Andrew Wiles - MathVIP Andrew Wiles est probablement le mathématicien contemporain le plus connu du grand public. En effet, il a réussi l’exploit de mettre le point final à la démonstration du « Dernier théorème de Fermat » (DTF), énoncé 358 ans auparavant par le Français Pierre de Fermat, mathématicien « amateur » du 17e siècle (1601-1665). Ce qui est remarquable, dans l’histoire d’Andrew Wiles, c’est qu’il a découvert l’énoncé de ce problème lorsqu’il avait 10 ans, en 1963, dans un livre de problèmes mathématiques emprunté à la bibliothèque de sa municipalité en Angleterre. Il était étonné par le fait que lui, un enfant, pouvait comprendre un problème mathématique qui avait résisté aux tentatives de démonstration des plus grands mathématiciens et mathématiciennes pendant plus de trois siècles ! Effectivement, de longues études en mathématiques ne sont pas nécessaires pour comprendre la donnée de ce problème. Quel était ce DTF ? a2 + b2 = c2. Notes Références Singh, Simon (1998).
Connaissances et pensée mathématiques : les bases cérébrales de l'intuition numérique - Université de tous les savoirs Texte de la 167e conférence de l’Université de tous les savoirs donnée le 15 juin 2000. Les bases cérébrales de l’intuition numérique par Stanislas Deheane Le cerveau des mathématiciens fascine. Je fais partie de ceux, nombreux, qui estiment anecdotiques et prématurées ces recherches qui prétendent trouver l’origine du génie dans quelques centimètres cubes de cortex supplémentaire. Focalisés sur les abstractions des mathématiques les plus récentes, quelques mathématiciens pourront ne voir là que des travaux d’intérêt périphérique sur des objets trop simples qui ne font pas ou plus partie du champ de la recherche mathématique. Comment cerner l’intuition numérique en laboratoire ? La simplicité de ce sens du nombre est trompeuse. Le caractère non-linguistique de l’intuition des nombres apparaît clairement chez les personnes bilingues. Nos connaissances sur les quantités approximatives sont donc stockées sous une forme indépendante du langage. Activations cérébrales et lecture subliminale
Les Mathématiciens Les Mathématiciens. ABEL Niels Henrik (Finnöy 1802 - Christiana (Oslo) 1829), Norvège. [...] ACKERMANN Wilhelm (1896 - 1962), Allemagne.[...] ALEMBERT Jean Le Rond D' (Paris 1717 - Paris 1783), France.[...] AL-HASSAR Abu Bakr Autour du 12ème siècle, Maroc.Al-Hassar ou Abou Bakr Muhammad ibn Abdallah ibn al-Hassar Ayyash était un mathématicien marocain, du 12ème siècle.[...] ALEXANDER James Waddell (1888-1971), Angleterre.Né à Sea Bright (New Jersey). Il est l'un des fondateur de la théorie algébrique. AMPÈRE André-Marie (1775-1836)Né à Lyon, y enseigna les mathématiques au début de sa carrière. ANTOINE Louis-Auguste (1888-1971), France.Né à Mirecourt (Vosges), Antoine entra, en 1909, à l'École normale supérieure. APOLLONIUS (Perge 262 - Alexandrie 190 env.), Grèce.On dit qu'Apollonius est né à Perga, petit ville grecque d'Asie mineure. APPELL Paul Emile (1855-1930), France.Alsacien, il s'inscrivit à l'Université de Nancy et se fit naturaliser français en 1872.
mathématiciens, de 1900 à nos jours - classification thématique Écrit par : Bernard PIRE Mathématicien allemand, spécialiste de la logique. Né le 29 mars 1896 à Schönebeck, près d'Altena en Westphalie (alors en Prusse, aujourd'hui en Allemagne), Wilhelm Ackermann fait ses études supérieures à l'université de Göttingen. Dans sa thèse, accomplie sous la direction de David Hilbert (1862-1943), il démontre en 1924 la cohérence de l'arithm ... Lire la suite Mathématicien finlandais, un des deux premiers lauréats de la médaille Fields en 1936. Né le 14 novembre 1916 à Rouen, Roger Apéry est le fils unique d'un ingénieur grec, qui a émigré en France en 1903. Le mathématicien russe Vladimir Igorevich Arnold, décédé le 3 juin 2010 à Paris des suites d'une opération chirurgicale, a marqué le développement des mathématiques dans de nombreux domaines. Écrit par : Jean-Luc VERLEY Mathématicien britannique, lauréat de la médaille Fields en 1966 pour ses travaux en topologie. Mathématicien britannique, spécialiste de géométrie. Écrit par : Universalis
Biographie de mathématiciens Nos et nous-mêmes stockons et/ou accédons à des informations stockées sur un terminal, telles que les cookies, et traitons les données personnelles, telles que les identifiants uniques et les informations standards envoyées par chaque terminal pour diffuser des publicités et du contenu personnalisés, mesurer les performances des publicités et du contenu, obtenir des données d'audience, et développer et améliorer les produits. Avec votre permission, nos partenaires et nous-mêmes pouvons utiliser des données de géolocalisation précises et d’identification par analyse du terminal. En cliquant, vous pouvez consentir aux traitements décrits précédemment. Vous pouvez également accéder à des informations plus détaillées et modifier vos préférences avant de consentir ou pour refuser de donner votre consentement. Veuillez noter que certains traitements de vos données personnelles peuvent ne pas nécessiter votre consentement, mais vous avez le droit de vous y opposer.
A - Histoire des Nombres Un tableau synoptique sur l'histoire des nombres. L'humanité a mis des millénaires pour passer de la quantité aux nombres. L'idée de nombre est l'aboutissement d'un long travail d'abstraction de la pensée. -30 000.Présence d'entailles numériques.- 8 000.Apparition des calculi au Moyen Orient.-3 300.Premiers chiffres à Sumer et en Elam. Première numérotation écrite.Naissance de l'écriture.-2 700.Chiffres sumériens cunéiformes.-2 000.Apparition de la base décimale.-1 800.Numérotation babylonienne savante. Histoire des nombres. Les marques numériques. Les plus anciennes dates des premières civilisation du Paléolithique (30 000 ans environ av. Pour assurer cette fonction de mémorisation de la quantité, l'homme, hormis l'os, le bois ou la pierre, a aussi utilisé son propre corps (doigts, orteils, bras, jambes, articulations..). Document tiré de la Summa arithmética de Luca Pacioli.Calcul digital du Haut Moyen Âge. Les numérotations figurées. Font ensuite leur apparition. Les numérations écrites.
Le top 7 des loses des mathématiciens de génie - Le Généraliste : Culture générale and co. Certains sites internet présentent des classements souvent drôles mais néanmoins très instructifs sur des thèmes très variés, du type "Top 5 des présidents américains les plus pourris" ou encore "Top 5 des films dont on a massacré la fin" (en anglais). A mon tour d’en faire un ! Je vous propose mon Top 7 des loses des mathématiciens de génie. Ce classement présente donc des mathématiciens qui ont été très influents voire essentiels dans leur domaine, et à qui il est arrivé une ou plusieurs "lose(s)" au cours de leur existence. Ce classement est bien sûr complètement subjectif. #7 : Sophie Germain (1776 – 1831) La lose de Sophie Germain fut d’être… une femme. Sophie Germain travailla entre autres sur le théorème de Fermat, l’un des problèmes de maths les plus difficiles de ces cinq derniers siècles, auquel elle apporta une contribution importante, sans pour autant le résoudre. #6 : Archimède (287 av. #5 : Kurt Gödel (1906 – 1978) #4 : Niels Henrik Abel (1802 – 1829)
Who are the greatest Black Mathematicians? Who are the greatest Black Mathematicians? Often I am asked the questions: 1. Is [or was] there a Black Gauss? 2. 3. 4. 5. I believe all but the last two questions to be foolish. Who are the young mathematicians whose careers exhibit extraordinary promise? Mathematicians of the 1990s Mathematicians of the 1980s Great Black Mathematicians of the 1970s & 1960s The Masters 5. Mathematicians of the 21st Century I had anticipated delaying this section until 2007 and young folks had begun to publish. Oguntuase: Currently in Italy, Nigerian born and soley Nigerian trained, James Adedayo Oguntuase earned his Ph.D. in 2001, but has published 18 papers in mathematics since 1998. Mathematicians of the 1990s: Petters: Belize born American citizen Arlie Petters, the most senior of the group is a member of Duke University's Bass Fellows. K. Gangbo: In just nine years from a Ph.D. to a Full Professor - this is incredible. Gumel: Born in Nigeria, Ph.D. in England. Great Mathematicians of the 1980s: 4. G. 3.
Mikhaïl Gromov ou les mystères de l'abstraction Lauréat des prix les plus prestigieux, Mikhaïl Gromov est l'un des mathématiciens contemporains les plus importants par l'ampleur de son oeuvre. Une oeuvre définitivement impénétrable au commun des mortels. "Vous expliquer ce que je fais ? C’est absolument impossible ! D’après ses collègues, cette œuvre est considérable : le mathématicien franco-russe est le père du "h-principe", des fondements de la topologie symplectique, des notions de courbe pseudo-holomorphe ou de groupe hyperbolique. Tellement nouveaux que, comme l’explique celui que ses confrères comparent volontiers à Bernhard Riemann (1826-1866) ou Henri Poincaré (1854-1912), deux monstres sacrés de la discipline, "le plus difficile est souvent de transformer une idée en un langage intelligible pour les autres. Mikhaïl Gromov est assis au milieu de son vaste bureau donnant sur le parc de l’Institut. En 1980, Mikhaïl Gromov rejoint l’université Paris 6, puis en 1982, l’IHES qu’il n’a pas quitté depuis.
: Les grands mathematiciens noirs Peu connus du grand public, un certains nombre de mathématiciens noirs ont marqué leur époque. Le plus grand est certainement David Blackwell, dont le travail peut être qualifié d’extraordinaire, mathématiquement parlant. Les autres ne sont pas loin derrière : il s’agit de J. Ernest Wilkins, Albert-T Barucha Reid, Georges O Okikiolu et James Ezeilo, Ronald J Mickens et Charles Bell. Ces mathématiciens ont publié plus de travaux scientifiques que l’ensemble de la communauté mathématique noire du 20è siècle réunie. Né en 1919, dans l’Illinois, David Blackwell fréquente un lycée mixte de la région, et se prend de passion pour les mathématiques. A 40 ans, en 1959, Blackwell avait accompli ce que beaucoup de mathématiciens auraient considérés comme l’œuvre de toute une vie : il avait écrit un livre considéré comme un classique, publié 35 articles de recherche, et était invité comme conférencier partout dans le monde.
Emile Borel, un mathématicien dans la cité Laurent Mazliak, mathématicien, dresse le portrait d'Emile Borel (1871-1956), «intellectuel militant sans relâche pour mettre les découvertes scientifiques et technologiques au service de la vie sociale», et, en bon probabiliste, défenseur du hasard et de la nécessaire liberté des chercheurs. Le 10 décembre 2010 s'est tenue, dans les locaux de l'Institut des sciences de la communication du CNRS, une après-midi consacrée à la présence des mathématiciens dans la cité illustrée par le cas d'Emile Borel. Borel a voulu saisir, avec une énergie jamais démentie, toutes les occasions où l'expertise de l'homme de science paraissait indispensable pour prendre des décisions stratégiques ou pour élever la conscience de ses contemporains vers une meilleure connaissance du monde. Les trois axes d'approche qui avaient été choisis pour l'après-midi reprenaient trois grandes composantes de cette riche activité. Au début des années 1920, il entame comme on l'a dit une carrière politique au sens propre.
Médaille Fields : la France, 2e nation la plus récompensée, absente du palmarès 2018 Outre qu’elle se tenait pour la première fois dans l’hémisphère Sud, la cérémonie de remise des médailles Fields, prestigieux prix de mathématiques, a eu pour autre singularité de ne pas récompenser un Français, un fait inédit depuis près de trente ans. Lire : Mathématiques : quatre nouvelles médailles Fields ouvrent de nouveaux chemins vers la connaissance Les Français ont longtemps été les enfants chéris des mathématiques en général et de cette récompense en particulier, la France étant la deuxième nation la plus primée de la médaille Fields. En réalité, le pays n’est pas totalement absent à Rio mercredi 1er août, puisque Alessio Figalli, l’un des quatre récompensés, a effectué une partie de sa thèse à l’ENS Lyon sous la codirection de Cédric Villani (médaille Fields 2010 et député La République en marche depuis 2017) ; il est également passé au CNRS et titulaire d’une chaire à l’Ecole polytechnique. Mathilde Damgé
Alexandre Grothendieck Journaliste, ancien rédacteur en chef de Libération et Télérama. Le portail gris aurait besoin d’un coup de peinture, mais la maison résiste au temps et au manque d’entretien. On n’ose pas frapper, l’homme qui vit là a fini par se fâcher avec ses voisins, un homme d’une cinquantaine d’années et sa mère, qui lui rendaient quelques services. La raison de cette ultime chamaillerie ? L’un des plus grands esprits du XXe siècle vit comme Edmond Dantès au château d’If. À La recherche d’un mystère En 1988, l’une de ses dernières photos connues Alexandre Grothendieck, 83 ans [2], ne veut voir personne et ceux qui veillent sur lui, à distance, refusent de vous donner le nom de son village. Les plus prestigieuses universités l’accueilleraient volontiers pour conforter leur renommée internationale, mais lui préfère achever sa vie en reclus dans les Pyrénées, dont les routes tournicotantes du piémont semblent faites pour envoyer les visiteurs au diable. Un coup d’œil chez les voisins d’en face
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