background preloader

Les intelligences de la smart city

Les intelligences de la smart city
Faire d’Issy-les-Moulineaux une ville « à énergie positive », voilà le but d’IssyGrid, un projet porté par cette commune des Hauts-de-Seine et son maire André Santini avec Microsoft – qui y a son siège – Schneider Electric, Steria et Bouygues Immobilier, exposé jeudi 13 février 2014 lors des TechDays de Microsoft, le grand événement annuel de l’éditeur de logiciel américain, à l’occasion de la keynote sur les objets connectés, la session-reine du jour. Sur le stand « e-administration », on pouvait voir une démo de MaCollectivité, un tableau de bord pour élu, ou bien encore une borne de visio-conférence utilisé par le conseil général des Alpes-de-Haute-Provence pour échanger avec ses administrés et faciliter leurs démarches. Egoûts d’Haussmann et Chili sauce cybernétique - Comme souvent avec les termes de marketing, la réalité qu’ils recouvrent n’est pas entièrement nouvelle. La technologie peut-elle aider à resserrer le tissu social et le rendre plus résilient ? Related:  Smart City ?

Les promesses à double tranchant de la ville intelligente (2/2) La smart city, c’est le beurre et l’argent du beurre, en théorie : une gestion plus efficiente et démocratique au bénéfice des usagers et de la collectivité. Toutefois cette théorie demande à passer le cap de l’épreuve. Faute d’avoir toujours le recul pour soupeser en connaissance de cause avantages et inconvénients, certaines limites sont déjà cernées. cet article fait partie du dossier Smart city : les clés de la ville intelligente La smart city, ou ville intelligente, regorge de promesses qui varient selon son promoteur et la définition qu’il a de l’intelligence : un Cisco ne va pas toujours mettre en avant les mêmes avantages qu’un sociologue qui interroge cette notion très marketée. Ecologie - La smart city permettrait d’améliorer la qualité environnementale, grâce à un recours intensif aux smart grids – réseaux intelligents – bardés de capteurs renvoyant des quantités de données/informations qui sont analysées. Risques liés à la sécurité - Performance de l’e-administration -

How do we interface with smart cities?: Places: Design Observer Essay: Shannon Mattern Kicked a smart city lately? Rio Ops Center, designed by IBM. [Photo by the City of Rio de Janeiro] By now you’ve heard the “smart cities” pitch. As Ada Louise Huxtable might put it: Kicked a city lately? Typically the urban interface is imagined as a screen. And behind all those screens is a flood of data. Dashboard proposed by Arup for Melbourne city staff. As more cities adopt these technologies, we are beginning to see the political and epistemological contradictions of the smart city writ large, in steel and silicon. City governments, technology companies and design firms — the entities teaming up to construct these highly-networked future-cities — have prototyped various interfaces through which citizens can engage with the smart city. Governments and their citizens need to think more deeply about these designs. If the ops-center dashboard has received too little critical analysis, the public interface has received almost none at all. The urban stack.

« La smart city, un écosystème global » Fiction et Anticipation. Tel est le thème du nouveau numéro d’Étapes, le magazine du design graphique. Au sommaire : l’artiste Johnny Hardstaff, l’imagerie robotique de Kraftwerk, les conférences TED, la science-fiction des années 1950 et aussi… une interview de Blaise Mao, rédacteur en chef adjoint d’Usbek & Rica, sur l’avenir de la « ville intelligente ». À découvrir ici en intégralité. Qu’appelle-t-on exactement smart city ou “ville intelligente” ? La smart city est un peu l’expression de l’année. Qui sont les acteurs, les inventeurs de ces systèmes ? Il y a d’une part les grosses entreprises (la ville de Rio de Janeiro, au Brésil, s’est ainsi associée à IBM pour mettre au point un dispositif intelligent de prévention et de gestion des risques naturels) et d’autre part les initiatives citoyennes. IBM a mis au point pour la ville de Rio un logiciel de gestion et de prévention des risques naturels. Quelles sont les villes qui se sont positionnées en tant que smart city ?

Objets connectés : le compte n'y est pas Les effets d'annonce se succèdent. Ils visent à vanter les vertus des objets connectés en matière d'économie d'énergie domestique. Thermostats et autres capteurs reliés à une box énergie permettraient de piloter à distance, via internet, chauffage, chauffe-eaux et prises électriques. Une telle installation, dite « intelligente », optimiserait nos consommations d'énergie. Mais en pratique, qu'en est-il ? Un premier constat s'impose : les objets destinés à améliorer le confort domestique restent peu prisés du public. « Dès qu'on s'intéresse à un système nouveau, il faut raisonner en analyse du cycle de vie », commence Alain Anglade de l'Ademe. Deux fois la consommation mondiale d'Internet L'ingénieur de l'Ademe a cherché à calculer la quantité d'électricité nécessaire à ces réseaux intelligents. Cette consommation électrique met donc à mal le bilan énergétique de ces objets. Offre pléthorique et concurrence féroce

Smartcities. Quelles clés numériques pour la ville intelligente? La ville intelligente constitue-t-elle une réponse pertinente au défi global de l'explosion démographique urbaine? Quels chantiers prioritaires pour la ville intelligente? Retour sur la conférence la ville 2.0, objectif 2020. L'AWT décode les défis et enjeux des smartcities La "smartcity" ou "ville intelligente" constitue-t-elle une réponse pertinente au défi global de l'explosion démographique urbaine? A l'heure de la prise de conscience collective touchant à la rareté des ressources naturelles, aux limites des modèles urbains existants ou encore à la nécessité de la réinvention du fonctionnement des services publics locaux, le concept de ville connectée et durable s'est progressivement imposé comme l'une des réponses possibles à ces différents défis. Le numérique et la troisième révolution de la ville contemporaine la ville servicielle,la ville système,la ville pouvoir. Trop longtemps, on a ainsi envisagé la ville intelligente dans une dimension avant tout technologique.

Comment répondre durablement au défi de l’urbanisation exponentielle des territoires ? Auteur : Christelle Capdupuy, Directrice Développement Durable & QSE Bouygues Immobilier Date de publication : 16/05/2014 En 2014, 50 % de la population vit en ville, soit 3,5 milliards d’urbains sur Terre. Les territoires sont aujourd’hui confrontés à la question d’une double extension rapide, démographique et spatiale, dans un contexte de nécessaire durabilité des villes qu’ils hébergent. Les écoquartiers – ou quartiers durables - ont pour objectif de prendre en compte cette extension territoriale tout en diminuant leur empreinte environnementale, et en intégrant le lien social. Plusieurs natures de connexion peuvent être envisagées selon l’histoire et la nature du territoire. Connexion énergétique et numérique Connexion sociale et environnementale Dans le cadre de sa démarche Bordeaux 2030, la ville de Bordeaux est en plein essor afin d’accueillir 100 000 nouveaux habitants à horizon 2030. Deux axes essentiels de développement ont été intégrés dans ce projet.

OpenTreeMap : Recensement participatif des arbres dans la ville Les arbres, essentiels pour le développement de la ville durable de demain, doivent faire l’objet de sensibilisation auprès du grand public. Pour en faciliter l’introduction, la gestion et la pérennité, il est pertinent d’impliquer les populations locales dans toutes démarches visant à donner plus de place aux arbres dans nos villes. Des actions où la technologie peut aider … Le logiciel OpenTreeMap (web et mobile), crée par la société Azavea, est une plate-forme collaborative permettant de faire l’inventaire des arbres et des forêts urbaines. Mise en oeuvre dans différentes villes nord américaine, l’initiative permet aux villes de travailler en collaboration avec sa population pour mettre à jour les inventaires d’arbres présent dans leurs rues. Exemple de Philadelphie avec le projet PhillyTreeMap.

Tomorrow's cities - the lamp-posts watching every move 24 September 2014Last updated at 19:10 ET By Jane Wakefield Technology reporter Street lights are among a range of new network-connected city furniture Imagine an app aimed at showing thieves the best places for stealing. It's actually not hard to do - simply pull together publicly available data on disposable income, crime levels and problems reported in a district. It may reveal that the optimum place to go pilfering is in an area of high income, low reported crime and broken streetlights. The app not only exists but it won first prize in the "safety" category at an Amsterdam hackathon a few years back. Makkie Klauwe (it means "easy pickings" in Amsterdam slang) was created by Bram Fritz, a student who wanted to "provoke discussion on the role of open data in our society". Luckily for the citizens and police of Amsterdam the app never went into public use - but it is proof, if proof were needed, that data can be used for both good and bad. If that is the bad then consider the good.

L’économie collaborative au service du territoire Les pratiques collaboratives se multiplient. © Marion Boulay La consommation collaborative : un levier de mutation pour des territoires durables Un simple système économique permettrait de redessiner nos territoires ? Pour ce qui est de l’économie collaborative on n’est pas loin de pouvoir l’affirmer. La consommation collaborative, quels bénéfices pour la ville ? Le design : un élément essentiel pour faciliter les échanges Quelles motivations pour consommer autrement ? La consommation collaborative a encore besoin de convaincre pour recueillir l’adhésion du grand public. Les interactions humaines : un potentiel de richesses pour le territoire Marie Westeel a créé un concept store dédié à la promotion de l’entreprenariat local. La consommation collaborative nous pousse également à repenser notre rapport à l’autre. Par Marion Boulay, Marie Westeel, étudiantes en 5ème année à l’Ecole de design Nantes Atlantique option Mutations du cadre bâti, et Zélia Darnault, enseignante

Related: