cette décision constitue une surprise, car elle va à l'encontre de l'avis de l'avocat général, généralement suivi par la Cour. La Cour s'appuie sur une directive de 1995 La Cour a jugé mardi que l'exploitant d'un moteur de recherche est responsable du traitement des données personnelles qu'il collecte. "Ingérence dans les droits de la personne"

Le portrait Google qui met le feu à la Toile - L'Express "Curieux portrait curieux" que celui de Marc L. publié dans Le Tigre et sur le-tigre.net. 10 000 signes pour raconter la vie d'un anonyme "grâce à toutes les traces qu'il a laissées volontairement ou non sur Internet", détaille Raphaël Meltz, auteur de l'article et fondateur du journal. Mediapart singe le Tigre Vincent Trufy, journaliste à Mediapart, a dressé le portrait du blogueur Jean-Marc Manach "spécialiste dans la sécurité informatique et les libertés publiques". "Je suis, sans m'en apercevoir, devenu un flic", raconte-t-il. Sur son blog, Bug Brother, Jean-Marc Manach a répondu à son anti-portrait. Les Facebook et autres Flickr sont en effet des sources d'informations inépuisables. "C'est de ta faute" Guizmodo: "Une belle démonstration impudique où on apprend un tas de chose sur ce pauvre Marc. Philippe Crouzillacq de 01.net: "Marc L. a confié avoir retiré toutes ses informations personnelles sur Internet. Big Brother Steve Proulx du blog Voir: "J'ai soudainement peur.

Première condamnation française de Google sur le fondement du droit à l’oubli numérique. Par Romain Darriere, Avocat. De par son dispositif, cette décision constitue une avancée majeure en matière de droit de l’internet et des nouvelles technologies ; à notre connaissance, aucune juridiction française ne s’était encore fondée sur la notion de « temps écoulé » pour faire droit à une demande de déréférencement. 1) En substance, les faits étaient les suivants : Au cours du mois de mai 2014, Madame X avait constaté que la formulation d’une requête portant sur son nom dans le moteur de recherche de Google faisait ressortir, en première position de la première page de résultats, un lien renvoyant vers un article du journal Le Parisien publié en avril 2006. Cet article était entièrement consacré à la condamnation pénale de Madame X pour escroquerie, laquelle avait été condamnée en avril 2006 par le Tribunal correctionnel de Beauvais à une peine d’emprisonnement de trois ans dont deux ans et neuf mois avec sursis. Madame X décidait alors d’assigner la société Google France. Seul l’avenir nous le dira.

Source: Les 4 moyens par lesquels Google piétine notre vie privée et accumule les données sur nous par Fréderic Jutant. Publication 6 février 2014. Site "Atlantico édité par Talmont Média.
http😕/www.atlantico.fr/decryptage/4-moyens-lesquels-google-pietine-notre-vie-privee-et-accumule-donnees-fred-jutant-973852.html

Fiabilité et pertinence: Ce site est hébergé sur la plate forme OXEVA. Il est édité par Talmont Média. Le site est fiable, il met à disposition le "raisonnement checking", les éditeurs vérifient leurs sources. by jhenaff Nov 9

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