Karachi vu depuis Washington
Dès le 8 mai 2002, les services américains estimaient que l’attentat de Karachi ne ressemblait à aucun autre intervenu dans la mégapole pakistanaise. OWNI révèle 28 pages de notes du consulat américain de Karachi en relation directe avec l’attentat contre le bus de la DCN. Et permettant d'évoquer l'implication des forces paramilitaires pakistanaises. Le 8 mai 2002 et dans les semaines suivantes, les services de sécurité du consulat américain de Karachi ont suivi et analysé l’attentat perpétré contre le bus de la Direction des constructions navales (DCN – désormais appelée DCNS). Au titre de leur mission de renseignement sur les actes terroristes perpétrés au Pakistan, en particulier lorsqu’ils visent des cibles des États-Unis ou de leurs alliés.
Mali : chronologie d'une crise - Mali / Infographie
Depuis le coup d’État qui a renversé le président Amadou Toumani Touré (ATT) en mars au Mali, le nord du pays est occupé par des groupes islamistes qui y imposent la charia (loi islamique) avec une extrême rigueur. Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Ansar Dine et le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), sont les trois groupes islamistes armés qui contrôlent le nord du pays. Début janvier 2013, ces groupes ont tenté une incursion vers le sud en se rapprochant de la capitale, Bamako.
Preuve sociale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. la preuve sociale ou l'effet troupeau de mouton La preuve sociale est un principe de sociologie. Selon ce principe, un individu ne sachant quoi faire ou quoi penser, aura tendance à adopter le comportement ou le point de vue d'autres personnes.
Hollande, Mitterrand, Sarkozy... Des stratégies télévisuelles différentes
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Thomas Wieder Des discours, il en a prononcé plusieurs dizaines. Des communiqués signés de son nom, il en paraît plusieurs par semaine. Depuis qu’il est à l’Elysée, François Hollande n’est pas avare de sa parole. Comment expliquer, dès lors, le sentiment largement répandu d’un chef de l’Etat silencieux ? Peut-être par une raison toute simple : la rareté de ses interventions destinées à l’ensemble des Français.
Rien compris à l'affaire Karachi ? On reprend de zéro
Hortefeux, Balladur, Copé, Bazire, Gaubert, Sarkozy... leurs noms sont associés à l’attentat de Karachi. Que leur reproche-t-on ? Que risquent-ils ? Explicateur. Jacques Chirac rend hommage aux onze Français morts lors de l’attentat de Karachi à Cherbourg, le 13 mai 2002 (Charles Platiau/Reuters) A l’origine, un attentat suicide fait quatorze morts
Fukushima, deux ans après
C'était le 11 mars 2011. Suite à un tsunami, plusieurs réacteurs entrent en fusion à la centrale atomique de Fukushima. Deux ans après, de nombreux Japonais souhaitent l'arrêt du nucléaire dans l'archipel.
L'argent, le sang et la démocratie
Le 8 mai 2002, à Karachi, au Pakistan, un attentat tue onze employés de la Direction des constructions navales de Cherbourg. Aussitôt, l'organisation terroriste al-Qaida est désignée comme responsable. Dix ans après les faits, l'enquête va faire surgir, notamment grâce aux révélations de la presse et aux investigations du juge antiterroriste Marc Trévidic qui a repris le dossier en 2007, une seconde affaire : un éventuel financement illicite lors de la campagne présidentielle d'Édouard Balladur en 1995.
Deux rats séparés par un continent mais reliés par le cerveau
Deux rats séparés par un continent mais reliés directement par des électrodes implantées dans leur cerveau ont pu communiquer et collaborer pour accomplir une tâche simple, ont annoncé jeudi 28 février des chercheurs dans une étude présentant ce premier "supercortex". A l'aide de ce seul lien électronique, le premier rat, hébergé dans un institut de recherches au Brésil, a pu envoyer des signaux cérébraux pour guider son congénère, situé dans un laboratoire américain, et l'aider ainsi à obtenir une récompense. Pour le neurobiologiste brésilien Miguel Nicolelis, à l'origine de cet exploit, il serait donc possible en théorie d'associer ainsi plusieurs cerveaux d'animaux pour créer un ordinateur "biologique" d'un nouveau genre.
Affaire Karachi : ce que les juges reprochent à Balladur et Léotard
Exclusif. « Le Monde » a pu prendre connaissance du contenu de l'ordonnance par laquelle les juges se sont dessaisis au profit de la CJR. Cent-soixante-huit pages pour résumer un dossier hors norme. L'ordonnance « d'incompétence » par laquelle les juges de l'affaire de Karachi se sont dessaisis, le 6 février, au profit de la Cour de justice de la République (CJR), et dont Le Monde a pu prendre connaissance en intégralité, reconstitue plus de trois ans d'une enquête minutieuse. Les investigations des juges Renaud Van Ruymbeke et Roger Le Loire ont mis en lumière la responsabilité, entre 1993 et 1995, d'Edouard Balladur et François Léotard - alors respectivement premier ministre et ministre de la défense - dans un système de financement politique occulte opéré via des ventes d'armes.