Hypersexualisation des filles, mini miss, lolitas, pré adolescence précoce © Istock Au delà des images publicitaires qui envahissent les esprits de nos bambins, l'éducation que nous leur donnons fait aussi la différence. Les relations mère fille ont évolué pour se nicher entre complicité et étouffement. Le fossé générationnel semble plus fin qu'autrefois, avec des filles qui se rapprochent de l'âge adulte - du moins en apparence – plus tôt, et des mères qui restent proches de la jeunesse. Des mères qui ne veulent pas vieillir, ce qui peut parfois mener à des comportements déviants, qui s'expriment au travers de leurs filles. Les concours de Mini Miss en sont un exemple intéressant : les petites filles y sont bichonnées, brushées et fardées jusqu'à être mi poupées Coroll, mi femmes fatales. Pour Marie, maman de deux filles, ces compétitions donnent aux petites filles des valeurs néfastes. « Quelle vision d'elles-mêmes auront ses filles en grandissant ? A l'inverse, Géraldine fait régulièrement concourir sa fille de 7 ans aux Mini Miss de sa région.
Hypersexualisation: gare à la banalisation | Pierre Pelchat | Société «On n'est pas en train de voir le mal partout. La séduction, c'est correct. Les relations sexuelles entre ados, ça peut être possible. Ce qui est questionnant, c'est la séduction strictement sexuelle, c'est qu'il faut performer sexuellement parce que notre chum va nous laisser tomber ou que notre blonde va rire de nous», a affirmé, au cours d'une entrevue au Soleil, Francine Duquet, professeure au Département de sexologie de l'Université du Québec à Montréal. Il ne faut pas voir cette mise en garde comme un excès de pruderie. Le sujet de l'hypersexualisation est le sujet d'échanges aujourd'hui lors d'un forum qui a lieu au Patro Roc-Amadour de Québec. Geneviève Quinty, du Projet Intervention Prostitution Québec, et Pierre Pouliot, de la commission scolaire des Premières-Seigneuries, y traiteront notamment de la prostitution juvénile. Sécurité des jeunes Selon Mme Duquet, l'hypersexualisation des jeunes peut avoir des conséquences néfastes.
Accueil Débat public «L'hypersexualisation des jeunes: vers une mutation de l'adolescence?» 6 décembre 2006 01:23:36 Grand débat public à l'UQAM le 5 décembre 2006. Animé par le journaliste Alain Gravel S'adressant à un large public, cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la série des Grands débats Prenez position de l'UQAM, qui ont pour objectif de stimuler les échanges et de confronter les réflexions sur des enjeux actuels de société. le port de plus en plus sexy, l'accès à la cyberpornographie, la sexualité de plus en plus précoce, sont-ils des signes annonciateurs d'une transformation de l'adolescence ou simplement un phénomène de mode? Si les personnes présentes auront l'occasion d'échanger avec les panélistes, il sera également possible de suivre le débat en direct sur le Web et de poser des questions aux différents intervenants.
High heels for men are on the rise By Daisy Dumas Updated: 12:53 GMT, 18 October 2011 It's the last bastion of women's outerwear that hasn't been appropriated by the more fashionable men out there - until now. High heels are, apparently, de rigueur for men. To the possible chagrin of some more traditional males, those with a fashionable eye and an eccentric sensibility are taking the women's power dressing weapon of choice and making it their own. Suits you, sir: Mark Cramer, left, and Coy Barton choose to wear heels as they find the conventional offerings for men so dull. And the resulting looks are far from the Priscilla Queen of the Desert-esque drag styles that are so often associated with men in heels. Luke Nero, a promoter at Mr Black club in LA, told the New York Times: 'I went to a loft party yesterday, and there was a guy in normal shorts, normal tank and really hot red pumps. At the club, Coy Barton, 24, and Mark Cramer, 25, paired their black heels with relatively conservative trousers and shirts.
Les médias, les femmes et leur estime d'elles-mêmes En 2010, la Media Education Foundation sortait un nouvel épisode de Killing Us Softly, une série de documentaires sur les médias, les femmes et leur estime d'elles-mêmes. Quatre ans plus tard, il est toujours temps de tirer la sonnette d'alarme... La Media Education Foundation, dont la mission est de produire des films éducatifs pour aider au développement du sens critique des jeunes américains, a récemment fait parler d’elle suite au retour en grâce du quatrième épisode de Killing Us Softly, une série de documentaires sur l’image des femmes dans les médias et les répercussions qu’elle peut avoir sur leur amour-propre. Cette vidéo, sortie en 2010, se remet en effet à tourner sur les Internets mondiaux. Voici quelques morceaux choisis pour les non-anglophones d’entre nous : « Nous grandissons tous dans un monde où le corps féminin est considéré comme un objet. La Media Education Foundation n’a malheureusement pas de solution à ce problème à part la sensibilisation dès le plus jeune âge.
France bans girls' beauty contests in bid to stop 'hyper-sexualisation' of children New law prevents anyone under the age of 16 from being judged on their physical appearanceFrance has a long tradition of young girls taking part in beauty pageants, which are usually called 'Mini Miss' competitions By Peter Allen PUBLISHED: 16:01 GMT, 18 September 2013 | UPDATED: 10:34 GMT, 19 September 2013 France has banned children’s beauty contests in an attempt to prevent the ‘hyper-sexualisation’ of youngsters. A new law enacted on Tuesday night prevents anyone under the age of 16 from being judged on their physical appearance. It follows concerns expressed all over the world, including Britain where pageants are still legal, about girls being forced to grow up too fast. Concern: French senator Chantal Jouanno (right) was concerned about a Vogue magazine shoot in 2010 featuring provocative photographs of 10-year-old Thylane Loubry Blondeau (left) The new law is part of an equality bill introduced by women’s minister, Najat Vallaud-Belkacem, and now passed by the Paris Senate.