Nuit et Brouillard 2 de 2 Nuit et Brouillard est un film documentaire[1] réalisé par Alain Resnais, à l'initiative d'Henri Michel (historien), et sorti en 1956. Il traite de la déportation et des camps de concentration nazis, en application des dispositions dites « Nuit et brouillard » (décret du 7 décembre 1941). Nuit et Brouillard est une commande du Comité d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale[2], un organisme gouvernemental fondé en 1951, dont la fonction était de rassembler de la documentation et de poursuivre des recherches historiques sur la période de l'occupation de la France en 1940-1945, et dont Henri Michel était le secrétaire général[3]. D'une durée de trente-deux minutes, le film est un mélange d'archives en noir et blanc et d'images tournées en couleur. Le texte, écrit par Jean Cayrol, est dit par Michel Bouquet. Le film tire son titre du nom donné aux déportés aux camps de concentration par les nazis, les NN (Nacht und Nebel), qui semblaient ainsi vouloir jeter l'oubli sur leur sort.
Archives | Aujourd'hui l'histoire Société Le voyage de Marco Polo raconté dans Le livre des merveilles Avant Marco Polo, personne n'avait décrit aux Européens les réalités des peuples de l'Asie. Au 13e siècle, au retour d'un séjour de 24 ans dans l'Empire mongol, cet aventurier vénitien a écrit son récit dans une cellule de prison de Gênes. La chargée de projet au musée Pointe-à-Callière Élisabeth Monast-Moreau raconte à Jacques Beauchamp le grand voyage de Marco Polo et ses années de service auprès de l'empereur Kubilai Khan. Alain Resnais Alain Resnais se nourrit très jeune de cinéma, de littérature, de bandes dessinées et de théâtre. Dès l'âge de treize ans, il réalise des petits films en 8 mm. Installé à Paris au début de la Seconde Guerre mondiale, il s'inscrit à l'Idhec en 1943, où il est reçu dans la première promotion. Il se spécialise dans le montage tout en continuant à réaliser des films en 16 mm. Parmi ceux-là, des courts-métrages sur des peintres préfigurent sa carrière de cinéaste. Alain Resnais commence sa carrière dans le cinéma documentaire.
Voyages en résistances Robert Waitz -Témoignages Témoignages Robert Waitz dans le convoi 60 et au camp d'Auschwitz III - Monowitz par Georges HAUPTMANN Extrait de HISTOIRE & PATRIMOINE HOSPITALIER, revue de l'Association "Les Amis des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg", n° 21 - 2 009 avec l'aimable autorisation des Editeurs En complément de l'article sur la vie et l'oeuvre de Robert Waitz, il nous a semblé important et intéressant de présenter ces témoignages de déportation. Selon un relevé effectué par Serge Klarsfeld, plus de 70 000 hommes, femmes et enfants ont été déportés de France aux camps d'Auschwitz de mars 1942 à août 1944 dans 73 convois partis, pour la plupart, de Drancy. Témoignage de Robert Waitz Robert Waitz fut déporté dans le convoi N° 60, parti de Drancy le 7 octobre 1943 à 10 heures 30 du matin, arrivé à Auschwitz le 10 octobre vers 3 heures du matin. "Dans chaque wagon un ou deux seaux d'eau et un seau hygiénique ; quatre vingt quinze à cent personnes y sont empilées avec des provisions suffisantes (?). et que
Bateau à vapeur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un bateau à vapeur ou pyroscaphe est un bateau dont la motorisation est assurée par une machine à vapeur. Les bateaux anglais qui ont leur nom précédé de SS, sont également des bateaux à vapeur (abréviation de "Steamship" en anglais). Histoire[modifier | modifier le code] Les premiers bateaux mus par la vapeur furent évidemment des engins que leur vitesse et leur autonomie encore très faible disposait à évoluer sur des lacs ou des rivières. Il semble qu'en 1769, James Watt ait développé un bateau actionné par des rames, elles-mêmes entraînées par une machine à vapeur. Bateau à vapeur de rivière[modifier | modifier le code] Bateau à vapeur sur lac et estuaire[modifier | modifier le code] Bateau à vapeur de mer[modifier | modifier le code] Les premiers furent des voiliers transformés pour avancer à la vapeur. Exemples de bateaux à vapeur (White Star Line) Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]
Alain Resnais Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Alain Resnais est un réalisateur français, également scénariste et monteur, né le 3 juin 1922 à Vannes (Morbihan) et mort le 1er mars 2014 à Paris[1]. Réalisateur d'Hiroshima mon amour (1959) et de L'Année dernière à Marienbad (1961), deux dates dans l'histoire du cinéma, Alain Resnais est rapidement considéré comme l'un des grands représentants du Nouveau cinéma (équivalent du Nouveau roman en littérature) et comme un des pères de la modernité cinématographique européenne à l'instar de Roberto Rossellini, Ingmar Bergman et Michelangelo Antonioni dans sa manière de remettre en cause la grammaire du cinéma classique et de déconstruire la narration linéaire[2],[3],[4]. Tout au long de son œuvre, on retrouve un grand nombre de thèmes tels l'histoire, la mémoire, l'engagement politique, l'intimité, la réalité de l'esprit, le rêve, le conditionnement socio-culturel, la mort, la mélancolie et bien sûr l'art[7].
La Shoah Mais la ruine de l'Europe, causée par la Première Guerre mondiale et renforcée par la crise économique mondiale de 1929, plongea dans la pauvreté un grand nombre de personnes. En 1933, l'Allemagne, comme l'Italie en 1925, porta au pouvoir des dirigeants fascistes qui proposaient des solutions radicales. Le parti nazi, abréviation de Parti national-socialiste, arriva au pouvoir. Les nazis gouvernèrent en prônant la haine et la xénophobie, et en favorisant un climat de peur. Ils estimaient que certains individus, particulièrement les juifs, se situaient au bas de l'échelle humaine et étaient des êtres dangereux qu'il fallait éliminer physiquement : c'est la "solution finale", mise en place en 1942. Ces idées ont conduit au plus grand massacre systématique qu'ait connu l'humanité. Contenus extraits de l'ouvrage De la discrimination à l'extermination HISTOIRE DE L'HOLOCAUSTE Clive A.
Des textes et des témoignages sur la Shoah Dernière modification de cette page : 01/24/2012 17:10:26 Avant les camps : antisémitisme et persécution / La collaboration et la résistance à la déportation / La déportation : les arrestations, les rafles, Drancy, les trains / Les camps de concentration / L'extermination : les camps d'extermination, autres formes d'extermination / Après les camps : justice, jugements, réflexions AVANT LES CAMPS : antisémitisme, persécution LA COLLABORATION ET LA RÉSISTANCE à la déportation LA DÉPORTATION : les arrestations, les rafles, Drancy, les trains L'EXTERMINATION : camps d'extermination, autres formes d'extermination, libération des camps APRES LES CAMPS : justice, jugements, réflexions Vous pouvez consulter la liste de tous les témoignages présents sur ce site OU Illustration François Lemaire, Soissons
Combien de temps peut-on vivre après avoir été décapité ? L'Histoire évoque plusieurs cas de personnes ayant montré des signes de vie dans les secondes ayant suivi leur décapitation. Mais ce phénomène est-il réellement possible ? Des chercheurs ont étudié le sujet et ont trouvé un début de réponse. C'est une étrange question que tout le monde s'est un jour posé devant un film de science-fiction, d'horreur ou... un film historique. Est-il possible de survivre à une décapitation ? Si la première réponse qui nous vient à l'esprit est évidemment non, il semblerait que dans les faits ce ne soit pas aussi simple. Des exemples historiques Durant la Terreur au cours de la Révolution française, diverses personnes ont rapporté des cas de condamnés à la guillotine ayant montré des signes de conscience après avoir été décapités. Autre cas plus documenté, celui rapporté par le docteur Beaurieux dans les Archives d'Anthropologie Criminelle. Il serait donc possible de survivre à la décapitation ? Le cerveau resterait opérationnel Vous êtes déjà abonné ?
Le réalisateur Alain Resnais est mort Alain Resnais est mort samedi soir à l’âge de 91 ans. On savait qu’il était hospitalisé depuis plus d’une semaine et qu’il n’avait pu se rendre au festival de Berlin où son dernier film Aimer, boire et chanter était présenté en compétition officielle. Alain Resnais est avec Jean-Luc Godard le grand cinéaste de la modernité en crise. Très tôt, il prend acte de l’impossibilité - après les ravages de la seconde guerre mondiale, les camps de concentration (sur lesquels il revient dans son documentaire Nuit et Brouillard), la bombe nucléaire (Hiroshima, mon amour) - de raconter notre monde à travers des récits à la chaine de causalité, où n’entrerait pas un irrationnel profondément perturbateur. Resnais dynamite les cadres narratifs, se prête à toutes les expériences de montages parallèles, de flashbacks qui n’en sont pas, de modalité de mise en scène transformant les acteurs en poupées détraquées. Dans les archives de «Libé» :«Mon mot d’ordre? «Il cherche toujours les films infaisables»
La Conférence de Wannsee et la "Solution finale" Le 20 janvier 1942, quinze hauts fonctionnaires du parti nazi et de l'administration allemande se réunirent dans une villa de Wannsee, dans la banlieue de Berlin, pour discuter de la mise en œuvre de ce qu'ils appelèrent "la Solution finale à la question juive". Les représentants de la SS à cette réunion étaient le Général SS Reinhard Heyrich, directeur de l'Office central de sécurité du Reich (Reichssicherheitshauptamt-RSHA) et un des principaux adjoints du SS-Reichführer Heinrich Himmler ; le général SS Heinrich Müller, chef de la division IV de la RSHA (la Gestapo) ; le lieutenant colonel SS Adolf Eichmann, chef de la division IV B4 de la RSHA (les questions juives) ; le colonel SS Eberhard Schöngarth, commandant à Cracovie de la RSHA pour le gouvernement général de Pologne ; le major SS Rudolf Lange, commandant des Einsatzkommando 2 du RSHA déployé en Lettonie à l'automne 1941 ; le major général SS Otto Hofmann, chef du bureau central pour la race et le peuplement (RuSHA).
Le Blog d'Harold Resnais = Azéma + Arditi + Dussollier + Wilson. Ou l'art de la combinaison d'acteurs On aura très souvent entendu ce même reproche formulé en choeur par quelques observateurs agacés: Alain Resnais serait un réalisateur paresseux, voire pantouflard, par la simple façon dont il compose les distributions de ses films depuis une trentaine d’années. Dix longs-métrages avec Sabine Azéma (sa compagne et actrice fétiche depuis 1983), neuf avec Pierre Arditi, sept avec André Dussollier… Après une première partie de carrière placée sous le signe de la variété, les années 80 ont fait place pour Resnais à une ère de stabilité dans ses relations avec ses partenaires de travail. Un état de fait qui n’a d’ailleurs pas déplu qu’à certains spectateurs. Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri ne s’en sont jamais cachés, eux qui ont adapté pour lui la pièce Intimate Exchanges d’Alan Ayckbourn en 1993. publicité Ils ont joué plus de trois fois chez Resnais. Alors quoi? Thomas Messias