Lombricompostage : compostage par les vers - ComprendreChoisir
Élever des vers pour composter ses déchets. Principe du lombricompostage Le lombricompostage est une technique de compostage basée sur l'élevage de vers rouges décomposeurs de matière. Les vers se nourrissent de matière organique et produisent deux sortes de compost : liquide et pâteux. Description du lombricomposteur Le lombricomposteur est idéal pour les petites surfaces, sur les balcons, dans une véranda ou un garage. Il existe différentes structures pour le lombricomposteur (verticale, horizontale, à plateaux tournants), cependant le principe reste le même. Le lombricomposteur se compose, en général, de quatre bacs, en plastique ou en bois non traité : le premier bac contient le compost solide, le second bac contient le compost en décomposition, le dernier bac contient les déchets ajoutés,le bac du bas récupère le jus. Tous droits réservés FT Media Quelle contenance pour mon lombricomposteur ? Voici quelques critères qui vous permettront de choisir la contenance de ce composteur :
Agriculture urbaine
Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. L'agriculture urbaine et périurbaine (AUP) se réfère aux pratiques agricoles dans les villes et autour des villes qui utilisent des ressources - terre, eau, énergie, main-d'œuvre - pour satisfaire les besoins de la population urbaine. L'agriculture urbaine se réfère à des petites surfaces (par exemple, terrains vagues, jardins, vergers, balcons, toits, récipients divers) utilisées en ville pour cultiver quelques plantes et élever de petits animaux et des vaches laitières en vue de la consommation du ménage ou des ventes de proximité. Par agriculture périurbaine on entend des unités agricoles proches de la ville qui gèrent des exploitations intensives commerciales ou semi-commerciales en pratiquant l'horticulture (légumes et autres cultures), l'élevage de volailles et d'autres animaux destinés à la production de lait et d'œufs. Histoire de l'agriculture urbaine Quelques données La pratique de l'agriculture urbaine à travers le monde Loisirs.
la rotation des cultures ou assolement triennal | Jardin-Magique.fr
Publié le mardi 21 août 2012 Les agriculteurs d’autrefois ont découvert de quelle façon la rotation des cultures, combinée à d’autres pratiques telles que l’utilisation de cultures de couverture et d’engrais vert, favorisait la matière organique, la fertilité et l’état physique des sols. L’utilisation d’engrais chimiques n’a jamais montré de toxicité; si elle est interdite en culture biologique, c’est principalement pour empêcher la déstructuration des sols et les pollutions par des fertilisants lessivés dans les ressources en eau, à cause d’apports que les cultures n’ont pu utiliser pour différentes raisons. Les engrais autorisés en culture biologique sont plus stables car ils doivent être transformés par la microfaune du sol avant d’être assimilables par les plantes. Une gestion raisonnée des successions culturales permet de participer à la nutrition des cultures par l’exploitation naturelle des diverses couches du sol et de ce que chaque type de plante y apporte. Imprimer cette Page
L'espace agricole peut-il être un sociotope ?
Les espaces agricoles - c'est à dire les champs cultivés, les prairies, les jachères... - sont une composante majeure des "espaces ouverts" sur lesquels porte la méthode des sociotopes. Toutefois, nous avons à plusieurs reprises fait le constat que dans la pratique, leur usage social à des fins de loisirs est à peu près nul et ne mérite pas que l'on passe des heures en observation au bord d'un champ de blé pour le cas où il en sortirait des pique-niqueurs ou des randonneurs ou Dieu sait quoi encore, même si le fait d'avoir trouvé un jour quelques revues "légères" dans un champ de maïs m'incite à une certaine prudence (de même que ce string rouge trouvé dans une plantation d'épicéas en centre-Bretagne m'amène à considérer sous un jour nouveau les rapports entre sylviculture et sociotopes). Cette formulation soulève quelques interrogations. Voir aussi : Espace agricole et sociotopes.
Les défis de notre agriculture globalisée - Globe
L'imminence d'une nouvelle donne agricole mondiale du fait de l'évolution démographique fait, depuis les années 2000, l'objet de nombreuses publications en France, principalement de la part d'agronomes (comme Bruno Parmentier, Michel Griffon ou François de Ravignan) mais également de géographes (comme Sylvie Brunel ou Gilles Fumey). Nous vous proposons dans ce billet de découvrir l'approche du géographe Jean-Paul Charvet, notre invité dans l'émission Planète Terre ce 15 décembre à travers son dernier ouvrage Atlas de l'agriculture : comment pourra-t-on nourrir le monde en 2050 ? paru chez Autrement. Ce billet est réalisé en partenariat avec le dernier numéro du magazine Carto "Nourrir le monde en 2050". L'espace agricole mondial : un clivage Nords-Suds toujours pertinent ? 1er indicateur : le nombre d'agriculteurs L'évolution du nombre d'agriculteurs par pays dans le monde. 2ème et 3ème indicateurs : les superficies cultivées et les rendements Quelles solutions pour nourrir la planète ?
Micro-agriculture biointensive
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] De nombreuses caractéristiques de l'agriculture biointensive étaient présentes dans l'agriculture traditionnelle des Chinois, Grecs, Mayas et du début de la période moderne en Europe et en Afrique de l'Ouest depuis au moins la fin XVIIIe siècle. L' agriculture biointensive est développée dans la seconde moitié du XXe siècle par l'horticulteur anglais Alan Chadwick; elle s'inspire en partie de l'agriculture biodynamique et de la méthode de maraîchage dite intensive française [1] De la méthode intensive française elle reprend le travail sur buttes préparées par double-bêchage et la minimisation de l'espacement des plantes. La méthode a été popularisée ensuite par John Jeavons[2]. Grands principes[modifier | modifier le code] John Jeavons propose le résumé suivant des six principes de l'agriculture biointensive[6]. Avantages[modifier | modifier le code] Inconvénients[modifier | modifier le code]
Autosuffisance alimentaire
Comment nourrir la France en 2050 ?
Comment nourrir la France en 2050 : Un défi pour l'agronomie ? par Philippe Pointereau - SOLAGRO, membre de l'AFA demander le diaporama par mail à l'auteur Un scénario pour un système agricole et alimentaire durable Le défi alimentaire se pose aussi pour la France en 2050 avec la prise en compte effective des enjeux environnementaux, l'augmentation de la population qui passera à 70 millions d'habitants en 2050, la perte de terres agricoles, la montée en puissance des usages non-alimentaires de la biomasse pour suppléer le pétrole et la nécessité d'avoir des échanges équilibrés. L'augmentation de la population de 8 millions d'habitants en France métropolitaine (62,3 millions en 2008 et 70 millions en 2050) va se traduire par une demande accrue en terme alimentaire et en biomasse non alimentaire, mais aussi par une réduction de la surface agricole due à l'artificialisation des sols pour satisfaire les besoins en termes de logement, d'infrastructures de transport ou de loisirs. - 116 kg de PdT