HistoGraphe L'interrogation On distingue l’interrogation totale et l’interrogation partielle. L’interrogation totale porte sur l’ensemble du contenu de la phrase et appelle une réponse du type « oui » ou « non ». Elle équivaut alors à la reprise affirmative ou négative de la question posée : Faut-il ramener du pain ?Non, il ne faut pas ramener du pain. L’interrogation partielle porte sur une partie de la phrase (sur un de ses constituants). L’interrogation porte sur l’identité du sujet Qui a utilisé ma voiture ? L’interrogation porte sur le repérage temporel du reste de la phrase Quand part le train ? I – L’interrogation totale En plus de l’intonation ascendante (traduite à l’écrit par le point d’interrogation), le sujet est placé après le verbe. 1. a) L’inversion simple Le sujet est simplement placé immédiatement après le verbe. As-tu peur ? b) L’inversion complexe Olivier tentera-t-il de s’évader ? 2. Ce terme complexe considéré comme familier au XVIIe siècle est aujourd’hui très utilisé. Est-ce que tu veux de l’eau ? 1.
Le paragraphe argumenté : la méthode Méthode : le paragraphe argumenté en Histoire, géographie et éducation civique Le paragraphe argumenté est une mini-rédaction d'une vingtaine de lignes dans laquelle il est demandé au candidat de démontrer (comme en maths) quelque chose, par une argumentation (un argument = une idée et un exemple, une preuve). Un paragraphe argumenté se fait en 3 temps : introduction, développement, conclusion. A – L’introduction. Elle est fondamentale car lue en premier par le correcteur et « donne le ton » de la copie. 1°) présenter le sujet en définissant les termes de l’énoncé Expliquer les termes du sujet (ex : si le sujet contient un mot comme guerre totale, communisme, totalitarisme… ces mots doivent être définis d’entrée), et le sujet doit être délimité dans le temps et dans l’espace (quelle période ? 2°) dégager la « problématique »: (facultatif au collège, où il suffit de reposer la question du sujet) 3°) annoncer le plan qui sera suivi dans le développement. Comment bâtir un plan ? 1. 2.
Steve Laflamme: Marqueurs de relation Marqueurs de relation ** La liste qui suit est très fortement inspirée de celle que présente Marie Malo dans son Guide de la communication écrite au cégep, à l'université et en entreprise, Montréal, éditions Québec Amérique, 1996, 322 p. ISBN 2-89037-875-6. ** Introduction d'un sujet Introduction d'un avis Introduction d'une explication, d'un exemple Introduction de faits parallèles Introduction d'un choix But Cause Opposition Conséquence Moments du discours Hypothèse Généralisation, induction Concession Surenchère Mise en parallèle / opposition d'idées, de concepts Restriction Attention portée sur un élément Addition Conclusion Résumé, reformulation à ce propos à ce sujet à cet égard à propos de au sujet de d'abord dans cet ordre d'idée(s) de ce point de vue en ce qui a trait à en ce qui concerne en ce qui regarde en ce qui touche en liaison avec en premier lieu pour ce qui est de quant à relativement à sous ce rapport sur ce point tout d'abord à notre avis à notre sens en ce qui nous concerne personnellement pour notre part ainsi
grammaire - Quand peut-on mettre un adjectif avant ou après un nom ? — When do adjectives go before or after a noun? - French Language Stack Exchange La place de l'épithète par rapport au nom remplit plus d'une dizaine de pages du Grevisse (de §325 à §332 dans l'édition 2008). J'essaye donc ici de faire une synthèse des principes généraux : “La postposition est l'ordre le plus fréquent”“Les linguistes ont essayé de trouver [des] principes généraux”, mais l'auteur doute de leur caractère général en raison du nombre d'exceptions historiques et stylistiques. Parmi les règles avancées : “L'épithète postposée apporte une information nouvelle ; antéposée, elle n'est qu'une qualification banale, attendue.”“L'épithète est objective quand elle suit, subjective quand elle précède.”“Les adjectifs antéposés ont un sens assez large, peu précis.” Se placent ordinairement avant le nom : petit, vieux, bon, grand, joli, autre, mauvais, jeune, gros, beau, et leurs comparatifs (moindre, meilleur, pire) ;les ordinaux (premier, second, dernier, etc.) Se placent ordinairement après le nom : The following are usually placed before the noun:
Steve Laflamme: Marqueurs de relation Marqueurs de relation ** La liste qui suit est très fortement inspirée de celle que présente Marie Malo dans son Guide de la communication écrite au cégep, à l'université et en entreprise, Montréal, éditions Québec Amérique, 1996, 322 p. ISBN 2-89037-875-6. Introduction d'un sujet Introduction d'un avis Introduction d'une explication, d'un exemple Introduction de faits parallèles Introduction d'un choix But Cause Opposition Conséquence Moments du discours Hypothèse Généralisation, induction Concession Surenchère Mise en parallèle / opposition d'idées, de concepts Restriction Attention portée sur un élément Addition Conclusion Résumé, reformulation à ce propos à ce sujet à cet égard à propos de au sujet de d'abord dans cet ordre d'idée(s) de ce point de vue en ce qui a trait à en ce qui concerne en ce qui regarde en ce qui touche en liaison avec en premier lieu pour ce qui est de quant à relativement à sous ce rapport sur ce point tout d'abord à notre avis à notre sens en ce qui nous concerne personnellement pour notre part ainsi or