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Profusion Chimie, moteur de recherche spécialisé en chimie

Profusion Chimie, moteur de recherche spécialisé en chimie

WorldWideScience - News Promotional Materials | Conference Presentations | News Archive December 2016 – The International Nuclear Information System (INIS) published an article describing the WorldWideScience Alliance's recent poster presentation at the Eighteenth International Conference on Grey Literature: Leveraging Diversity in Grey Literature, held at the New York Academy of Medicine on 28-29 November, 2016. November 2016 – A blog article about the WorldWideScience Alliance is available on the World Data System blog. The article provides information about the partnership between the WorldWideScience Alliance and the World Data System, and the commitment both organizations share towards improving the accessibility to scientific research data. August 2015 – The International Atomic Energy Agency's International Nuclear Information System (INIS) published an article "INIS Cooperation with the WorldWideScience.org". News Archive

Pourquoi Vénus brille-t-elle autant ? Nul doute que vous l'avez remarquée, étincelante dans les lueurs du crépuscule. Vénus est resplendissante et cela va aller grandissant au cours des prochaines semaines. Au point même que sa lumière douce nous éclaire. Mais pourquoi devient-elle si brillante dans le ciel cet hiver ? Impossible de la manquer, chaque soir, étincelante au-dessus de l'horizon sud-ouest. Mais pourquoi la légendaire déesse de la Beauté resplendit-elle autant ? Une luminosité qui va décroître alors même que les distances seront plus courtes C'est la relative proximité avec la Terre, et surtout sa couverture nuageuse permanente - par ailleurs responsable d'un puissant effet de serre (la déesse de l'Amour est la planète la plus chaude du Système solaire) - très réfléchissante, qui fait de Vénus un astre si lumineux dans le ciel terrestre. En outre, sur une orbite plus proche du Soleil que celle de la Terre (108 millions de kilomètres en moyenne, contre 150 millions), elle gravite plus vite.

L'impression 3D, arme de construction massive pour les lanceurs Ariane, présents et futurs Le secteur spatial a vite adopté la fabrication additive, plus communément appelée impression 3D. Cette technologie permet de produire en seulement quelques heures des pièces de formes complexes difficiles ou très longues à réaliser avec les techniques classiques, moulage ou usinage. Outre ce gain de temps, le recours à l'impression 3D permet une réduction très importante des coûts et des cycles de fabrication. Cette technique de fabrication est d'ailleurs très bien adaptée aux produits spatiaux car elle permet de réaliser des pièces monoblocs, c'est-à-dire sans qu'il soit nécessaire d'assembler des pièces par vis, collage ou soudures. Airbus Safran Launchers l'a bien compris. Une première pièce structurale du moteur Vulcain 2, obtenue par fabrication additive métal, a déjà volé sur une Ariane 5, lors du lancement de quatre satellites Galileo, le 17 novembre 2016 (VA233). La production additive a donc déjà fait une apparition remarquée dans les familles Vulcain et Vinci.

Vidéo | New Horizons : revivez l'approche de Pluton comme si vous y étiez Le 19 janvier 2006, New Horizons quittait la Terre pour toujours, en route pour la lointaine Pluton. Neuf ans et demi plus tard, en juin 2015, après plus de 4,5 milliards de kilomètres parcourus à travers le Système solaire, la sonde spatiale arrivait enfin dans la région méconnue de la ceinture de Kuiper. L'ex-neuvième planète était en vue. Cette vidéo publiée par la Nasa le jour du onzième anniversaire du lancement du vaisseau nous invite à revivre, comme si nous étions à bord, la visite inédite de la planète naine. La séquence couvre les six semaines d'approche et aussi le survol du 14 juillet jusqu'à une distance de 12.500 km de la surface de ces plaines glaciales. Plus d'une centaine d'images la compose. Puis en ce mois de juin 2015, le vaisseau qui arrive à vive allure - 50.000 km/h en moyenne - dans sa direction, entraperçoit deux points qui dansent l'un autour de l'autre. New Horizons ne s'est pas arrêtée là. © Nasa, JHUAPL, SwRI

La couleur et ses mystères | Dossier De nombreux produits et matériaux se sont développés en jouant avec les effets de la couleur, s'accompagnant d'une activité de recherche importante. Il faut dire que la perception colorée, à travers le processus psychophysique qui est mis en œuvre, est l'objet de nombreuses interrogations. Toutes les couleurs ont leur part de mystère. On dit ainsi des empereurs byzantins qu'ils sont « nés dans la pourpre », on parle du rouge écarlate du manteau du Christ ou du fabuleux « pays de cocagne », où l'or bleu du pastel en coques assure indéfiniment la prospérité générale... L’œil humain peut différencier près de huit millions de nuances de couleurs. Depuis l'exposition internationale du Musée des beaux-arts de Carcassonne (1999-2000) et celle du Centre de documentació i Museu tèxtil de Terrassa, près de Barcelone (2000), portant sur l'importance culturelle et économique des colorants extraits du monde vivant, la thématique de la couleur a connu un nouveau souffle.

Concours d’affiche 2017 » Semaine des maths - Académie de Bordeaux À l’occasion de la 6ème édition de la Semaine des Mathématiques sur le thème « Mathématiques et langages», le Comité de pilotage de l’Académie de Bordeaux propose aux élèves de CM1, de CM2 et aux collégiens de participer au Concours d’affiche 2017. Les participants sont invités, dans le cadre d’activités de classe, à réaliser une affiche ainsi qu’un texte d’une dizaine de lignes explicitant l’interprétation de leur création et le lien avec le thème “Mathématiques et langages”. (Voir le règlement du concours pour les précisions techniques : format et résolution de l’image.) L’affiche gagnante servira de support visuel majeur pour promouvoir l’évènement et sera envoyée dans tous les établissements de l’académie de Bordeaux. Les enseignants souhaitant participer avec leurs classes doivent s’inscrire en ligne. Le code d´accès vous sera communiqué à l´adresse email renseignée dans le formulaire d´inscription.

ISS : la sortie de Thomas Pesquet dans l'espace fut un grand succès La première sortie dans l'espace de Thomas Pesquet, le 13 janvier, d'une durée de près de six heures, s'est très bien passée, avec la réalisation de la totalité des tâches planifiées et six autres complémentaires. Cette première EVA pour Thomas, mais la 197e activité extravéhiculaire réalisée depuis l'ISS, a suscité un très fort engouement auprès du grand public. Pour sa première sortie extra-véhiculaire, la quatrième d'un Français depuis Jean-Loup Chrétien en 1988, Thomas a parfaitement accompli sa mission d'une durée de 5 heures et 58 minutes, le vendredi 13 janvier. Avec son co-équipier Shane Kimbrough (l'astronaute de la Nasa qui est le commandant actuel à bord de l'ISS), les deux astronautes ont notamment remplacé des batteries lithium-ion afin d'améliorer l'approvisionnement en énergie de la station. Une sortie dans l'espace est un travail d’équipe ISS : Thomas Pesquet va être le quatrième Français à sortir dans l'espace Article de Rémy Decourt paru le 11/01/2017

Sea Bubbles : les premiers tests sur la Seine vont commencer en février Comme Alain Thébault nous l'avait confié l'an dernier (voir l'article ci-dessous), les curieux véhicules électriques Sea Bubbles, destinés au transport de personnes, vont être testés sur la Seine. La première démonstration publique aura lieu au printemps, devant l'Assemblée nationale, annonce la Mairie de Paris. « Les véhicules seront dirigés par un pilote et transporteront quatre passagers [quatre personnes en tout, NDLR] », précise le communiqué. L'originalité de ces engins est d'être pourvus de « foils », quatre lames sous-marines ressemblant à des ailes, et fonctionnant comme elles. Alain Thébault, initiateur du projet, travaille le sujet depuis 1975 et a collaboré avec des ingénieurs en aéronautique et avec Éric Tabarly. Sea Bubbles, des bulles électriques flottantes bientôt sur la Seine ? Article de Jean-Luc Goudet publié le 10 juillet 2016 Une équipe de Dassault s'était jointe à l'étude, notamment Philippe Perrier, l'un des concepteurs du Rafale.

En dessin: L’informatique de A à Z, l'abécédaire des notions informatiques A : Algorithme Chercher un mot dans le dictionnaire, effectuer une addition, trouver le trajet le plus court sur une carte… Pour résoudre ces problèmes, il existe des méthodes systématiques conduisant à coup sûr au résultat : des algorithmes. Un algorithme, c’est une suite de tâches élémentaires qui s’enchaînent selon des règles précises, sans place pour l’interprétation personnelle. « Additionner deux chiffres, écrire la somme au-dessous et la retenue à gauche » peut faire partie d’un algorithme ; mais « faire cuire à point, saler à votre goût », c’est juste une recette ! On peut décrire un algorithme en français, en chinois ou dans toute autre langue… Traduit dans un langage de programmation, il devient un programme informatique exécutable par un ordinateur. Pour résoudre certains types de problèmes – comme trouver la répartition du travail qui réduit au maximum la durée d’un gros chantier -, même les meilleurs algorithmes exigent un temps de calcul considérable. B : Bug D : Données

Un projet de drone livreur jetable et biodégradable Le laboratoire de recherche californien Otherlab a repris un projet de la Darpa, l'agence de recherche et développement de l'armée américaine, qui consiste à concevoir un drone de livraison jetable en carton. Ce type d'appareil pourrait servir à apporter du sang, des médicaments ou des vaccins sur des zones de conflit ou sinistrées. En 2015, Futura vous parlait d'un projet de la Darpa (branche R&D de l'US Army) baptisé Icare. Un cahier des charges très ambitieux qui se concrétise aujourd'hui dans une version plus modeste. Des drones jetables largués par centaines depuis un avion-cargo La version actuelle peut transporter 1 kg de charge utile, mais ses concepteurs assurent qu'il serait possible de monter jusqu'à 10 kg. La Darpa veut développer un drone-livreur autodestructible Article initial de Marc Zaffagni, paru le 18/10/2015 Un défi technique immense, voire irréaliste ? La Darpa travaille déjà avec des partenaires sur des circuits électroniques autodestructibles.

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