Utiliser édugéo en histoire : appréhender le front de 14 -18 L’expérience combattante est la notion-clé du chapitre consacré au premier conflit mondial dans les classes de première. S’il s’agit d’aborder la guerre en privilégiant la place, le sort et le vécu des combattants, victimes et acteurs de la violence, il n’en est pas moins nécessaire de fixer rapidement le décor général dans lequel ces hommes ont évolué durant les quatre années du conflit. Dans cette perspective, on peut utiliser les ressources publiées sur le portail édugéo à l’occasion du centenaire de manière très rapide et très simple. Montrer la « guerre de siège » à l’échelle européenne Une fois connecté à édugéo, on accèdera aux données consacrées à la Première Guerre Mondiale depuis l’onglet "Données édugéo" (les couches visées se situent tout en bas de la liste : "Guerre 14 - 18"). Sélection de la couche consacrée à la Première Guerre Mondiale Mesurer l’ampleur de la guerre de siège La guerre à l’échelle du champ de bataille : les environs de Verdun en 1916
Enseigner le 11 septembre en classe : méthodologie, enjeux et pratiques de À l’ère du multimédia et des « autoroutes » de l’information, un événement comme le 11 septembre 2001 ne pouvait que revêtir une dimension extraordinaire, au-delà des faits, à la hauteur d’un mythe. Au point que pour certains, le 21° siècle débute chronologiquement avec lui. Si l’on regarde par exemple à quel point les nombreuses pages académiques (Voir entre autre sur le site de l’académie d’Aix-Marseille), pluridisciplinaires (Histoire-Géographie, ECJS, philosophie...) produites depuis, en France mais également les documents rédigés aux Etats-Unis ou ailleurs, ont pris à cœur d’expliquer, d’éduquer à partir de ce qui s’était passé ce jour là, on est également frappé par le décalage entre cette appréhension scientifique, historique voire pédagogique et la manière dont la société, les jeunes plus particulièrement, se sont appropriés l’événement. Enseigner le 11 septembre : entre histoire chronologique, respect des référentiels et autres « pratiques »... Comics et Super-Héros
Quiz : La Première Guerre mondiale commence dans les Balkans - fran... Francetv.fr plus Histoire Niveau : moyen Jouer Ton meilleur score Les meilleurs scores de la communauté LA GRANDE GUERRE EN DESSINS Le film de la semaine : De l'autre coté du mur Comment rendre vivants le quotidien de la Guerre froide et la séparation de l’Allemagne en deux blocs ‘antinomiques’ ? A l’occasion du vingt-cinquième anniversaire de la chute du mur de Berlin, « De l’autre côté du mur » de Christian Schwochow, jeune cinéaste allemand né à l’Est, nous donne l’occasion sur grand écran de vivre l’installation difficile, en ‘Occident’, d’une jeune femme et de son fils, réfugiés venus de RDA, à la fin des années 70. Documentée et réaliste, la fiction dramatique n’apporte pas seulement un éclairage pertinent sur une période historique tendue, elle permet aussi de réfléchir sur les notions d’intégration et de citoyenneté, tout en soulevant cette question essentielle : qu’est-ce que la trahison pour qui ne sait pas (encore) à quel nation il appartient ? Fuir le passé, affronter la réalité Berlin Est 1975. Surveillances et secrets en tous genres Drame réaliste, fable sur la citoyenneté Samra Bonvoisin
Les Sentiers de la gloire [20] Dax est au centre d'un plan serré, les soldats passent et repassent devant la caméra, il y a de la fumée. Nous, spectateurs, sommes maintenant, comme les soldats, plongés dans la bataille : nous ne distinguons plus l'ensemble, nous ne voyons qu'un voisinage immédiat, où surviennent au hasard des événements (explosions, morts). La répétition de tels plans indique non seulement le chaos de l'assaut, mais aussi son caractère de piétinement vain : on sent bien qu'il n'y aura pas de résultat. Le chef, Dax, est parfois visible et audible, parfois imperceptible.
Ernest Gabard: Carnet de guerre "Carnet de guerre" est un recueil d'aquarelles réalisées à la veille de la bataille de Verdun, entre novembre 1915 et avril 1916, par Ernest Gabard, artiste de Pau, surtout connu pour ses sculptures. La précision de la représentation, le trait de pinceau, la richesse de la palette colorée, traduisent avec beaucoup de sensibilité, des scènes de la vie quotidienne au front. Le point de vue choisi par l'artiste, son regard, son souci de transcrire le plus exactement possible les traces des lieux, du temps et de la solidarité des hommes, nous invitent, non seulement à le suivre avec émotion, dans cet univers dramatique, mais à nous situer dans la réalité historique, par la lecture de ses légendes.
Le Front populaire en marche Contexte historique De la violence ouverte à l’affrontement symbolique En février 1934, Paris renoue avec une violence de rue qu’on croyait disparue. Pendant plusieurs semaines, l’espace public devient le terrain de possibles affrontements entre la droite extraparlementaire et les antifascistes. La violence va cependant progressivement céder le pas à des affrontements symboliques et à des démonstrations où chacun s’essaie à montrer sa force pour éviter d’avoir à s’en servir. Cette mutation se précipite après la ratification du pacte d’unité d’action antifasciste par les socialistes et les communistes (juillet 1934). Analyse des images « Les poings dressés des prolétaires » André Kertész, né à Budapest en 1894, est parisien depuis 1925. Dans ces photographies, les manifestants, pris en contre-plongée, témoignent de cette mixité qui distingue les manifestations du Front populaire de celles de ses adversaires, où la séparation des sexes est rigoureuse. Interprétation
Les Sentiers de la gloire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Sentiers de la gloire (Paths of Glory[1]) est un film de guerre américain de Stanley Kubrick, en noir et blanc, sorti en 1957, d'après le livre éponyme de Humphrey Cobb paru en 1935. Synopsis[modifier | modifier le code] En 1916, la guerre s'est enlisée dans les tranchées. Devant cet échec personnel, le général Mireau décide alors de traduire le régiment en conseil de guerre pour « lâcheté ». Écœuré, le colonel Dax, brillant avocat pénaliste, demande alors l'autorisation au général Broulard de défendre les trois hommes qui seront désignés. En dernier recours, le colonel Dax décide de retrouver le général Broulard, pour lui apporter les preuves que le général Mireau a ordonné à son artillerie de tirer sur ses propres troupes. Fiche technique[modifier | modifier le code] Distribution[modifier | modifier le code] Contexte historique[modifier | modifier le code] Ce film s'inspire de plusieurs faits réels. [modifier | modifier le code]
Verdun et la Première Guerre mondiale vues par le cinéma VIDÉOS - Dimanche 29 mai, les Français commémoreront officiellement le centenaire de la bataille de Verdun. À cette occasion, Le Figaro vous propose de découvrir une sélection de films qui ont mis en scène cet évènement historique. La France célèbrera ce dimanche 29 mai le centenaire de la bataille de Verdun. Les réalisateurs, jusqu'à maintenant, ont préféré replacer cet affrontement crucial dans le contexte plus général de la guerre 14-18. De grands noms du 7e art, metteurs en scène et acteurs, apparaissent dans notre sélection. Une mention spéciale pour les documentaristes. ● Verdun, visions d'histoire en 1928, de Léon Poirier avec Albert Préjean, Suzanne Bianchetti... ● La Grande Illusion en 1937 de Jean Renoir avec Jean Gabin, Pierre Fresnay, Erich von Stroheim, Dalio, Carette... ● Les Sentiers de la gloire en 1957, de Stanley Kubrick avec Kirk Douglas, Ralph Meeker, Adolphe Menjou... ● Légendes d'automne en 1994, d'Edward Zwick avec Brad Pitt, Anthony Hopkins, Aidan Quinn...