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Dix manières de dire “c’est bien” à ses élèves, ça marche

Dix manières de dire “c’est bien” à ses élèves, ça marche

La présentation orale : une (belle) histoire !LeWebPédagogique Etre prof – voire un bon prof – c’est surtout ne jamais oublier qu’on a été élève. Que le premier qui a un bon souvenir d’une interrogation orale me lance la première pierre ! Le dos collé au tableau, la classe silencieuse face à vous et le prof, à côté qui attend dans un silence angoissant une réponse qui ne viendra pas. Aujourd’hui que nous sommes passé de l’autre côté du bureau, j’avoue que l’expérience de l’interrogation orale me convainc que très modérément. Si dans les langues vivantes, parler est pour un élève primordial, pour ne pas dire vital, vérifier les connaissances d’un élève à l’oral n’est pas toujours chose aisée dans les autres matières. Ce n’est certes pas la première fois que le sujet est abordé… Pour mémoire, je citerai la proposition pertinente et dynamique de Dominique Natanson (publiée sur le site de l’Académie d’Amiens). En croisant ces grilles avec des critères d’évaluation bien précis, j’ai essayé de mener une expérience originale en classe de Terminale S. 1.

Comment susciter le désir d’apprendre ? | Parlons pédagogie ! Le blog de François Fourcade Comment révéler la « puissance d’agir », comme le préconise Spinoza dans l’Éthique ? J’aimerais profiter de cette période de vœux pour redire encore une fois dans ce blog toute l’importance que revêt pour moi le fait d’éveiller chez nos élèves le désir d’apprendre. Il s’agit pour ce faire de développer ce que la didactique nomme la « dévolution », c’est-à-dire le fait de transmettre la responsabilité de l’apprentissage de l’enseignant vers les étudiants, afin qu’ils parviennent à lui donner pleinement du sens : « j’aime apprendre parce que je comprends le sens de ce que j’apprends ou plus exactement, l’ensemble des savoirs pluriels (connaissances, compétences, savoir être, savoir devenir) que j’intègre, prennent sens pour atteindre l’objectif que je me suis fixé ». Si on reprend la grille de motivation telle qu’elle est définie par Edward L. Une fois ceci posé, on mesure bien toute l’utopie contenue dans cette proposition.

Imaginer et innover… ou subir le plagiat et le copier-coller En écho à l’illustration ci-dessus, rien n’est plus valorisant que de se citer soi-même par cet extrait d’un récent billet : « Innover, ce n’est pas mettre des cataplasmes sur son enseignement quand les modalités de ce dernier sont profondément changées par le numérique omniprésent — je pense en particulier à la copie numérique des œuvres, à leur utilisation et reproduction collective, au plagiat, au copier-coller, au travail collectif et collaboratif…Qui innove à ce sujet ? Où est l’innovation ? Les réponses qui sont généralement données pour répondre à ces nouveaux défis ne sont pas innovantes, elles sont juste radicalement et profondément réactionnaires. Il y aurait tant à dire aussi sur l’incapacité chronique de l’école et de l’université à prendre en compte, là aussi de manière raisonnée, les nouvelles formes de travail collectif, coopératif ou collaboratif. Et pourtant, on pouvait s’en douter et, comment dire ? Et puis, il y a eu, tout récemment, cet article du Monde. Puis :

Les 10 fondements de l'apprentissage. Par DISCAS et médiatisé par Nicolas Martello La raison d'être du tutorat à distance est de supporter l'apprentissage des apprenants. Cette vidéo fait un point rapide mais précis sur les fondements de l'apprentissage. Le contenu est l'oeuvre de DISCAS qui fut un bureau privé de consultation pédagogique québécois (1987 à 2006). Pour l'essentiel de ces années, il a été constitué de deux consultants-pédagogues: Jacques Henry et Jocelyne Cormier aujourd'hui à la retraite. Penser son activité de tuteur passe par la conception d'interventions tutorales qui peuvent permettre aux apprenants de mieux investir ces 10 fondements. Ci-dessous le texte de ces 10 fondements Apprendre, c’est donner du sens aux choses en faisant des liens entre elles.Quand on apprend, on acquiert des connaissances (qui dépendent de la mémoire), des habiletés (qui dépendent de la pratique) et des attitudes (qui dépendent des expériences et des influences).

Mon prof de maths est (vraiment) un clown "On peut rire de tout mais pas avec tout le monde". La phrase de Pierre Desproges ne s’appliquait certes pas aux profs de mathématiques. Et pourtant, ils ne sont pas légion, les élèves qui sentent monter en eux l’hilarité dès qu’on évoque un problème d’algèbre ou une projection géométrique... Mais c’est parce qu’ils ne connaissent pas L’Ile Logique ! Cette compagnie de théâtre fondée en 2006 et qui se produit ce samedi 22 mars à la BNF fait en effet montre d'une ambition artistique qui eût sans doute terrassé Molière et Shakespeare eux-mêmes : faire rire les écoliers de 4 à 18 ans avec… des maths. Par exemple ? Tour de force théâtral Dites comme ça, les choses ont l’air passablement basiques. L’Ile logique doit être d’ailleurs la seule troupe du monde à posséder un "costume de topologie algébrique"… Pas étonnant que Cédric Villani, médaille Fields (le prix Nobel des maths) en 2010 et éminence de la vulgarisation en France, en raffole. "Les maths, ça n'existe pas"

Google Alertes - Créer des alertes personnalisées Notre vidéo L'actualité étant par nature en perpétuel renouvellement, il n'est pas facile d'être tenu informé des derniers rebondissements dans telle ou telle affaire. La société Google s'est donc penchée sur le problème... Vous êtes sur la page d'accueil d'un autre service, Google Alertes. Actualités - cette alerte se déclenche lorsque de nouveaux articles, figurant parmi les dix premiers de Google Actualités, correspondent à vos critères de recherche. Pour créer une alerte, vous devez saisir un ou plusieurs mots-clés, préciser le type d'alerte ainsi que la fréquence d'envoi et indiquer une adresse mail. Pour gérer vos alertes, cliquez sur le lien « cliquez ici pour gérer vos alertes » dans la page d'accueil Google Alertes. Par défaut, les alertes sont envoyées au format HTML. Pour effacer une alerte, cochez la case qui lui est associée et cliquez sur le bouton « Supprimer ». Article original publié par .

Apprendre/désapprendre. Sur la ligne de crête des apprentissages numériques Pour qui s’intéresse, comme le fait le Digital Society Forum, aux relations entre les technologies et nos sociétés, la question de l’apprentissage est un vrai cas d’école. Dans ce domaine comme dans tant d’autres, il suffit de chercher à mesurer l’effet des technologies sur les performances scolaires pour ne rien trouver. En elles-mêmes, les Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Enseignement (TICE) ne sont causes de rien, ne rendent pas les enseignants plus pédagogues, les enseignés plus performants ou la société plus savante. Numérisation du tableau blanc, du cartable, du manuel scolaire, des exercices, de la relation avec l’enseignant ou des échanges entre apprenants, il ne suffit pas de substituer, pièce par pièce, un dispositif numérique à un outillage analogique pour que, comme par magie, les apprentissages s’améliorent, les inégalités devant l’éducation s’évaporent ou que les capacités créatives se développent. Regarder ailleurs Qu’apprendre ? développer

Photos du journal - Sophrologie sociale et pédagogique Apprentissage de la lecture : opposer méthode syllabique et méthode globale est archaïque Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Roland Goigoux (Professeur des Universités à Clermont-Ferrand) Dans une tribune publiée le 22 décembre par le quotidien Le Monde, le neuro-psychologue Stanislas Dehaene affirme que les mauvais résultats des adolescents français à l’enquête PISA trouvent leur origine dans l’enseignement de la lecture au cours préparatoire. Il juge scandaleux que le ministère de l’Education nationale ne procède pas à l’évaluation des manuels scolaires et ne recommande pas aux enseignants une méthode qui aurait fait, selon lui, la preuve de son efficacité : la méthode syllabique. Lire la tribune de Stanislas Dehaene (édition abonnés) Enseigner est une science Choisir, au pied du sapin, de relancer une polémique qui causa en 2006 la perte du ministre de Robien auquel il prodiguait déjà ses conseils pourrait laisser croire que notre collègue dispose des données scientifiques nouvelles propres à fonder cette préconisation.

Le goût du savoir On n’enseigne rien véritablement, rien de solide ni de durable, sans développer le goût d’apprendre. Le goût du savoir lui-même. C’est ce que fait un maître. Le goût du savoir se développe par le choix. Dans le très beau poème des Illuminations intitulé "Ouvriers", le personnage qui s’exprime parle de "l’horrible quantité de force et de science que le sort a toujours éloignée de moi." Beaucoup d’ouvriers et paysans du 19ème siècle, ou du début du 20ème siècle encore, exprimaient un regret : "Nous ne sommes pas allés à l’école, ou pas assez souvent, ou pas assez longtemps, pour rencontrer le savoir." L’école promet d’être le lieu où l’enfant pourra rencontrer le savoir, en acquérir le goût. Si l’école voulait casser la possibilité pour chaque enfant de rencontrer son désir et, avec lui, le goût du savoir, elle ne s’y prendrait pas autrement qu’elle fait en surchargeant les programmes et en renforçant sans cesse l’obligation. Christian Jacomino

Philotozzi | L'apprentissage du Philosopher

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