Cité perdue Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page liste les cités perdues soit mythiques, soit historiques, disparues à la suite d'un déclin fatal, d'une guerre ou d'une catastrophe. L'adjectif perdues désigne dans cette expression des lieux qui n'existent plus en tant que cités, que leur localisation soit connue ou inconnue. Catégories de cités perdues[modifier | modifier le code] Dans l'imagination populaire, les villes perdues furent des lieux d'habitation prospères et bien peuplés. Leur disparition a été si complète qu'aucune connaissance de la ville ne subsistait jusqu'à leur redécouverte.Leur localisation a été perdue, mais leur mémoire a été maintenue grâce à des mythes et des légendes.Leur existence et leur localisation ont été toujours connues, mais elles ne sont plus habitées. Afrique[modifier | modifier le code] Asie[modifier | modifier le code] Proche et Moyen-Orient[modifier | modifier le code] Asie centrale[modifier | modifier le code] Angkor Cahokia
sans titre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Memphis. La ville occupe une place stratégique à l’entrée du delta du Nil et de ce fait regorge d’ateliers et de manufactures, notamment d’armes qui étaient conservées dans de grands arsenaux non loin du port principal de la ville, le Perou Nefer, dont les textes du Nouvel Empire vantent l’activité fébrile. Son histoire est étroitement liée à celle du pays et sa ruine est due, d’abord, à la perte de son rôle économique à la fin de l’Antiquité et la montée d’Alexandrie, puis à l’abandon de ses cultes à la suite de l’édit de Thessalonique. Memphis a eu plusieurs noms au cours de son histoire de près de quatre millénaires. Par la suite et en raison de son étendue, la cité est aussi nommée sous divers noms qui sont en réalité les dénominations de ses quartiers ou de ses districts ayant eu à un moment donné une importance certaine. Vue de la nécropole de Saqqarah depuis le palais de Memphis
Photos | Zeugma et Apamée : deux villes antiques englouties par les eaux Les cité antiques Apamée (en actuelle Syrie) et Zeugma (en actuelle Turquie) furent fondées à la fin du IVe siècle avant J. C., par Séleucos 1er. Ces villes, situées à la frontière turco-syrienne, sont aujourd'hui disparues sous les eaux du barrage turc de Birecik. Elles se trouvaient sur la route communément appelée, depuis le XIXe siècle, « route sud de la soie », qui reliait la Méditerranée à l'Orient. La mission archéologique « Zeugma-moyenne vallée de l'Euphrate » a exploré ces deux sites majeurs (Zeugma-Séleucie et Apamée), avant qu'ils ne soient partiellement engloutis dans les eaux, en même temps qu'une cinquantaine de sites, pour la plupart inédits, dont Horum Huyuk (site daté de l'époque du bronze et fouillé par les Français).
Site archéologique de Leptis Magna Archaeological Site of Leptis Magna Leptis Magna was enlarged and embellished by Septimius Severus, who was born there and later became emperor. It was one of the most beautiful cities of the Roman Empire, with its imposing public monuments, harbour, market-place, storehouses, shops and residential districts. La description est disponible sous licence CC-BY-SA IGO 3.0 Site archéologique de Leptis Magna Embellie et agrandie par Septime Sévère, enfant du pays devenu empereur, Leptis Magna était l'une des plus belles villes de l'Empire romain, avec ses grands monuments publics, son port artificiel, son marché, ses entrepôts, ses ateliers et ses quartiers d'habitation. موقع لبدة الأثري (لبتس ماغنا) (لبدة الكبرى ) كانت لبدة إحدى أجمل حاضرات الامبراطورية الرومانية بعد أن جمّلها وكبّرها "سيبتيموس سيفيروس" ابن البلاد الذي أصبح امبراطورًا، وذلك بنصبها العامة الكبيرة، ومرفئها الاصطناعي، وسوقها، ومخازنها، ومحترفاتها وأحيائها السكنية. 莱波蒂斯考古遗址 莱波蒂斯是由塞普蒂斯乌斯·塞韦罗扩建并设计装饰的。 Sitio arqueológico de Leptis Magna
Site archéologique de Volubilis Archaeological Site of Volubilis The Mauritanian capital, founded in the 3rd century B.C., became an important outpost of the Roman Empire and was graced with many fine buildings. Extensive remains of these survive in the archaeological site, located in a fertile agricultural area. Volubilis was later briefly to become the capital of Idris I, founder of the Idrisid dynasty, who is buried at nearby Moulay Idris. La description est disponible sous licence CC-BY-SA IGO 3.0 Site archéologique de Volubilis La capitale de la Maurétanie, fondée au IIIe siècle av. موقع وليلي الاثري تأسَّست العاصمة الموريسكية في القرن الثالث ق.م. source: UNESCO/ERI La description est disponible sous licence CC-BY-SA IGO 3.0 瓦卢比利斯考古遗址 古城建于公元前3世纪,曾是北非古国毛里塔尼亚的首都,是罗马帝国的一个重要前哨,有着许多优雅精致的建筑物。 Археологические памятники Волюбилиса Волюбилис - столица Мавритании, основанная в III в. до н. э., - стал важным форпостом Римской империи и был украшен многими прекрасными зданиями. Sitio arqueológico de Volubilis ヴォルビリスの古代遺跡 source: NFUAJ
Explosions nucléaires il y a des milliers d'années Mohenjo-Daro explosions nucléaires il y a des milliers d'années villes antiquse décimées par bombe nucléaire Explosions nucléaires, il y a des milliers d'années ! Nous avons été éduqués à concevoir une Histoire de l'humanité une et évolutive; dans cette conception, on pense que notre civilisation est l'aboutissement de progrès depuis des temps archaïques où l'Homme utilisait encore des outils rudimentaires de pierre. On nous parle de certaines grandes civilisations anciennes, comme l'Egypte des pharaon, dont il convient de rappeler que la population était celle des coptes, aujourd'hui chrétiens persécutés, et non pas la population d'arabes musulmans arriérés qu'on y trouve de nos jours. On nous dit que la plus ancienne écriture est celle de Sumer, mais ça dérange énormément lorsqu'on découvre des écritures bien plus anciennes, dont Glozel en France, ou encore celle de la civilisation dite de Fontainebleau, toujours en France, pour ne citer que deux cas, territoralement proches !
Machu Picchu Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Machu Picchu (du quechua machu : vieille, et pikchu : montagne, sommet)[note 1] est une ancienne cité inca du XVe siècle au Pérou, perchée sur un promontoire rocheux qui unit les monts Machu Picchu et Huayna Picchu sur le versant oriental des Andes centrales. Son nom aurait été Pikchu ou Picho[1]. Selon des documents du XVIe siècle, trouvés par l'archéologue italien Lucas Pittavino, Machu Picchu aurait été une des résidences de l’empereur Pachacútec. Abandonnée lors de l’effondrement de l'empire inca, Machu Picchu, la ville sacrée oubliée durant des siècles, est considérée comme une œuvre maîtresse de l’architecture inca. Localisation[modifier | modifier le code] Situation des ruines de Machu Picchu, dans le Cañón del Urubamba Le site se trouve à l’est de la Cordillère des Andes, aux limites de la forêt amazonienne[note 2] situé au Pérou (province d'Urubamba), à cent trente kilomètres de Cuzco[note 3]. Accès[modifier | modifier le code]
Chichén Itzá Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La présence d'une cité maya à cet endroit est due à la présence de deux puits naturels (cénotes) qui constituaient un trésor inestimable dans cette région dépourvue d'eau. Le site doit d'ailleurs son nom à cette source d'eau souterraine : Chi signifie « bouche » et Chén, « puits »[2]. Itzá (« sorcier de l'eau » en maya yucatèque) est le nom du groupe qui, selon les sources ethnohistoriques, constituait la classe dirigeante de la cité. À plus d'un égard Chichen Itzá demeure une énigme : sa chronologie, à cheval sur le Classique terminal et le Postclassique ancien, demeure floue ; l'identité des Itzá est incertaine et, surtout, la nature exacte des liens indéniables entre la cité maya et le Mexique central fait toujours l'objet de débats. Histoire[modifier | modifier le code] Époque préhispanique[modifier | modifier le code] Les premières traces d'occupation et de construction, à Chichén Itzá, ont été datées des VIIIe ou IXe siècle[3].
Babylone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Babylone occupe une place à part en raison du mythe qu'elle est progressivement devenue après son déclin et son abandon qui a lieu dans les premiers siècles de notre ère. Ce mythe est porté par plusieurs récits bibliques et également par ceux des auteurs gréco-romains qui l'ont décrite et ont ainsi assuré une longue postérité à cette ville, mais souvent sous un jour négatif. Son site, dont l'emplacement n'a jamais été oublié, n'a fait l'objet de fouilles importantes qu'au début du XXe siècle sous la direction de l'archéologue allemand Robert Koldewey, qui a exhumé ses monuments principaux. La redécouverte de Babylone[modifier | modifier le code] Murs de Babylone le soir en 1970 Les explorations des sites de la Mésopotamie antique débutèrent dans le courant de la première moitié du XIXe siècle et se firent plus intenses dans les décennies qui suivirent. Les premières explorations et fouilles du site[modifier | modifier le code] Avant 539 av.