Commerce intra-Zone Euro : et maintenant, on va où ? | BSI Economics Résumé : - La création de la Zone Euro a participé au développement rapide des échanges entre ses membres. - L'Allemagne est l'élément moteur de l'essor du marché des exports intra-zone ; elle occupe une place prépondérante dans un canevas de relations commerciales fortement déterminées par la proximité géographique - Après une progression rapide durant les premières années de la Zone Euro, cet essor des échanges intra-zone est bridé depuis plusieurs années par des ajustements macroéconomiques puissants au sein de l'Union économique et monétaire -Malgré la puissance de ces ajustements, les dynamiques de secteurs restent déterminantes Les relations économiques d'un pays sont très influencées par sa géographie et donc généralement dominées par ses échanges avec ses voisins. Après avoir participé à la tendance mondiale de densification des échanges commerciaux, l'union économique et monétaire (UEM) est aujourd'hui le lieu de mutations importantes. Conclusion
Alternatives Economiques Education - Protectionnisme ou libre-échange? Le protectionnisme est une tentation politique répandue. La plupart des économistes mettent en garde contre les risques d'aggravation des difficultés économiques que porte cette tentation. Pourtant, l'histoire et la théorie fournissent de sérieux arguments en faveur du protectionnisme. Mais celui-ci se révèle difficile à mettre en oeuvre efficacement et apparaît souvent néfaste à l'intérêt général. 1. Accès réservé Je suis lycéen, étudiant ou enseignant, et abonné à Alternatives Economiques :> Je m'identifie pour accéder gratuitement à cet article.Je suis abonné à une des publications d'Alternatives Economiques, mais pas lycéen, étudiant ou enseignant : > Je peux consulter les articles de la publication à laquelle je suis abonné en m'identifiant sur le site En revanche, je ne peux pas accéder aux contenus de ce site réservé aux lycéens, étudiants et enseignants.
À la fin du premier trimestre 2014, la dette publique s’établit à 93,6 % du PIB Avertissements : La dette trimestrielle étant fondée sur des sources comptables moins complètes que les comptes annuels, son profil demeure révisable pendant plusieurs trimestres. La seule observation de la variation de la dette sur une période ne permet pas de déduire le déficit public. Pour passer de la variation de la dette brute au sens de Maastricht au déficit, il faut tenir compte de la variation des actifs financiers et de celle des autres comptes financiers à payer et à recevoir. La dette publique diminue de 2,2 milliards d'euros par rapport au trimestre précédent À la fin du troisième trimestre 2015, la dette publique de Maastricht s'établit à 2 103,2 Md€, en baisse de 2,2 Md€ par rapport au trimestre précédent. La dette des administrations publiques locales et celle de l'État diminuent Au troisième trimestre 2015 la contribution des administrations publiques locales (Apul) à la dette diminue (–1,6 Md€). La contribution de l'État à la dette décroît de 1,1 Md€.