background preloader

Faut-il rendre l'enseignement du code informatique obligatoire dès le primaire? - LExpress.fr

Faut-il rendre l'enseignement du code informatique obligatoire dès le primaire? - LExpress.fr
A l'heure où des initiatives pédagogiques contestables comme le Permis Internet, délivré par la Gendarmerie et qui insiste sur les dangers d'internet, sont mises en oeuvre, de plus en plus de voix plaident pour une approche beaucoup plus englobante et positive du numérique à l'école. Au-delà des usages, qui sont déjà censés être enseignés, un mouvement de fond encourage l'enseignement d'une culture générale numérique, incluant l'apprentissage de notions de code informatique dès l'école primaire. Une question qui sera débattue dans le cadre de la refonte des programmes scolaires. Gilles Babinet, qui lance prochainement la version française de Code Academy, un site pour apprendre le HTML à distance aux 7-15 ans, "sous réserve de lutter contre le décrochage et la surcharge des programmes, qui fait que les apprentissages fondamentaux ne sont pas assimilés, on pourrait commencer vers le CE2-CM1 avec des bases de langage informatique". Un discours qui commence à porter Quels enseignements?

Vers un enseignement de l'algorithmique à l'école | Fier d'être développeur Courant du mois de décembre 2013, plusieurs voix se sont élevées en faveur d’un enseignement de culture générale du numérique. Il s’agirait d’inclure l’apprentissage de plusieurs notions de code informatique dès l’école primaire. Un schéma calqué sur les Anglophones ? L’idée d’enseigner le code informatique aux enfants existe déjà en Grande-Bretagne. Le gouvernement de David Cameron a décidé en 2013 d’élargir l’enseignement du code au système scolaire. Plusieurs personnes influentes dans le domaine du code ce sont intéressées au sujet, c’est le cas de Simon Peyton Jones, Principal Researcher au MS Research Lab de Cambridge. Il a expliqué l’intérêt de ce système d’éducation lors de sa présentation à la QCon London 2013. Il a très clairement insisté sur le fait que l’algorithme est un mot qui peut effrayer les enseignants de l’école élémentaire, mais selon lui il n’y a pas de quoi puisque l’algorithme est quelque chose de très simple. Du côté Français

Logo et sa Tortue Voici une machine bien bizarre, une tortue logo, mais version robotique. Cette machine a été utilisée par l’éducation nationale dans le cadre du Plan IPT (Informatique Pour Tous), afin de démontrer les sources de la programmation aux enfants des écoles primaires. Ces tortues physiques étaient donc là afin que les choses soient plus palpables pour des enfants qui n’étaient pas encore tout à fait tombés dans l’air de la micro-informatique. Voici une machine bien bizarre, une tortue logo, mais version robotique. Ces tortues physiques étaient donc là afin que les choses soient plus palpables pour des enfants qui n’étaient pas encore tout à fait tombés dans l’air de la micro-informatique. La philosophie Logo Ainsi, ce n’est pas l’ordinateur qui programme l’utilisateur, mais l’utilisateur qui programme l’ordinateur. C’est dans ce contexte qu’un disciple de M. Dans la perspective constructiviste, l’ordinateur aide les enfants et les adultes des trois façons suivantes : Expérience

Des cours de programmation obligatoires à l'école, en Estonie Et si la programmation de logiciels informatiques devenait une matière aussi importante à l'école que l'apprentissage des langues, de l'Histoire ou des mathématiques ? Il y a encore une quinzaine d'années, l'usage de l'informatique impliquait nécessairement de "mettre les mains dans le cambouis" pour configurer un logiciel, installer un driver de matériel, ou mettre en ligne une page web. Mais aujourd'hui l'informatique est devenue d'une telle simplicité (avec les outils "WYSISWYG", les installations de logiciels en un clic, les plateformes de blogs pré-configurées, etc.) que les adolescents n'ont plus besoin de comprendre "comment ça marche", puisque ça marche. Il en ressort que bien que nées avec Internet, les jeunes générations sont naturellement moins douées et surtout moins attirées par la technique informatique pure et dure. Il n'apparaît pas clairement dans le communiqué de la Fondation si le gouvernement estonien soutient activement l'initiative.

Programme d'informatique dès l'école primaire ? La France a fait le choix depuis de nombreuses années de considérer l’informatique à l’école et jusqu’au collège, uniquement à travers ses usages via le B2I. L’Éducation nationale perçoit le numérique comme un outil utile aux autres apprentissages. Cette vision n’est pas forcément mauvaise mais elle semble trop restrictive. Le numérique ne peut se limiter à son seul usage au service des autres disciplines. Il pourrait être pertinent de mettre en place un réel enseignement de l’informatique comme il en existe dans d’autres pays ou même en France (mais seulement en option au lycée). Les programmes de l’école primaire étant en pleine ré-écriture actuellement, Serge Abiteboul, Jean-Pierre Archambault, Gérard Berry, Colin de la Higuera, Gilles Dowek et Maurice Nivat ont envoyé au Conseil supérieur des programmes ce texte, que nous reproduisons ci-dessous, présentant les grandes orientations de ce que pourrait être un programme d’informatique à l’école primaire. URL d’origine du document (EPI)

Enseignement de l'informatique et des TIC - Actualité Le CAPES d'informatique sera créé dès 2020 Inria, A.B. - 9 janvier 2019. Grâce aux actions conjuguées de la SIF (Société Informatique de France), de l'EPI (Enseignement public et informatique), du groupe ITIC-EPI-SIF et de plusieurs personnalités du monde informatique et chercheurs Inria, comme Gérard Berry, Serge Abiteboul, Maurice Nivat, Gilles Dowek et Thierry Viéville, les sciences du numérique vont entrer dès 2020 dans les programmes du CAPES. La création d'une agrégation a déjà été annoncée dans les années à venir. Epinet n° 212, février 2019. Mesure de la popularité d'une page Web Communiqué par Julien Launay. Play-i : des robots pour apprendre la programmation aux enfants, la meilleure approche pour enseigner les plus de cinq ans ? Après le Royaume-Uni qui a annoncé l'introduction de la programmation comme nouvelle matière dans les programmes scolaires des enfants de 5 ans, c'est au tour de quatre associés d'apporter leur pierre à la réalisation de cet objectif. Parmi eux figure un ancien haut cadre de Google et l'ancien responsable des équipes de développement logiciel de l'iPod chez Apple. Ils ont, pour leur part, opté pour une approche différente en remplaçant les écrans d'ordinateurs par la robotique pour développer les mécanismes de conception de logiciels chez les tout petits. C'est dans ce cadre qu'ils ont créé Play-i, un ensemble de robots (pour le moment deux, Bo et Yana) destinés aux cinq ans et plus qui sont dotés de moteurs et de capteurs, dont les actions peuvent être programmées par l'enfant sur une interface tactile. Pour se faire, une interface tactile intuitive en langage naturel comme Scratch (développé par le MIT) ou Blocky (par Google) est mise à leur disposition. Source : blog Play-i Et vous ?

À 12 ans, il crée en Lego, une machine à écrire en braille ! Hi ! Shubham Banerjee, un jeune garçon vivant en Californie a inventé une imprimante braille à base de Lego Mindstorms. Son petit nom, Braigo, est le parfait mélange entre braille et Lego. Shubham a déclaré son intention de rendre « libre » son imprimante – qui coûte environ 350$, (notons qu’une imprimante pour braille coûte environ 2000$) afin également d’amélioré l’objet grâce à une communauté de développeurs plus large. Pour rappel, le braille est un système d’écriture tactile « à points saillants » pour les personnes aveugles ou malvoyantes. Louis Braille, son inventeur a été élève à l’Institution royale des jeunes aveugles, a modifié et a perfectionné le code Barbier. Ce que j’apprécie notamment dans ce projet, c’est le détournement des Lego et surtout le fait que ce jeune garçon a déjà en tête le fait de rendre libre son travail pour l’améliorer, le partager, le démocratiser. source | source Ces articles peuvent aussi vous intéresser:

L'industrie numérique ne fait pas rêver les jeunes LE MONDE | • Mis à jour le | Par Margherita Nasi Voitures connectées, drones, opérations télémanipulées… Aujourd'hui, il n'y a pas une industrie dans laquelle le numérique ne soit pas venu apporter de profonds bouleversements. Des bouleversements technologiques, mais aussi professionnels : pour accompagner ces innovations, il faut des compétences. L'industrie est donc devenue très friande de candidats hautement qualifiés, que ce soit pour des postes de développement ou des métiers d'ingénierie des processus ou des systèmes d'information. « Nous formons des étudiants de haut niveau, spécialisés en systèmes embarqués, et nous n'avons aucun souci pour les placer, il y a une vraie demande du point de vue industriel », affirme Pierre-Emmanuel Hladik, correspondant de la chaire diversité à l'Insa Toulouse. Problème : ces candidats ne retournent pas à l'industrie l'amour qu'elle leur voue. Le numérique souffre, tout comme l'industrie, d'un problème d'attractivité.

CoderDojo Paris #2 inscriptions ici ; CoderDojo Paris fait partie d'un mouvement mondial regroupant des clubs permettant aux jeunes d’apprendre à coder gratuitement auprès de bénévoles. Au Dojo, les jeunes apprennent comment coder, “hacker”, construire des sites Web, des applications, des jeux et plus encore, le tout dans un environnement amusant, social et collaboratif. Les bénévoles, passionnés par les jeunes, ont la possibilité d'enseigner le code et d’agir comme mentors. CoderDojo n'a qu'une seule règle : “Above All: Be Cool” (Avant tout : Soyez cool). A partir de 2014, CoderDojo Paris aura lieu une fois par mois. Nous avons également besoin de votre aide ! Si vous pouvez aider, s'il vous plaît entrez en contact avec nous : paris.fr@coderdojo.com

Related: