Parcours d'éducation artistique et culturelle
Mettre en place le parcours d'éducation artistique et culturelle de l'élève De l'école au lycée, le parcours d'éducation artistique et culturelle a pour ambition de favoriser l'égal accès de tous les élèves à l'art à travers l'acquisition d'une culture artistique personnelle. Il fait l'objet d'une circulaire interministérielle, publiée le 9 mai 2013, qui en précise les principes et les modalités. Pour accompagner la mise en œuvre du parcours d'éducation artistique et culturelle, le ministère a édité un guide qui présente les principes et l'organisation du parcours pour un élève. Ce guide rappelle les principes de conception, de mise en œuvre autour de la démarche projet notamment ainsi que le suivi du parcours à l'école, au collège et au lycée. Objectifs du parcours d'éducation artistique et culturelle Les principaux objectifs du parcours sont les suivants : Ces objectifs nécessitent :
Evaluations
Evaluations Diagnostique Faire le point sur les connaissances Formative tout au long du processus de formation Sommative Auto-évaluation Evaluation mutuelle deux ou plusieurs apprenants Co-évaluation Formation 3.0
Le coin S.V.T. » Blog Archive » Quel est mon type de mémoire ?
Quel est ton type de mémoire ? …..Tu te demandes parfois pourquoi tu passes un temps fou sur des cours sans arriver à rien retenir, alors que ton copain, lui, s’en souvient si facilement ! …..Peut-être que tu n’utilises pas la méthode qui convient le mieux à ton type de mémoire ? Questionnaire pour identifier ton (tes) type(s) de mémoire Permalien Laisser une réponse : Vous devez être connecté pour poster un commentaire...
Plus de notes : l’affaire de tous
Quelles qu’en soient les justifications pédagogiques, la suppression des notes n’a guère de sens si ce n’est que le choix d’un enseignant. Ce collège en a fait une affaire collective, et cet article écrit à plusieurs voix en témoigne. En deux années scolaires, notre collège a connu une profonde métamorphose, du point de vue de la relation entre professeurs et élèves comme du point de vue des pratiques pédagogiques. En 2010, dans le cadre de la construction de notre projet d’établissement, nous faisions un double constat : nos élèves de 6e décrochaient très vite et un tiers des élèves du collège parvenu au lycée général redoublaient leur classe de 2de. Comment faire acquérir à tous le minimum nécessaire tout en développant l’excellence ? C’est grâce à de nombreuses concertations et de la formation que nous avons vu nos pratiques changer. Tout cela n’est pas allé sans débat entre nous. Ce projet ne pouvait pas se réaliser sans les parents. « On se sent plus rassuré. Un professeur d’EPS :
Réunion parents-profs : comment la rendre plus efficace ? | LeWebPédagogiqueLeWebPédagogique
La réunion parents-profs, c’est un moment de la scolarité dont les humoristes se délectent. Beaucoup ont choisi d’en rire (ici François Damiens ou là François Pirette) car la réunion parents-profs peut cristalliser les incompréhensions et les ratés entre les acteurs de l’éducation. Quand le contrat qui unit profs-élèves-parents vole en éclats alors qu’il devrait y être renforcé, c’est du pain bénit pour les caricaturistes. Si l’on est très loin de la réalité, ces sketchs obligent à un constat : offre t-on vraiment aux élèves et à leurs familles des outils pour fixer un nouveau cap et remédier à leurs difficultés ? D’après les textes officiels, l’objectif affiché de la réunion parents-profs est de « favoriser la réussite des élèves en resserrant les liens familles/professeurs ». 1. Cette année, je vais distribuer aux élèves de 3ème dont je suis professeur principal une feuille de route (voir chronique précédente). 2. 1. 2. 1. 2. + d’infos « Et si on changeait la réunion parents-profs ?
Recension de "faire ses devoirs" et entretien avec Patrick Rayou
Publié en janvier 2010 aux Presses universitaires de Rennes, cet ouvrage[1] propose une étude sociologique de la pratique des devoirs, en particulier à l’école primaire et au collège, sous l’angle des enjeux cognitifs et sociaux de leur prescription et de leur réalisation. La première partie retrace les cadres historiques, institutionnels et sociaux du « travail hors la classe »[2], la seconde s’attache à la description des pratiques réelles, observées lors de plusieurs enquêtes de terrain, afin de mieux comprendre comment fonctionne de fait la « boucle du travail » ou la « circulation » du travail scolaire en classe et hors de la classe. Le premier chapitre de l’ouvrage fait remonter ce processus aux années 60, rappelant que l’école antérieure donnait déjà beaucoup de devoirs mais les organisait en interne selon des temps et des lieux adaptés, et avec un encadrement conséquent. En complément, nous vous invitons à lire l’entretien suivant avec Patrick Rayou qui a dirigé cette étude. 1.
Pour en finir (ou presque) avec les notes - Évaluer par les compétences
Devant les inconvénients maintes fois montrés des évaluations par la note, certains pays comme la Belgique tentent de passer à l’évaluation par les compétences.En France, à côté des livrets de maternelle et des évaluations nationales en CE2, 6e, 5e et seconde, des professeurs tentent de sortir un peu de notre système traditionnel dans une perspective d’évaluation formative. Un témoignage concret au collège en français, en sixième et cinquième. « - M’dame, c’est noté ? - Non, ce n’est pas noté, c’est évalué ! Beaucoup d’élèves et leurs parents se comportent en consommateurs attendant une note comme on attend une rétribution : « tout travail mérite salaire »... L’institution néanmoins s’inquiète de la violence scolaire, nous apprend, à nous enseignants, qu’il faut combattre l’échec scolaire (comme on réduirait la « fracture sociale » ?) De quelques conséquences de l’abus des notes L’utilisation des notes chiffrées engendre des effets négatifs non négligeables. Une évaluation différenciée
[Pour l'abolition de la note scolaire]