Réalité augmentée: la révolution du jeu vidéo est en marche à Bordeaux, chez Asobo La nouvelle révolution du jeu vidéo est en marche. Elle mettra sans doute quelques années à se matérialiser largement auprès du grand public, mais elle peut être testée depuis une semaine à Bordeaux chez Asobo, seule société au monde choisie par Microsoft pour développer des jeux en réalité augmentée pour son casque HoloLens. La réalité augmentée fait aujourd'hui moins parler d'elle que la réalité virtuelle. Logique car cette dernière sera une réalité demain pour les premiers acquéreurs de l'Oculus Rift ou du PlayStation VR. Mais la réalité augmentée est bien plus spectaculaire. Imaginez: vous êtes dans votre salon. Nous sommes familiers de ce genre de scènes, vues au cinéma, dans Minority Report par exemple, ou dans Iron Man. HoloLens est le premier casque de réalité augmentée, développé dans le plus grand secret par Microsoft et annoncé au printemps 2015. Asobo, société d'une centaine de salariés est assez discrète et peu connue du grand public. Les possibilités semblent infinies.
Jeux vidéo : 9 bienfaits étonnants sur le corps et la santé JEUX-VIDEO - Votre mère avait tort. Les jeux vidéo ne sont pas mauvais pour vous. En réalité, ils améliorent votre vie. 1. Pour mieux comprendre la façon dont les jeux vidéo affectent le cerveau, des chercheurs allemands ont conduit une étude, publiée cette semaine. Des scans IRM de leurs cerveaux ont montré que le groupe de joueurs avaient vu leurs cellules grises augmenter dans l'hippocampe droit, le cortex préfrontal droit et le cervelet – les zones du cerveau responsables de la navigation spatiale, de la mémoire, de l'organisation et de la motricité des mains. "Alors que des études précédentes avaient montré des différences de structures du cerveau chez les joueurs de jeux vidéo, l'étude actuelle révèle l'existence d'un lien entre jouer aux jeux vidéo et une augmentation du volume du cerveau", explique Simone Kühn, qui a dirigé l'étude. 2. 3. 4. Une étude de l'université de Padoue a jeté un froid sur l'idée que les jeux vidéo sont mauvais pour le cerveau des jeunes enfants. 5. 6.
Les usages problématiques des jeux vidéo Editorial de la revue Psychotropes, N°3-4/2012 Par Aurélie Wellenstein et Michel Hautefeuille En 2009, dans l’éditorial d’un numéro de Psychotropes consacré à « adolescence et monde virtuel », j’avais fait écho de la difficulté à faire partager l’idée selon laquelle la cyberaddiction serait une pathologie émergente. Depuis, les choses ont un peu changé. Ainsi, l’addiction aux jeux vidéo s’invite régulièrement dans les médias et les échanges familiaux. Notre clinique actuelle indique indéniablement l’existence d’usages problématiques du jeu vidéo, qui témoignent de conduites de dépendance, d’évitement de la relation et de souffrance masquée. À cet effet, un réseau a été constitué dénommé « La Guilde » : ce réseau, créé début 2009 rassemble à ce jour une soixantaine de professionnels, en France mais aussi en Suisse, en Belgique, au Québec et même au Brésil. Son nom est un clin d’œil aux joueurs de MMORPG. Une accoutumance pour les jeux est reconnue dans 69 % des cas.
Pourquoi les jeux vidéo favorisent l’apprentissage | Santé mentale S’il est vrai que les jeux vidéo peuvent isoler les enfants de leur environnement social et les distraire de leurs devoirs scolaires, il semble bien qu’ils présentent certains avantages. Des chercheurs pensent que le cerveau des enfants qui jouent régulièrement à des jeux vidéos pourrait être plus développé que celui des autres. En outre, ces jeux améliorent la coordination œil-main, l’aptitude à comprendre les concepts scientifiques et même le QI. En 2009, des chercheurs du Mind Research Network du Nouveau-Mexique et de l’Institut neurologique de Montréal ont découvert que, chez les filles de 12 à 15 ans qui jouaient 30 minutes par jour à Tetris, certaines régions du cortex cérébral étaient plus développées que chez celles qui ne jouaient pas aux jeux vidéo. Certaines de ces régions sont associées à la pensée critique, au raisonnement et au langage. À quels jeux vidéo les enfants devraient-ils jouer? Best Health Magazine, Janvier/Février 2010
L'esport aux JO ? Oui, mais pas les jeux "violents" Dans une interview, le président du Comité international olympique s’est déclaré plutôt favorable à l’entrée de l’esport aux Jeux olympiques. Mais pour lui, pas question d’y inclure les “jeux violents”. C’est dans un entretien accordé au South China Morning Post que Thomas Bach, président du CIO, a exprimé ce point de vue. Nous voulons promouvoir la tolérance, la non-violence et la paix entre les peuples. La violence dans les jeux vidéo, qu’ils soient compétitifs ou non, est un marronnier persistant depuis quelques années. Une frontière floue Mais il pourrait être difficile d’établir une limite claire. Et quid des Dota 2, des League of Legends ? Le sport, c’est la santé Pour les jeux de simulation sportive en revanche, aucun problème. Il faut que cette pratique soit encadrée, que ces athlètes qui jouent à des jeux vidéo sportifs ne soient pas dopés. Sur ce plan, de réels problèmes se posent déjà dans l’esport.
Les jeux vidéo sont-ils bons pour le cerveau ? Les jeux vidéo ont la réputation d’être violents et débilitants. Pourtant, de récentes études montrent qu’ils améliorent des capacités cognitives différentes selon le type de jeu. Les risques pour la santé restent très limités et peuvent facilement être évités. Depuis la sortie de Pong en 1972, les jeux vidéo n’ont cessé de s’améliorer et de se diversifier. Stimulants pour le cerveau Depuis les récentes découvertes sur la plasticité cérébrale, on sait que l’environnement peut modifier les connexions synaptiques du cerveau. Quid de la différence homme/femme ? Nous avons vu précédemment que les joueurs de Tetris sont désavantagés face aux joueurs de jeux d’action dans des tâches générales d’attention visuelle. Le risque réduit d’épilepsie Il y a effectivement eu des cas de crises d’épilepsie répertoriés après une utilisation intensive de jeux vidéo. Une violence délimitée La dernière crainte concerne l’incitation à la violence. (1) C.S. Qui joue au jeux video ? Celia Hodent-Villaman
5 jeux thérapeutiques qui peuvent soigner la maladie de Parkinson, Alzheimer et autres dépressions Pour soigner des maladies, il existe divers moyens plus ou moins efficaces. Parmi eux, nous avons les jeux vidéo thérapeutiques qui permettent de soigner les patients atteints de dépression, d'amblyopie, de la maladie de Parkinson ou encore d'Alzheimer. Découvrons vite les titres ! Dig Rush Désactiver la lecture automatique C'est au début du mois de mars que le studio Ubisoft a présenté le jeu vidéo Dig Rush. Comme l'indique Joseph Koziak, le PDG d'Amblyotech, "cette thérapie électronique a été testée cliniquement pour augmenter de façon significative l'acuité visuelle des enfants et des adultes qui souffrent de ce trouble, et ce sans utiliser un cache". En effet, Dig Rush a été testé auprès de 160 enfants et 80 adultes pendant 6 semaines. Qu’est-ce que l’amblyopie ? L’amblyopie est une différence d'acuité visuelle entre les yeux qui touche entre 2 et 5% de la population. Voracy Fish L'avantage est qu'il est possible de s'amuser tout en travaillant sur sa motricité. Qu'est-ce que l'AVC ?
Les jeux vidéo sont-ils dangereux ? D’autre part, l’adulte sacralise son rapport aux images diffusées par la télévision. Or les jeux vidéo sont une contre-culture de la télévision et des images idéales dont rêvent les parents pour leurs enfants. Voyez les jeux de rôle à la Tolkien avec des personnages très symboliques. Le choix de l’avatar par l’enfant va être très révélateur. Pour l’adulte, c’est troublant. Quels repères donner aux parents en conflit avec leurs enfants sur le sujet ? Les jeux vidéo sont devenus un nouvel enjeu d’autorité. Il est important aussi de prendre le temps de communiquer sur le jeu : de quoi s’agit-il ? Auteur de : Les écrans, ça rend accro... Propos recueillis par Solène Pouillot
Les médecins de demain formés avec un jeu vidéo Recevez nos newsletters : VIDEO - Les étudiants de la faculté de médecine de l’université Paris-Sud pourront, dès la rentrée 2015, profiter d’un jeu vidéo pour acquérir de nouvelles compétences et améliorer leur raisonnement médical. Engagée depuis plus de 10 ans dans l’activité de simulation médicale, l’Université Paris-Sud a décidé de franchir un nouveau cap. Après l’ouverture de LabForSims en 2012, un lieu dédié à la simulation d’opération sur des mannequins, l’établissement se tourne aujourd’hui vers le virtuel. Une équipe pédagogique pluridisciplinaire composée de médecins anesthésistes réanimateurs, d’urgentistes, de neurologues ou encore de neurochirurgiens a mis au point un jeu vidéo pédagogique. Dans celui ci, l’étudiant incarnera un médecin qui accueillera des patients aux urgences. Voir si l’étudiant a eu le bon raisonnement médical La société Interaction Healthcare qui programme le jeu a annoncé que les premiers tests auront lieu fin juin.
Violence, mensonges et jeux vidéo Les jeux vidéo rendent "violent". Ils provoquent "l'isolement". Ils "abrutissent". Trois thèmes qui ressortent à chaque fait divers où le jeu vidéo pointe le bout de son nez. Parfois, des personnalités publiques s'emparent du sujet. Pourtant, la violence existe : "Call of duty", "Assassin's creed", "Battlefield", "GTA V". 1/ Les jeux vidéo n'engendrent pas de tueurs "C'est absolument faux. "Très tôt, un enfant fait très bien la distinction entre le virtuel et la réalité, entre le jeu et la réalité. Pourtant, le jeu vidéo peut rendre agressif. Vanessa Lalo souligne que la violence dans les jeux vidéo existe. Mais si la violence existe dans le jeu vidéo, elle sert surtout d'outil de réflexion. "L’âge moyen des joueurs est aujourd'hui de 41 ans", explique Nicolas Gaume, président du Syndicat national du jeu vidéo (SNJV), qui veut lui aussi briser les idées reçues. "52% de ces joueurs sont des femmes. 2/ Les jeux vidéo n'isolent pas les joueurs 3/ Les jeux vidéo n'abrutissent pas les joueurs
The Westport Independent est une glaçante simulation de censure de journaux The Westport Independent est un nouveau jeu d’un genre très particulier qui vient tout juste de sortir sur le Play Store. On y incarne en effet le rédacteur en chef d’un journal qui doit faire face à la montée d’un pouvoir fascisant et censeur. Un titre politique, intelligent et qui donne à réfléchir. Vous vous souvenez de Paper Please ? Dans la peau d’un rédacteur en chef sous pression Il est tout simplement impossible de ne pas penser à Paper Please en lançant The Westport Independent. Lien YoutubeChaine Youtube FrAndroid Car l’heure est grave quand le jeu commence, puisqu’un nouveau parti politique vient de prendre la tête d’un pays imaginaire. Le bon et le mauvais coup de ciseau En tant que rédacteur en chef, le joueur va donc devoir choisir les articles qu’il désire mettre dans son journal. Un titre changé, quelques lignes de barrées et voilà un gouvernement autoritaire tout satisfait. Publics et politiques Le jeu est évidemment payant, il coûte 4,99 euros.
Top 10 des préjugés sur les joueurs Notre passion a beau réunir des millions d’hommes et de femmes, aux yeux de certains, nous restons une minorité. Une catégorie de personnes qui fait parfois même l’objet de préjugés plus ou moins vrai. Mais lesquels sont les plus récurrents ou les plus pertinents ? C’est ce que nous avons tenté de deviner en établissant un Top 10 des préjugés sur les geeks, les nerds et les nolifes, bref, sur les aficionados de jeux vidéo. Bien entendu, ces clichés ne sont en aucun cas le point de vue de la rédaction et ce top ne doit pas être pris au premier degré, vous voilà prévenus ! Le jeu vidéo est une activité chronophage. En tant que grands célibataires (voir le point précédent), les joueurs développent forcément un grand manque affectif. S’il y a bien une chose sur laquelle les joueurs sont d’accord, c’est qu’ils ne sont jamais d’accord. Les jeux vidéo rendent les gens violents. Le joueur n’est pas un être particulièrement sociable. Le joueur n’aime pas la nature, il l’exècre.