Impact du social media : une étude Harvard Business Review Services Analytics Anne rédactrice chez Mind Jumper à publié une étude d’Harvard Business Review Services Analytics autour de l’impact du social media. Cette étude concerne les sociétés et le marché américain, mais il me semble qu’il en est de même pour la France. Je vous laisse découvrir les principales idées qu’il en émane. Trois quarts (75%) des entreprises interrogées ont déclaré qu’elles ne savaient pas où la plupart de leurs clients parlaient de leur marques, de leur produit.Près d’un tiers (31%) ne mesurent pas l’efficacité des médias sociaux.Moins d’un quart (23%) utilisent les médias sociaux des outils d’analyse.• Une fraction (7%) des entreprises participantes sont en mesure d’intégrer les médias sociaux dans leurs activités de marketing. Ce qui suit est la conclusion de l’enquête. HBR de Conclusion: « Les médias sociaux sont en train de devenir une nouvelle force dans les organisations du monde entier, ils leur permettent d’ atteindre et de comprendre les consommateurs comme jamais auparavant.
The Age Of Relevance Editor’s note: This is a guest post submitted by Mahendra Palsule, who has worked as an Editor at Techmeme since 2009. Apart from curating tech news, he likes analyzing trends in startups and the social web. He is based in Pune, India, and you can follow him on Twitter. What’s the Next Big Thing after social networking? This has been a favorite topic of much speculation among tech enthusiasts for many years. The key element of the next big thing is the increasing significance of the Interest Graph to complement the Social Graph. Relevance is the only solution to the problem of information overload. The above matrix is a representation of how the process of online information discovery has evolved over time. Phase I: The Search Dominated Web This is how Google began its dominance over the web two decades ago, using PageRank to surface the most popular web pages as identified by other web pages that linked to them. Phase II: Web 2.0 With Social Bookmarking Phase IV: Personalized Serendipity
L’intelligence collective globale ou l’avènement de l’holoptisme étendu On entend par intelligence collective les capacités cognitives d’une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres afin d’atteindre un objectif dans un environnement complexe. Cette définition a le mérite de la simplicité mais cette intelligence collective revêt bien des nuances qu’il est bon d’appréhender afin d’en cerner tous les enjeux et les évolutions pour la manager au mieux. Je m’appuierai sur les travaux de Jean-François Noubel, fondateur de The Transitioner, une organisation de recherche et de développement en intelligence, conscience et sagesse collective dont je vous recommande le suivi. Dans la nature et depuis toujours, lorsque les organismes vivants s’organisent en groupes, ils créent une entité qui développe des propriétés propres qu’individuellement, chacun des organismes n’auraient pas pu développer. C’est ainsi que selon la formule consacrée : le tout devient supérieur à la somme des parties. – L’intelligence collective globale. WordPress:
Consumer Info Overload - Meet the US Navy's Relevance Technology! (New SRI Screenshots) Apple acquired the military-technology spin-off, mobile personal assistant app called SIRI this Spring, but SIRI isn't the only consumer startup cut from the cloth of the $200 million DARPA investment in an artificial intelligence project called CALO. The next SRI/CALO app to launch may be TrapIt, a news feed reading and recommendation service designed to act as a "cognitive prosthetic" to "adapt to unexpected events" in situations of "intense information overload". The US Navy has used the core technology TrapIt is based on to parse through huge quantities of information for what's most relevant. Soon you'll be able to use it to find the best news about your obscure interests, in the web's otherwise overwhelming ocean of Justin Bieber references. Click for a larger view. TrapIt has raised two rounds of funding, one lead by Asia's most powerful businessman, Li Ka-shing. See today's guest post: "The Age of Assistants": The View From Inside SRI, by SRI's Norman Winarsky
Entreprise 2.0 > Destination web sémantique Travaillant actuellement sur un projet de gestion sémantique de l’information, je me suis rendu compte que peu de personnes savent exactement de quoi il s’agit et que même les experts ne sont pas forcement d’accords sur la définition de cette discipline. Web sémantique & enrichissement sémantique Il faut d’abord bien faire la différence entre la notion de web sémantique et celle d’enrichissement sémantique de l’information. Le web sémantique est une évolution coordonnée du web (lancée entre autre par le W3C), une initiative collective dans laquelle chacun à son niveau travaille pour rendre les contenus web plus intelligibles, plus accessibles par les programmes et les machines.L’enrichissement sémantique de l’information est une méthode de travail consistant à donner du sens aux fichiers/informations afin qu’elles soient traitées plus intelligemment par les machines et les applications. L’enrichissement sémantique est une étape vers le web sémantique. L’enrichissement sémantique de l’info
Trapit Sociologie des réseaux sociaux Aujourd’hui paraît la troisième édition du livre que j’avais consacré à la Sociologie des réseaux sociaux, et dont la première édition était parue en 2004 aux Editions de la Découverte, dans la collection « Repères ». Le livre avait alors été écrit dans un contexte particulier, celui de la montée, en France comme ailleurs, de l’analyse des réseaux à la fois comme nouveau corpus de méthodes pour les sciences sociales, et aussi comme nouveau paradigme, ambitionnant d’ouvrir une troisième voie « méso-sociologique » entre le holisme et l’individualisme méthodologique, et qui a pu aussi consister à opposer les réseaux sociaux aux classes sociales. L’ambition de la sociologie des réseaux sociaux est donc de restituer aux comportements individuels la complexité des systèmes de relations sociales dans lesquels ils prennent sens, et auxquels ils donnent sens en retour. Que s’est-il donc passé au cours des dix dernières années, pour qu’on assiste à un tel retournement ?
How Useful Is Personalized Search? Like most search engines, Google stores huge quantities of data about logged-in users’ past searches; it uses the data to tweak a set of algorithms that deliver “more relevant” search results. But a recent study questions how useful these personalized results really are. “At the end of the day, the tradeoff is not good,” says Martin Feuz, a researcher at the Centre for Cultural Studies at the University of London, who was involved with the work. “We’re giving up too much [personal] information and not getting high-enough-quality results.” Together with Matthew Fuller, another researcher at the Centre for Cultural Studies, and Felix Stalder, a lecturer in digital culture and network theories at the Zurich University of the Arts, Feuz created dummy Google accounts for three famous philosophers—Immanuel Kant, Friedrich Nietzsche, and Michel Foucault. The researchers used each profile to perform a set of test searches.
Réseaux sociaux : la prolétarisation de la relation? Le bonheur des rencontres est de réveiller des idées enfouies, une de ces rencontres m'amène à découvrir les thèses d'Ars Industrialis et de son animateur Bernard Stiegler. L'une d'elle est celle de la prolétarisation de la relation. Reprenons à notre compte cette idée que la digitalisation du monde déplace les savoirs contenus dans l'esprit et le corps vers les algorithmes et les espaces de mémoire, au risque de sa dépossession. Le phénomène n'a pas attendu les techniques numérique, il est déjà dans le livre : on sait que sa reproduction a écarté la nécessité de l'apprendre par coeur, libérant sans doute l'esprit de cet effort pour qu'il se consacre à d'autres tâches plus critique,s mais en en limitant aussi l'exégèse : difficile d'avoir l'ensemble des parties en mémoire quand on a confié sa mémoire à l'imprimé. Revenons à cette prolétarisation de la relation. Mais nombre de ces gestes d’amitiés sont désormais engrammés.
Le rôle des amateurs (1/2) : Qu’est-ce qu’un amateur La prolifération des plateformes participatives sur Internet suscite une implication toujours plus grande des amateurs dans la production ou le « remixage » de contenus médiatiques qui circulent et s’échangent sur le Web, qu’il s’agisse de textes, de photos, de vidéos, de fichiers musicaux, de logiciels, etc. L’objet du colloque organisé par le Digital Life Lab de l’Institut Télécom le 18 mars 2011 (voir toutes les interventions vidéos de la journée) était justement de réfléchir aux enjeux sociaux, organisationnels et culturels suscités par la profusion des pratiques amateurs dans l’univers numérique. Qu’est-ce qu’un amateur ? Le sociologue Antoine Hennion (Wikipédia), directeur de recherches au Centre de sociologie de l’innovation de l’école des Mines de Paris, a consacré une grande partie de ces travaux au sujet des amateurs, notamment en décortiquant les pratiques amateurs dans le domaine de la musique et la façon dont se forme le goût musical. « L’amateur est un expert par en bas ».
La stabilité de la structure d'un réseau social tient aussi à sa taille Dans un réseau, certains membres sont parfois tentés d'avoir un comportement individualiste qui remet en cause la viabilité de la structure. Sauf si cette dernière comprend suffisamment d'individus, et qui interagissent. Les plates-formes de collaboration ont besoin d'atteindre une "masse critique" pour rester stables en cas d'attaque ou de manœuvre par un collaborateur malveillant. Sachant que selon une équipe de chercheurs issus de plusieurs universités italiennes*, à l'origine de cette conclusion, la masse critique est ici le moment où le réseau est considéré comme rentable et mûr. Théorie des jeux optimisée Les expériences réalisées par les chercheurs suggèrent que beaucoup d’individus sont égoïstes et ces derniers rationalisent par conséquent l’état de leur propre collaboration à celle de leurs pairs. Contagion sociale ? Une masse critique est donc essentielle pour que le réseau puisse supporter des comportements individualistes.
Génération Y, entre alibi et manipulation La génération Y continue à alimenter quelques sujets, réflexions et débats malgré une perte de puissance par rapport à l’année dernière et son déferlement d’avis de spécialistes consultants, psychologues ou experts. Alors DRH attention la fameuse génération Y est particulière, elle ne respecte pas la hiérarchie, veut du sens, une gestion de carrière en mode accélérée, moins de distinction entre vie privée et professionnelle… Ce que je trouve incroyable c’est que l’on puisse sur une simple appartenance à une tranche d’âge attribuer autant de qualités ou défauts comportementaux à toute une catégorie de la population sans soucis de sexe, origines, diplômes, histoire personnelles, pays d’appartenance et de résidence… Cette génération ainsi étiquetée cela devient presque rassurant pour nos dirigeants à gérer, ils sont différents mais on a compris en quoi et on va y répondre avec les conseils d’un consultant spécialisé.
L’internet, c’est fini ! - Blogs InternetActu.net La lecture de la semaine, il s’agit d’un article paru cette semaine dans le quotidien britannique , article qui donne une interprétation tout à fait personnelle d’un événement qui a eu lieu aussi cette semaine à Austin, au Texas, la South By SouthWest Interactive Conference . On doit ce papier à Oliver Burkeman et il s’intitule : “The internet is over ” – “L’Internet, c’est fini”. “Si mes petits enfants me demandent un jour où j’ai compris que l’Internet, c’était terminé, écrit Oliver Burkeman, je serai en mesure de leur apporter une réponse assez précise : c’était dans un restaurant mexicain, en face du cimetière d’Austin, au Texas, alors que j’avais déjà avalé la moitié d’un Tacos. Cela faisait deux jours que j’assistais à la South By Southwest Interactive , avec comme ligne de conduite de demander à chaque personne que je rencontrais, de manière peut-être un peu trop agressive, ce qu’elle faisait exactement. sxsw2011 Le Web 3.0. La “gamification”. Le dilemme du dictateur.