Martine Mottet - Accueil ici.radio-canada.ca/special/enquete/commotions-cerebrales/ « J’ai joué la meilleure game de ma vie, mais je ne m’en rappelle pas… » Jeremy Gouin-Gosselin, ex-joueur de football de 17 ans Le football, c’est plus qu’une passion pour quelque 30 000 jeunes Québécois. C’est aussi un sport où le risque de commotions cérébrales est très élevé, autant sinon plus qu'au hockey. Au point où des joueurs doivent ranger leurs crampons, trop blessés. Pourtant, ni le Réseau du sport étudiant du Québec (RSEQ) ni Football Québec - les deux organismes chargés de les encadrer - n’ont la moindre idée du nombre de commotions que les joueurs subissent. Le RSEQ, qui compte environ 186 000 élèves-athlètes, n'emploie aucun responsable de la sécurité, a appris une équipe de l'émission Enquête. Quant à Football Québec, son « Règlement de sécurité » ne contient pas une seule ligne sur l’obligation pour les équipes de se doter d’un protocole de détection et de gestion des commotions cérébrales. « On est content de ne pas recevoir [les rapports]. Les sports les plus à risque 48 h
ScrollMagic - Demo Qui es-tu, consommateur d’informations français? Crédit: Flickr/CC/gothopotam L’année dernière, les Français étaient très actifs pour commenter les informations en ligne et répondre à des sondages portant sur l’actualité. Cette année, ils ne participent plus autant. C’est ce que révèle la nouvelle étude intitulée “digital news report” publiée par le Reuters Institute for the Study of Journalism ce 20 juin 2013. Le Français reste attaché à la télévision Le Français, donc, se fie volontiers aux médias traditionnels pour accéder aux actualités, et notamment à la télévision, alors que le pays bénéficie d’un taux de pénétration d’Internet important (80%) et d’un nombre de pure-players exceptionnel. Crédit: Digital News Survey 2013/Reuters Institute L’attachement aux médias traditionnels se retrouve en Allemagne où les habitants, bien que très connectés (83% de taux de pénétration d’Internet), restent fidèles à la télévision et continuent à lire des journaux imprimés chaque semaine. Le Français aime les listes et les “lives” Ordinateur?
Brief.me, construisons un média Avec Brief.me, nous vous proposons de construire avec nous un rendez-vous quotidien par e-mail qui fait le tri dans l'actualité du jour et résume ce qui est important en privilégiant l'explication et le sens des événements. Tout a commencé avec un article du Guardian, un de ceux qui frappent l'imagination et qu'on se fait suivre par e-mail. Son titre : L'article explique comment la consommation répétée d'informations nous embrouille le cerveau, nous fait perdre du temps, ne nous aide pas à prendre de meilleures décisions, nous rend passifs. Réflexion faite, tout n'était pas faux dans cet article. Les applis mobiles, les réseaux sociaux, les alertes... Qu'en retenons-nous d'utile pour notre compréhension du monde ou pour notre vie ? Face à ce problème, nous avons imaginé Brief.me, une approche simple et reposante de l'actualité, un guide dans la masse des informations disponibles. Sans publicité Nous pensons que la publicité alimente la fuite en avant de l'information.
Perception et représentations des soldats coloniaux dans la guerre Et l’on rapporte des traits de : leur acharnement de monter à l’assaut, leur ivresse d’aller à la fourchette, leur goût de ne pas faire de quartier. […] Un des tirailleurs entend, en passant, de quoi l’on parle. Il nous regarde, rit largement dans son turban casqué et répète en faisant non de la tête. « Pas Kam’rads, non pas kam’rad, jamais ! Couper cabèche ! » - I’sont vraiment d’une autre race que nous […]. - Au fond, ce sont de vrais soldats. - Nous ne sommes pas des soldats, nous, nous sommes des hommes.
NSA files decoded: Edward Snowden's surveillance revelations explained | World news Two factors opened the way for the rapid expansion of surveillance over the past decade: the fear of terrorism created by the 9/11 attacks and the digital revolution that led to an explosion in cell phone and internet use. But along with these technologies came an extension in the NSA’s reach few in the early 1990s could have imagined. Details that in the past might have remained private were suddenly there for the taking. Chris Soghoian Principal technologist, ACLU NSA is helped by the fact that much of the world’s communications traffic passes through the US or its close ally the UK – what the agencies refer to as “home-field advantage”. The Snowden documents show that the NSA runs these surveillance programs through “partnerships” with major US telecom and internet companies. The division inside the NSA that deals with collection programs that focus on private companies is Special Source Operations, described by Snowden as the “crown jewels” of the NSA. Jeremy Scahill Fiber-optic cable
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