le synthéticien Il y a beaucoup de gens qui pensent que l'on ne peut récolter à manger dans son jardin que l'été. Effectivement, il y a beaucoup de choses en été. Mais il y a aussi beaucoup de choses que l'on peut récolter plus tard. Voici un aperçu de ma récolte à mi-novembre 2013. La vitamine C du cynorrhodon Tout d'abord, pour bien passer l'hiver il faut manger des fruits pour avoir de la vitamine C et ne pas avoir les dents qui tombent à cause du scorbut... bon.. Alors il est utile de savoir que l'égalantier est un arbre qui a plein de petits fruits rouge fantastiques (enfin il parait que techniquement ce sont des faux fruits...), connus sous le noms de gratte-cul par les écoliers qui font des farces à leur camarades en leur frottant sur la peau les poils urtiquant de ce fruit... Ce fruit rouge est aussi connu par les amateurs de thé sous le nom de cynorrhodon. Et donc pourquoi est ce que ce fruit est si fantastique ?? Moi j'en mange tous les jours. Les topinambours pour réchauffer l'atmosphère Facebook
calendrier lunaire précis:le jardinage biodynamique Le plus important à connaître : période de lune ascendante ou montante (la sève monte) : pour des végétaux plus compacts taille des arbres, arbustes, rosiers ...la taille en lune montante limite la contamination par des maladies.... il est donc faux d'affirmer que la taille se fait obligatoirement en lune descendante, il faut prendre aussi en compte l'âge de vos végétaux (VOIR EXPLICATIONS CI-DESSOUS)....en début de cette période, récolte des fruits, des feuilles et des fleurs, tout ce qui touche la partie aérienne des végétaux, tous les semis. période de lune descendante ( la sève descend) : récolte de tout ce qui est racines mais aussi cette période favorise l'enracinement : plantations, transplantations, rempotages etc.... puisqu'elle concerne la partie souterraine des plantes donc les racines. Jours fruits, fleurs, racines et feuilles :
Utiliser la paille agricole au jardin : paillage, cultures, protection hivernale... Les vertus du paillage ne sont plus à démontrer tant cette technique se révèle efficace pour limiter la corvée de désherbage et pour protéger le sol. Il existe de nombreux matériaux d'origine organique ou minérale, et bien sûr tous ne se valent pas. Intéressons-nous à la paille. Un paillage de qualité Un entretien réduit La paille d'origine agricole ou le foin peuvent être utilisés pour former un paillage d'excellente qualité. Un sol fertile et vivant La paille forme une véritable couverture protectrice pour le sol en permettant de ne pas le laisser à nu entre les cultures. Attention à la faim d'azote ! Les micro-organismes qui se nourrissent de la paille ont besoin de beaucoup d'azote pour la décomposer. Un paillage bon marché La paille est un sous-produit de l'agriculture. Au potager Le paillage des fruits et légumes au sol Les fruits et légumes qui poussent au contact du sol peuvent souffrir d'une tendance à la pourriture, surtout si le temps est humide. La culture sur bottes de paille
Micro-agriculture biointensive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] De nombreuses caractéristiques de l'agriculture biointensive étaient présentes dans l'agriculture traditionnelle des Chinois, Grecs, Mayas et du début de la période moderne en Europe et en Afrique de l'Ouest depuis au moins la fin XVIIIe siècle. L' agriculture biointensive est développée dans la seconde moitié du XXe siècle par l'horticulteur anglais Alan Chadwick; elle s'inspire en partie de l'agriculture biodynamique et de la méthode de maraîchage dite intensive française [1] De la méthode intensive française elle reprend le travail sur buttes préparées par double-bêchage et la minimisation de l'espacement des plantes. La méthode a été popularisée ensuite par John Jeavons[2]. Grands principes[modifier | modifier le code] John Jeavons propose le résumé suivant des six principes de l'agriculture biointensive[6]. Avantages[modifier | modifier le code] Inconvénients[modifier | modifier le code]
Culture en lasagne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Le jardinage en lasagne a été mis au point par l'Américaine Patricia Lanza dans les années 90[2]. Elle l'a appelée lasagna-bed par allusion aux diverses couches qui composent les lasagnes en cuisine. Principe[modifier | modifier le code] À même le sol, sur des cartons, le jardin en lasagne est constitué d'une alternance de couches de résidus bruns et de résidus verts et il se termine par une bonne couche de terreau. Avantages[3][modifier | modifier le code] création du sol là où il n'y en a pas (sol caillouteux, sol très pauvre, béton...)désherbage et bêchage inutile ce qui évite le mal de dos pour le jardiniersimplicité et rapidité d'exécutionproduction rapide et généreuseabsence d'adventices de type chiendent, liseron, faux-fraisierinstallation d'un jardin en ville (cour, terrasse...)peu d'outils nécessairesmise en place jusqu'en avril-maivalable pour les fleurs et pour les légumes
Vente de plantes rares, graines médicinales et ethnobotaniques. - Ethnoplants Compagnonnage végétal Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Exemple d'association végétale bénéfique : les œillets d'Inde protègent les tomates des attaques parasitaires. Le compagnonnage végétal, appelé aussi culture associée, est une technique d'horticulture consistant à associer, au sein de mêmes cultures, des plantes compagnes l'une de l'autre. Ces plantes peuvent s'échanger divers services (fertilisation, action répulsive ou toxique sur des insectes spécifiques et/ou des mauvaises herbes). Ces interactions s'appellent l'allélopathie. Par extension, dans un jardin potager, on veille à ne pas cultiver côte à côte des plantes du même genre (pomme de terre et aubergine par exemple) qui risquent de se faire concurrence en recherchant les mêmes éléments dans le sol et en devenant une cible facile pour les mêmes maladies cryptogamiques et prédateurs[1]. Modes d'action[modifier | modifier le code] Exemples de compagnonnage[modifier | modifier le code] Les Allium[modifier | modifier le code]
Comment commencer Archives Etapes précédentes :Coudre à la mainCoudre à la machine Cliquer sur les mots soulignés, pour accéder aux explications déjà données sur le site. Au cours de cette étape nous allons : - utiliser un patron - assembler des pièces qui n’ont pas la même forme, - veiller à la symétrie, - distinguer couture ouverte et couture fermée. Si vous n’avez pas de machine, vous pouvez faire toutes les coutures à la main : le modèle est suffisamment petit pour que ce ne soit pas trop fastidieux. Pour les 3 prochaines étapes, il faut un rectangle de tissu de 50cm par 60cm environ. Pour cette étape, nous allons construire un patron fictif, qui ressemble à celui d’une blouse à manches courtes. - soit reproduire sur une feuille de papier le dessin des 3 pièces de la photo ci-dessous, en respectant les dimensions indiquées. Découper chaque pièce du patron. Epingler les 3 pièces du patron sur les deux épaisseurs de tissu.
Fiche technique - Récolter ses graines S'agissant d'une question qui revient souvent j'ai rassemblé quelques méthodes "écologiques" (non violentes - parce que je trouve que l'humain devrait travailler en accord avec la nature) pour arriver à bout des limaces ou du moins pour les tenir en respect, puisque c'est surtout de cela dont il s'agit... Si d'autres personnes ont des trucs et idées, je les invite à me contacter pour compléter mon texte. nécrophores (c'est un insecte coléoptère - le staphylin en fait partie) carabes (encore un coléoptère coureur, plutôt nocturne - tiens, comme les limaces :-) arachnides (faucheux) scolopendre (comme lithobie) larves de certaines mouches larve du ver luisant hérissons orvets : grand mangeur de limaçons et petites limaces crapauds Bien sûr cela implique que toute ces bébètes soient présentes dans le jardin et s'y sentent comme chez elles, trouvent des abris, dans le tas de compost, et surtout sous quelques pierres, planches, oubliées là exprès, dans quelques coins "nature"...