Open Source Intelligence It’s been a while since we last weighed in on Libya, but recent events warrant an updated look at the future of the conflict. Two events in particular raise questions worth exploring. First, a recent New York Times piece interviewing Seif al-Islam Gaddafi suggests the family has found an ally in Islamist groups. This news was followed shortly by reports from rebel fighters suggesting that Khamis Gaddafi, son of Muammar and the head of a prominent military division, was killed by NATO airstrikes. I’ll start with the second issue and work back to the claims of state ties with Islamist groups. As for reports of Khamis Gaddafi being killed by airstrikes, it’s worth noting that similar rumors emerged from the fighting earlier this year and remain unconfirmed (something mentioned in our coverage of Gaddafi’s inner circle). Timeline of Gaddafi's son Khamis killed in Libyan fighting Treemap of ties drawn up through scanning Gaddafi and Islamist Examples of this include:
Entretien avec Yves Charles Zarka: La destitution des intellectuels C'est une cinglante mais pénétrante analyse du discrédit de l'intellectuel contemporain - l'intellectuel prédateur médiatique - qu'Yves Charles Zarka, professeur de philosophie politique à La Sorbonne - Université Paris Descartes et directeur de la revue « Cités », opère dans sa très critique « Destitution des intellectuels », son dernier livre, publié aux Presses Universitaires de France. Daniel Salvatore Schiffer : Votre dernier ouvrage a pour très critique titre « La destitution des intellectuels ». Qu'entendez-vous, au juste, par là ? Yves Charles Zarka : J'entends dire, par ce terme de « destitution », que la fonction dévolue traditionnellement à l'intellectuel est, aujourd'hui, complètement discréditée, malheureusement vidée de tout contenu, à défaut de sens. C'est un constat certes tragique, que je regrette amèrement, mais néanmoins très réaliste. D.S.S. : Quels sont, très concrètement, les éléments vous permettant de poser un tel diagnostic, aussi sévère, voire impitoyable ?
Open Source Intelligence Analysis Tools, OSINT Intelligence Analysis With Recorded Future Defense Intelligence Forecasting tools and big data analytics for defense and national security teams. Foresite Integration Use our software to extract temporal signals from internal documents, third-party content, or sensitive data sources. Historic Data Integrate with our web service API for access to real-time harvesting of over 450,000 open sources, and online sentiment and momentum measures. New Insights Get answers to your organization’s most important questions. Methodology Web intelligence is an emerging capability that draws on the web: the richest real-time information about the world, updated every day. How Our Software Works Demo Interested in seeing what Recorded Future can do for your organization? Request a Demo Sales Ready to experience Recorded Future yourself? Contact Our Team Company Capabilities Customers
L'invention des "quartiers sensibles" - Sylvie Tissot Manière de voir, no. 114 La politique de réhabilitation des banlieues défavorisées a répandu l'idée plus ou moins diffuse que certaines zones géographiques, et les origines de leurs habitants, étaient sources de problèmes - faisant ainsi oublier que leur situation est due essentiellement à des inégalités qui concernent l'ensemble de la société. "Cités-ghettos", "quartiers sensibles" ou autres "quartiers d'exil" sont, depuis une vingtaine d'années, l'objet de reportages dramatisants, parfois sensationnalistes (1). Mais est-ce la seule chose qui doive nous interroger ou nous inquiéter ? Car ces catégories territoriales, qui émergent en France dans les années 1985-1995, ne sont pas un simple reflet, même déformé, de la réalité sociale ; il ne s'agit pas seulement d'exagérations ou de mensonges. Comment en est-on arrivé là ? En outre, la focalisation sur les "quartiers sensibles" ne concerne que certains aspects. De telles procédures sont nécessaires. , Seuil, Paris, 2007.
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Negroponte : “Le livre est mort. Dans 5 ans, il aura disparu.” La phrase du fondateur du Media Lab du MIT découle d'un raisonnement simple : le livre numérique devrait supplanter le livre physique, à commencer par les pays où le livre tel que nous le connaissons n'est pas ou peu accessible. Durant l’été, lors de la conférence Techonomy, Nicholas Negroponte avait lancé une phrase peu anodine qui a agité le milieu de l’édition aux Etats-Unis : “L’objet livre est mort. Dans 5 ans, il aura disparu.”. En France, sans que nous en ayons été étonnés, les relais ont manqué. Cependant, l’initiateur du projet OLPC (One Laptop Per Child) persiste et signe dans un interview accordée il y a quelques semaines à la chaîne CNN. Le fondateur du Media Lab réitère avec assurance. Sur chacune de ses machines sont préchargés une bonne centaine d’ouvrages, qui peuvent différer de machine en machine. L’évidence du support numérique Car l’enjeu est bien là : il faut faire lire. Le XO Lire toujours et encore Being dyslexic, I don’t like to read.
Les nouveaux fonds de pension, la face cachée de la réforme des retraites Occulté par la question de l'âge, le volet épargne retraite de la réforme engage pourtant, sur les recommandations des lobbies, un tournant vers la capitalisation. Ce billet a été publié originellement sur OWNIpolitics, écrit par Sylvain Lapoix et Ophelia Noor. Vendredi 21 octobre, la réforme des retraites a été adoptée de nuit au Sénat. Ce merveilleux mécanisme a été inscrit à l’article 32 ter (l’avant dernier article de la loi) : il prévoit que, sauf opposition formelle du salarié, la part non utilisée de sa participation sera automatiquement versée sur un produit épargne retraite en entreprise (Perco ou Pere). Comme résumé par le sénateur socialiste Jean-Pierre Sueur en séance : Ce que vous mettez en œuvre après le Perco, chers collègues de la majorité, c’est une épargne retraite obligatoire, avec des négociations obligatoires, des décisions obligatoires, au niveau tant de l’intéressé que de l’entreprise et de la branche. Perco, Perp et Pere, les trois cavaliers de la capitalisation
Apprendre à gérer la complexité Le dernier numéro du Rotman Magazine (du nom de l’école de management de l’université de Toronto) est consacré à la complexité, à l’incertitude et à l’ambiguïté, et essaye de comprendre comment gérer plus efficacement cette nouvelle réalité. Image : la couverture du dernier numéro du Rotman Magazine, sur la complexité. Se défier de nos représentations Dans une interview (.pdf), Donald Sull, professeur de management à la Business School de Londres et auteur des Bienfaits de la turbulence (The Upside of Turbulence : Seizing Opportunity in an Uncertain World) revient sur les cartes mentales que nous construisons pour comprendre le monde et qu’on peine à remettre en cause quand le monde se transforme. « Les turbulences sont toujours vues comme un risque, mais ces changements peuvent aussi créer de nouvelles opportunités. Les incongruités sont un bon indicateur Les incongruités sont souvent un bon indicateur, estime Donal Sull. Suivre nos intuitions
Marche européenne vers la convergence ? On peut se demander pourquoi les gouvernements européens n'ont pas entrepris dès le début de la crise bancaire importée des Etats-Unis, de renforcer leurs réglementations et surtout de les harmoniser afin de faire face ensemble aux difficultés budgétaires prévisibles. Tous ceux qui, comme l'auteur de ces lignes avaient signalé dès 2008 (Baquiast, « L'Europe et le vide de puissance, » JP. Bayol) l'impérieuse nécessité de la mise en place d'un gouvernement politique, économique et financier de la zone euro se sont demandé pourquoi cette évidence n'avait pas frappé plus tôt tous les esprits.Ils avaient oublié une chose, c'est que les Etats et les nations sont des ensembles immensément lourds, qui n'évoluent pas en fonction des bonnes idées mais des intérêts et des traditions. Il faudra sans doute encore beaucoup de temps pour que la nécessaire harmonisation législative, fiscale et politique entre Etats européens ne soit décidée.
L’étude des comportements peut-elle permettre de les changer ? (4/4) : Jusqu’où L’économie comportementale ouvre la voie à des interventions terriblement intrusives. Pour beaucoup, il n’y a qu’un pas entre l’éducation du public et sa manipulation voire la coercition, l’assujettissement, l’oppression… Les fumeurs le savent bien, d’un avertissement sur un paquet de cigarettes et d’une interdiction de la publicité, nous sommes passés à des campagnes très agressives, à une taxation élevée, à l’interdiction de fumer dans les lieux publics… Il ne faut pas être longtemps paranoïaque pour penser qu’un pays fera peut-être demain le choix d’interdire la cigarette. Avant de passer à l’alcool, puis à autre chose… Interroger ce qui fait société Quelle voie choisir ? Si ceux qui les prônent se défendent de leur caractère intrusif, d’autres n’hésitent pas à relever que cette caractéristique dépend vraiment de quel côté on se place pour observer le phénomène. Science ou caution ? La compréhension de nos comportements ne forme pas encore à proprement parler une science.
Biblionet 6 Décembre 2001 Notes par Jean-Paul Baquiast L'identité humaine La Méthode V. Edgar Morin, une pensée arrêtée ? J'ai beaucoup de scrupules à intituler de cette façon ce compte-rendu de lecture du dernier livre d'Edgar Morin, consacrée à l'Identité humaine, tome V de la grande œuvre qu'est La Méthode. Ma déception est à la hauteur de l'admiration que j'ai toujours portée à ce philosophe. Il faut donc que je m'explique. Pour comprendre Morin, et accessoirement le commentaire ci-dessous, il faut se replacer dans l'histoire récente des sciences humaines et de la philosophie françaises. Edgar Morin s'est toujours présenté comme sociologue. Cette valeur ajoutée a tenu à l'approche interdisciplinaire qu'il a su adopter dès le début, grâce au parti qu'il a tiré de ses rencontres avec des chercheurs, généralement issus du monde académique anglo-saxon, représentant le point de vue systémique, point de vue lui-même issu de l'utilisation de la formalisation informatique dans les sciences de la vie.
A la Une également – La guerre des managements XEnvoyer cet article par e-mail A la Une également – La guerre des managements Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Fermer C’est aujourd’hui l’urgence au coeur de la problématique stratégique de tous les états- majors des grands groupes : comment mettre en musique la dimension multiculturelle de leur management. L’anecdote ne vaut que par son intense signification symbolique : “A New York, un client demande à un pâtissier de rajouter de la crême chantilly sur son gâteau.” “Si un patron surprend l’un des cadres de l’entreprise après 18 heures à son bureau du côté de New York, il jugera que ce dernier, débordé, est vraiment mal organisé. Le grand jeu des différences Attitude, comportement, pratique managériale, ces multiples différences sont moins anodines que l’on veut bien l’imaginer, puisqu’elles sont la cause essentielle de l’un des plus grands fiascos industriels. Moins affectifs mais plus contractuels, les rapports professionnels sont tournés vers l’efficacité.
Du rôle du design dans les politiques publiques Co-conception, créativité, bottom-up, les politiques publiques ont beaucoup à apprendre du design. Synthèse. Publié en avril 2010 à la Documentation Française, le Design des politiques publiques est la première édition de la 27ème région, « laboratoire de transformation publique ». Issus du milieu du design, les acteurs de cette structure se proposent de réviser la conception de projets à caractère public à travers des méthodes liées au design. Comment cette discipline que l’on range habituellement dans le monde de la forme et de l’image peut-elle intervenir dans le débat public ? N’est-ce qu’une question de relooking ou y aurait–il réellement un design de politiques ? L’innovation par la co-conception avec les utilisateurs Les designers de “l’innovation sociale” considèrent le design selon une définition plus large que celle que l’actualité nous laisse entendre. Le design n’est pas une profession, mais une attitude, affirmait-il. Bottom up Le rôle du designer Pas de design sans créativité
Apprendre autrement : un scénario prospectif A quoi pourrait ressembler un système d’enseignement secondaire fondé sur une utilisation systématique des technologies de l’information et de la communication ? Tel est l’enjeu du scénario que décrit le consultant Jean Salmona pour la toute nouvelle ParisTech Review dont il est également le fondateur (et que nous vous recommandons). Dans cet article sous forme de scénario prospectif, parfois inégal, mais souvent stimulant, Jean Salmona ne fait pas qu’introduire des TIC dans le système éducatif, il redéfinit les principes de l’éducation pour les adapter à la modernité. Bien sûr, ce modèle se fonde sur une certaine vision de l’enseignement et de la place de l’élève et des professeurs dans ce processus dont nous ne partageons pas nécessairement tout le propos (notamment sur le risque de la centralisation de la production de contenu). ParisTechReview : un système d’enseignement secondaire base|zéro A propos de la série base|zéro Le système actuel a plus de 2000 ans 1. Le rôle des parents.