Déplacements forcés : questions fréquentes sur une crise grandissante et mondiale 1. Que sont les déplacements forcés et en quoi y-a-t-il une crise dans ce domaine ? Un déplacement forcé est une situation où des personnes doivent quitter ou fuir leur foyer à cause d’un conflit, de violences, de persécutions ou de violations des droits humains. Au plan mondial, près de 60 millions de personnes ont été déplacées de force, ce chiffre recouvrant les réfugiés (19,5 millions), les personnes déplacées internes (38,2 millions) et les demandeurs d’asile – un niveau inédit depuis la Seconde Guerre mondiale. 2. Il est important de bien comprendre ce qui différencie les migrants économiques des personnes déplacées de force. 3. Les modifications de l’environnement ont toujours constitué un facteur de mobilité humaine, mais de plus en plus de données probantes montrent que le changement climatique, les catastrophes naturelles et d’autres facteurs environnementaux auront probablement une influence grandissante sur les migrations, en particulier dans le monde en développement. 4.
Dubinc | Home « Migrant » ou « réfugié » : quelles différences ? Le média qatari Al-Jazira, qui a décidé de ne plus utiliser que le terme « réfugié » pour évoquer la crise qui se joue en Méditerranée, fait naître un débat sémantique. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alexandre Pouchard Migrants ou réfugiés ? Le média qatari Al-Jazira a ainsi annoncé le 20 août qu’il n’utilisera plus que le mot « réfugié » dans le contexte méditerranéen : « Le terme parapluie “migrant” ne suffit désormais plus pour décrire l’horreur qui se déroule en mer Méditerranée. Al-Jazira rappelle que la plupart de ces personnes viennent de Syrie − où une terrible guerre civile se déroule depuis quatre ans −, d’Afghanistan, d’Irak, de Libye, d’Erythrée ou de Somalie, « autant de pays dont les ressortissants obtiennent généralement l’asile ». Alors que d’autres médias s’interrogent, à l’image du Guardian, et que le débat prête le flanc aux interprétations politiques, quelles réalités recouvrent les définitions des termes « migrant » et « réfugié » ? Tout réfugié est un migrant…
Bienvenue au site Canada.ca Les principaux murs, 20 ans après | Agnès Gruda et Isabelle Hachey | La victoire des murs Publié le 25 septembre 2009 à 05h00 | Mis à jour le 24 septembre 2009 à 16h16 Dossiers > La victoire des murs Consultez notre dossier complet sur les frontières visibles et invisibles qui divisent toujours le monde, 20 ans après la chute du mur de Berlin. » Un tronçon du mur de Berlin se tient encore au milieu de la Potsdamer Platz. Photo Getty Qu'ils soient en béton, en fil barbelé ou même virtuels, les murs sont de plus en plus présents. Un Palestinien marche entre des sections du mur de béton érigé en Cisjordanie. Photo Reuters Cisjordanie: le mur sans frontière «Nous avons mille bonnes raisons de construire la barrière de sécurité», clament les Israéliens en faisant référence au millier de victimes des attentats terroristes de la deuxième Intifada, au début des années 2000. L'Espagne a érigé des clôtures et des barbelés autour de ses enclaves à Ceuta et Melilla, au Maroc, pour empêcher les migrants africains de mettre le pied en Europe. Photo AFP Sahara occidental: le mur de sable
Politest, le test pour se positionner politiquement Réfugiée hier, citoyenne aujourd’hui Il y a quatorze ans, Daniela Gomez arrivait au Québec avec sa famille en provenance de la Colombie. Alors que le Québec s’apprête à recevoir environ 6000 réfugiés syriens, elle partage avec nous son propre parcours d’intégration. Va-t-on se faire envahir par une autre culture ? Quatorze ans ont passé depuis mon arrivée au Canada. Il n’y a pas si longtemps, l’islam, les Arabes et le Moyen-Orient n’étaient pas l’ennemi national. Nous n’avions ni famille, ni amis, ni assurance, ni argent, ni même la langue. Est-ce que j’en garde un souvenir amer ? Je disais souvent à ma mère qu’on était arrivés au paradis. Une décennie et demie plus tard, le débat refait surface. Par contre, je me reconnais dans ces familles qui ont tout perdu et qui n’ont nulle part où aller. J’ai été réfugiée politique, mais je n’ai jamais vu une bombe exploser, des maisons se faire détruire, des amis ou des proches se faire assassiner.
Liberté Vérité | Construire un monde de liberté et de vérité Près de 30 millions d'émigrants latino-américains | Amérique latine Au total, 4 % de la population de la région a émigré, selon cet organisme dépendant de l'ONU, qui a son siège à Santiago du Chili. Les plus représentés, parmi ces migrants, sont les Mexicains, avec 11,8 millions d'habitants ayant quitté le pays, soit 40 % des migrants de la région, suivis des Colombiens (2 millions) et des Salvadoriens (1,3 million), selon cette étude qui se fonde sur les recensements de 2010 dans dix pays de la région. Et leur première destination est les États-Unis, où se rendent 70 % d'entre eux, soit 20,8 millions de personnes, dont la quasi-totalité des Mexicains installés à l'étranger. Deuxième pays choisi : l'Espagne, où se trouvent 2,4 millions de migrants latino-américains. La précédente étude menée par la CEPAL, en 2000, calculait à l'époque que 26 millions de Latino-Américains vivaient loin de leur pays.
La Presse au Liban: des camps de misère | Michèle Ouimet | Syrie Dossiers > Syrie Les manifestations pour un changement de régime en Syrie donnent lieu à de violentes répressions. Lisez notre dossier sur le sujet. » (Majdal-Anjar, Liban) Au Liban, il n'existe pas de camp pour les réfugiés syriens, comme on en trouve en Turquie ou en Jordanie. Une quinzaine de cabanes en bois s'étirent le long d'un chemin de terre que la pluie a transformé en tranchée de boue. Les cabanes ont été construites par des réfugiés syriens. Les réfugiés paient un loyer au propriétaire du terrain : 50 $ par mois, auxquels il faut ajouter 40 $ pour l'eau et l'électricité, une fortune pour ces familles qui ont quitté leur pays avec trois fois rien. Hasan Ibrahim vit dans le campement depuis trois ans. « Je suis dépressif, dit-il. Il déteste sa vie, il déteste le camp et il déteste encore plus sa cabane où les rats le mordent la nuit et mangent le peu de nourriture qu'il réussit à stocker. « C'est comment, vivre ici? - C'est la misère », répond-il sans hésiter. Et ce n'est pas fini.
Qatar: des milliers de morts à prévoir sur les chantiers du Mondial 2022? | Marc Thibodeau | Moyen-Orient La mise en garde émane de la Confédération syndicale internationale (CSI), qui se base, pour faire cette projection, sur les données disponibles relativement aux décès de travailleurs d'origine népalaise et indienne. «Les bas salaires et le contrôle absolu de la main-d'oeuvre par les entreprises demeurent la norme au Qatar», déplore en entrevue le porte-parole de l'organisation internationale, Tim Noonan. Il dénonce plus particulièrement le maintien de la kafala, un système répandu dans la région. «Les migrants deviennent en quelque sorte la propriété des employeurs. Ils ne peuvent quitter le pays si la compagnie refuse de leur accorder un visa de sortie et ils ne peuvent chercher un emploi ailleurs», relate M. Noonan. Dans la majorité des cas, dit-il, les ouvriers se voient retirer leur passeport à leur arrivée, même si cette mesure est formellement interdite. Amnistie internationale Des centaines de morts? Source: Amnistie internationale
Victoriaville accueille une première famille de réfugiés syriens - Société Le Comité d'accueil international des Bois-Francs (CAIBF), qui accueille bon an mal an quelque 75 réfugiés dans la région, a organisé, lundi matin, une rencontre avec la presse à l'hôtel de ville pour présenter les nouveaux arrivants. L'homme âgé dans la quarantaine, Al Mohamad Majed, sa conjointe Al Mheimad Zainab, une femme dans la trentaine, et leurs huit enfants sont arrivés au Québec le 12 janvier. Ils ont été hébergés à Montréal quelques jours avant leur arrivée à Victoriaville le 18 janvier. La famille a passé cinq jours à l'hôtel avant d'emménager chez eux dans leur logement. «Ils y sont maintenant bien installés», a fait savoir Farida Zenati, responsable de l'accueil et de l'intégration au Comité d'accueil international des Bois-Francs. Mme Zenati agit aussi comme interprète pour traduire de l'arabe les propos des nouveaux victoriavillois. D'un camp de réfugiés à une nouvelle terre d'accueil Mais la vie n'y était pas de tout repos. Une ville accueillante Appel à la population
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Claire Lecarpentier webmestre de : francisation.ticfga.ca by clairelecarpentier Jun 30