background preloader

▶ Le Cerveau et ses Automatismes (le pouvoir de l'inconscient) - 1/2

▶ Le Cerveau et ses Automatismes (le pouvoir de l'inconscient) - 1/2
Related:  Neuroéducation

Vous avez vu passer la Gorille ? | sanstitreprod A partir de la 4ème Conception & mise en scène Anne Morel van Hyfte Interprétation Hélène Vieilletoile Benjamin Savarit Assistanat Blanche van Hyfte Scènographie Marie Girard Chauvel Création Lumière Edith Gambier Maison des 3 Quartiers Poitiers (86) Festival Cerv'Odysée Marennes (17) Art, Neurosciences & Humour « La commandante de bord et son équipage vous souhaitent la bienvenue à bord d’AIR CÉRÉBRAL, bienvenue en direct de votre cerveau... » Trois vrais faux chercheur.e.s expert.e.s tour à tour hôtesses de l'air, professeur.e.s, élève.s, journaliste.s et gorille.s mettent en scène des expériences et articles de références autour des neurosciences... L’artiste metteuse en scène et comédienne, Anne Morel Van Hyfte, la clown-comédienne Hélène Vieilletoile et le comédien Benjamin Savarit, proposent de revisiter le monde des neurosciences, du moins ce qu’ils en perçoivent ! Neurosciences de l’apprentissage, neurosciences affectives, neurosagesses... Quand, en plus, l’improbable s’en mêle... Interprétation

Réflexes archaïques et apprentissage Quand bébé utilise-t-il ce réflexe ? Le réflexe d’agrippement palmaire (oui, il existe un réflexe d’agrippement plantaire !) apparaît très tôt dans le ventre de notre mère (vers la fin du premier trimestre de grossesse), en même temps que son équivalent des membres inférieures (plus connus sous le nom de « jambes »), le réflexe d’agrippement plantaire et que la succion. Que fait-il faire au bébé ? Lorsque l’on place un doigt dans la paume d’un tout petit, il va spontanément le serrer (tellement fort que l’on peut dans certains cas, soulever le bébé qui va tenir suspendu à nos doigts). Quel est le rôle du réflexe de préhension ? Le rôle du réflexe de préhension (un autre de ses noms) est d’attraper, d’apprendre à ouvrir et fermer la main et plus généralement d’apprendre à manipuler. Comment favoriser un bon développement du réflexe d’agrippement chez le bébé ?

[Neuromythe] Utilisons-nous seulement 10 % de notre cerveau ? | Synapses Un film de Luc Besson (Lucy) raconte l’histoire d’une femme qui développe des capacités extraordinaires, lui permettant d’exploiter le potentiel inutilisé de son cerveau. Scarlett Johansson interprète le rôle de Lucy, obligée par la mafia coréenne à transporter de la drogue dans un sac dissimulé dans son estomac. Quand le sac se déchire, Lucy découvre les propriétés de la drogue appelée « CPH4 ». Comme le professeur Norman (incarné par Morgan Freeman) l’explique dans le film : « On estime que la plupart des êtres humains n’utilisent que 10 % des capacités de leur cerveau. On n’utiliserait que 10 % de son cerveau Bien qu’il ne représente qu’environ 2 % de notre poids, le cerveau consomme environ 20 % de l’énergie que nous dépensons. D’où vient le « mythe du 10 % » ? Le mythe du 10 % est aussi parmi les plus mystérieux lorsqu’il s’agit d’en retracer l’origine. Qui a dit qu’on n’utiliserait que 10 % de son cerveau ? Différents types de cellules composent le cerveau Conclusion Références

Stanislas Dehaene : "On ne va pas tout bouleverser. Mais il va falloir expérimenter, pour trouver de nouvelles solutions" Nommé à la tête de du Conseil scientifique de l'Education nationale, Stanislas Dehaene est chercheur en sciences cognitives. Une expertise qu'il compte utiliser pour apporter un support plus scientifique aux méthodes d'apprentissage. Le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, a installé mercredi 10 janvier, un conseil scientifique chargé d'apporter des éclairages sur la pédagogie. Expérimenter pour trouver de nouvelles solutions Je ne pense pas que l'on va tout bouleverser. La question des inégalités : la présence de livres dans l'environnement de l'enfant Un des facteurs prédictifs de la réussite en lecture chez les enfants, c’est la présence de livres et la valorisation du livre dans l’environnement de l’enfant.

L'attention, ça s'apprend ! À propos du cours L'époque actuelle est caractérisée par une abondance de stimulations de toutes sortes et une intensification des échanges et des informations. L'attention, dont la fonction est de sélectionner à chaque instant ce que le cerveau doit traiter en priorité est donc sursollicitée, avec pour conséquences de plus en plus fréquentes des difficultés de concentration et des manques d'attention. Comme nous ne sommes pas près de revenir en arrière à un monde plus simple et moins sollicitant, mieux vaut comprendre ce qu'est l'attention et ses mécanismes biologiques, pour en déduire de bonnes pratiques permettant de revenir à plus de légèreté et de stabilité. C'est l'objet de cette formation qui vous fera découvrir, nous l'espérons, les grandes joies d'une attention bien posée. Nous vous proposons de suivre pendant ces quelques semaines une initiation à la maîtrise de l'attention et de la concentration à travers une découverte des mécanismes de ses fonctions dans le cerveau. Format

Des idées d'activités pour favoriser le développement des fonctions exécutives chez l'enfant Cet article est une adaptation libre d’un guide produit par le Center on the Developing Child de l’Université Harvard. On y propose des idées d’activités pour favoriser le développement des fonctions exécutives chez l’enfant. De 3 à 5 ans Les fonctions exécutives se développent à un rythme accéléré durant cette période de vie. Par conséquent, il est important d’adapter les activités aux habiletés des enfants. Des exemples d’activités De 5 à 7 ans À cet âge, les jeux peuvent stimuler les fonctions exécutives de plusieurs façons. De 7 à 12 ans Avec cette tranche d’âge, il est important d’augmenter régulièrement la complexité des jeux et des activités afin que le défi soit à la mesure des habiletés des enfants. [Consultez le guide (en anglais)] Sur le même sujet :

Neuro-classe/a-propos Quand une idée prend forme... Imaginez... une classe où on parle du cerveau aux élèves, de leurs stratégies d’apprentissage, où on leur enseigne que leur cerveau n’est pas immuable et qu’ils ont du contrôle et du pouvoir sur leur façon d’apprendre! Imaginez... un milieu où les pédagogues lient les sciences cognitives à la classe, expérimentent et échangent. Au cours des dernières décennies, les recherches en neurosciences cognitives ont permis de mieux comprendre les processus qui sous-tendent l’apprentissage, en identifiant les mécanismes cérébraux impliqués dans les différents domaines cognitifs. Les acteurs du monde scolaire ont tout avantage à connaître ces nouvelles découvertes. Il apparaît donc primordial que neurosciences et pédagogie travaillent de pair afin que les avancées remarquables des études scientifiques du cerveau et apprentissage puissent aider les élèves à réussir et à persévérer. Travaillons ensemble pour l’accès universel à l’éducation! Quand une idée prend forme...

Plasticité cérébrale : le cerveau, c’est fantastique Pendant très longtemps, il a été établi que le cerveau, une fois atteint l’âge adulte, ne faisait que se dégrader : nous perdions chaque jour des milliers de neurones, sans qu’aucun nouveau de réapparaisse. Cette idée a été, au cours du XXème siècle, lentement mais sûrement battue en brèche. Il est aujourd’hui établi que non seulement, certaines zones de notre cerveau peuvent produire, tout au long de notre vie, de nouveaux neurones mais plus avant, que le cerveau, lorsqu’il est lésé notamment, est capable de se réorganiser dans une certaine mesure pour compenser ces lésions. Bref, que cet organe que l’on pensait immuable est en fait doué d’une surprenante plasticité. Plasticité cérébrale : le cerveau, c’est fantastique : c’est le programme adaptatif qui est le nôtre pour l’heure qui vient. Bienvenue dans La Méthode scientifique. Le reportage du jour L’étude de certaines pathologies cérébrales permettent d’y voir plus clair dans les mécanismes de neuroplasticité. Écouter 6 min Les repères

Les fonctions exécutives: des fonctions nécessaires pour l'exécution des tâches complexes, non routinières, nouvelles Les fonctions exécutives permettent de se fixer des objectifs, puis de planifier, d'initier, d'exécuter et de superviser un ensemble d’actions volontaires pour atteindre ces objectifs. Elles nous permettent de nous adapter à des situations nouvelles et imprévues et de changer nos stratégies en cours d'action. Elles nous permettent également de résister à des distractions, d'inhiber des automatismes, d'élaborer des stratégies nouvelles, de façon flexible et adaptée à la tâche en cours. Il s'agit aussi d'un système de concentration volontaire qui permet d’établir des priorités, de résister aux impulsions, de filtrer les distractions, de focaliser l’attention sur la tâche à faire en élaborant des stratégies nouvelles. Le bon fonctionnement des fonctions exécutives est important pour le bon fonctionnement émotionnel et social. Les composantes des fonctions exécutives Le développement des fonctions exécutives Le rôle dans l'apprentissage et leur place dans l'éducation Ci-dessous: Décembre 2015

Apprendre à apprendre Entraînement cérébral de Lumosity : stimulez votre esprit et mettez-le au défi sans titre Connaissez-vous l'Einstellung ? Littéralement, ce mot allemand se traduit par « réglage », mais en psychologie sociale, c'est un concept : celui d'« attitude mentale » ou encore d'« état d'esprit ». L'Einstellungseffekt – ou « effet d'attitude », voire en jargon de chercheur « effet d'Einstellung » – désigne la tendance humaine à s'accrocher à une solution compliquée déjà expérimentée, même si une solution plus simple existe. Le pionnier de l'étude de cet effet est le psychologue Abraham Luchins, qui fut l'un des héritiers américains du passage massif outre-Atlantique, à l'époque nazie, des écoles allemandes de psychologie. Depuis Luchins, nombre de psychologues ont prolongé son travail en menant des expériences déclenchant l'effet d'attitude. C'est dans une expérience classique de 1942 que Luchins a mis l'effet d'attitude en évidence.

sans titre

Ajoutée le 25 oct. 2013


facebook : : séquences animées en 3D prouvent que notre capacité de raisonnement atteint vite ses limites et peine à influencer nos comportements. Des objets banals tels que des allumettes et des chaises permettent des expériences surprenantes quand ils sont manipulés par des chercheurs. Pour prouver le bien-fondé de leurs thèses, ces derniers n'hésitent pas à s'élancer sur une planche de surf ou à étudier les méthodes des prestidigitateurs. Autant de raisons de s'inquiéter parfois, notamment quand nous apprenons que notre cerveau prend les décisions sept secondes avant que nous en ayons conscience ! Un fascinant périple aux quatre coins du monde, de l'Australie à l'Allemagne en passant par les États-Unis et la Suède, pour observer nos neurones dans tous leurs états. by lavieapreslavie Sep 28

Related: