ruches et abeilles | blog Reptily-Family Depuis que j'ai des ruches je me suis fait piquer de nombreuses fois. Il arrive que ce soit plus de 10 piqûres d'un coup... Ça grattouille, mais ça passe (surtout en virant les dards avec une lame et en utilisant un aspivenin (je viens de lire que l'aspivenin était d'une très faible utilité... cette affirmation m'étonne) Il y a deux ans je me suis fait piquer à la main gauche... et au cours de la nuit un œdème s'est formé, m’empêchant de dormir. Je l'ai gardé deux ou trois jours. J'ai appréhendé les piqûres suivantes me demandant si je n'allais pas me retrouver à l’hôpital. Quelques temps plus tard j'ai pris une charge de dards envenimés dans l'entre jambe (je ne mettais qu'une couche de textile à l'époque) qui n'a pas entraîné de réaction à mon grand soulagement. Aujourd'hui, ça va, ça chatouille encore dans les doigts et je me surprends à vérifier de temps en temps que ma main fonctionne bien mais c'est chiant et je crois qu'il va falloir que je me protège davantage...
L'intelligence des abeilles © Peter Waters/shutterstock.com Dans ce numéro L'essentiel - Le traitement cognitif de l'environnement visuel des abeilles est élaboré. - Ces insectes classent les objets par catégories et utilisent des concepts relationnels, c'est-à-dire des relations abstraites liant les objets : nombre, configuration spatiale... - Le substrat cérébral des concepts pourrait se trouver dans une zone nommée corps pédonculés. L'auteur Aurore Avarguès-Weber a travaillé au Centre de recherches sur la cognition animale, à l'Université de Toulouse, puis à l'Université Queen Mary, à Londres. À l'évocation de l'abeille, on pense souvent à une organisation sociale élaborée. Une ouvrière vit de quatre à six semaines, sauf quand elle naît à la fin de l'été, car elle passe alors l'hiver en hibernation. Depuis un siècle, l'abeille a été utilisée dans des centaines d'études sur la perception, l'apprentissage et la mémoire. Les abeilles distinguent aussi les formes. En quoi consiste un tel traitement ?
Propolis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La propolis est un matériau recueilli par les abeilles à partir de certains végétaux. Cette résine végétale est utilisée par les abeilles comme mortier et anti-infectieux pour assainir la ruche. Le mot propolis vient du grec ancien πρόπολις, entrée d’une ville, par allusion à la réduction de l'entrée de la ruche avec de la propolis pour défendre la colonie. Abeille dont les corbeilles à pollen sont également utilisées pour le transport de la propolis. Origines[modifier | modifier le code] Bourgeon de marronnier. L'ouvrière transporte cette résine dans les corbeilles de ses pattes arrières (de la même façon que le pollen). Composition[modifier | modifier le code] Propolis brute. La propolis recueillie dans la ruche est constituée globalement de : La propolis contient également beaucoup d’autres éléments comme des acides organiques, de très nombreux flavonoïdes, des oligo-éléments, de nombreuses vitamines. Récolte[modifier | modifier le code]
Le cerveau des abeilles Apis mellifera Symphyte, Apidae Bien que toutes les abeilles soient équipées d'un génome identique, des chercheurs australiens, travaillant sur le cerveau des abeilles, viennent de découvrir que leur ADN a été modifié à certains endroits selon le rang de l'insecte dans la ruche. Chez les reines, plus de 550 gènes sont méthylés différemment: elles sont nourries à la gelée royale qui inhibe la méthylation. Les autres sont nourries au miel ou au pollen. Bees and their brain Although all the bees are equipped with an identical genome, Australian researchers have just discovered that their DNA was modified in certain areas according to the insect's rank in the hive. La méthylation de l'ADN est une partie cruciale du développement normal de l'organisme en général et de la différenciation cellulaire des organismes évolués. De plus, la méthylation de l'ADN supprime l'expression de gènes viraux et d'autres éléments délétères qui ont été incorporés petit à petit dans le génome de l'hôte. Noushka
Flow, une ruche innovante pour récolter le miel sans déranger les abeilles Des apiculteurs ont imaginé une ruche innovante qui pourrait révolutionner le monde de l'apiculture. Entièrement repensée, la ruche laisse le miel s'écouler par des tuyaux, sans besoin d'extraction complexe. Suivez-nous sur Facebook Avant de partir, suivez-nous sur Facebook Vous êtes déjà abonné ? Partager sur Facebook Et si le miel pouvait être récolté aussi rapidement que l'eau coule du robinet ? Mais deux apiculteurs australiens, Stuart et Cedar Anderson, père et fils, ont eu une idée folle pour changer tout ça : ils ont imaginé une ruche nouvelle génération qui pourrait grandement faciliter la récolte du miel tout en améliorant le bien-être des butineuses. L'invention vient d'être dévoilée sur le site Indiegogo dans le cadre d'une campagne de récolte de fonds. Un système innovant Flow a nécessité pas moins de 10 ans de travail et de recherches mais l'invention est étonnante de simplicité. Lorsque le miel est prêt, là encore pas besoin d'ouvrir la ruche. Le succès au rendez-vous
Langage des abeilles: on écoute aux ruches | Sciences Pour Yves Le Conte, directeur de l'unité Abeilles et Environnement à l'Inra, «cela voudrait dire qu'elles disposent d'un autre mode de communication que celui des phéromones», le langage des hormones. Pour passionné qu'il soit, le biologiste ne s'avance pas à parler de «sons» mais envisage l'hypothèse d'un «profil vibratoire» de cinq à six «mots» échangés dans la ruche, enregistré grâce à des capteurs hyper-sensibles. Une fois modélisées, ces vibrations indétectables à l'oreille forment une émouvante bande-son sur l'écran de son ordinateur, des «kak kak» proches des sons du criquet, qui semblent se répondre et dont le chercheur conserve jalousement l'enregistrement en laboratoire dans l'attente d'une publication prochaine de ses travaux. «Si elles font ça c'est forcément pour communiquer, reste à trouver ce qu'elles se disent et comment elles émettent cette vibration particulière», juge-t-il. M. - Mouchards et caméras - «A terme, l'idée est de permettre à chaque apiculteur de s'équiper.
Droit d’initiative législative citoyenne Les pesticides des jardins nuisent à la biodiversité L'étude a permis d'évaluer l'effet du jardinage sur certains insectes comme ce bourdon des pierres, Bombus lapidarius. © J. K. Lindsey Les pesticides des jardins nuisent à la biodiversité - 2 Photos En milieu urbain, les jardins privés représentent une ressource importante de nourriture et d’abris pour les espèces animales. Les auteurs de cette publication ont évalué les effets à grande échelle des pratiques de jardinage sur deux groupes importants d’insectes floricoles : les papillons de jour et les bourdons. Les herbicides limitent les ressources disponibles pour les papillons comme ce paon du jour, Aglais io © Peter Ginzinger Si l’impact des insecticides sur les insectes est direct, celui des herbicides serait indirect. Ces résultats, de dimension nationale, montrent pour la première fois que les comportements individuels, dans un cadre privé, ont un impact sur la biodiversité, même dans un paysage urbain très anthropisé. Sur le même sujet
(R)évolutionnons l'agriculture Consommation excessive de pétrole, pollution, usage massif de produits phytosanitaires, standardisation de la production, appauvrissement des terres nourricières, disparition des paysans… Les conséquences de l’agriculture actuelle sont lourdes. Aujourd’hui, nous avons le pouvoir d’inverser la tendance ! Faisons le choix d’une production agricole biologique et locale, respectueuse de la nature et des humains ! Crédits : Scénario : Cyril Dion, Colibris Réalisation, dessins et voix off : Corentin Lecourt / corentin.lecourt.free.fr Montage : Thomas Courcelle pour Isotom Productions After Effect : Sébastien Fillinger Sound Design : Ludovic Jokiel assisté de Benoît Mora pour AOC Prod.
Abeilles : elles aident les médecins à faire des miracles ABEILLES. Du venin d’abeille pour combattre la sclérose en plaques, du pollen pour la digestion, du miel comme cicatrisant : la Roumanie cultive l'apithérapie, une médecine alternative dont les racines remontent à l’Antiquité et qui consiste à se servir des produits de la ruche pour se soigner. Dans la Grèce antique, Hippocrate appliquait du miel pour soigner les blessures et les Romains qualifiaient le pollen de "poudre qui donne la vie". "La ruche constitue la plus ancienne pharmacie naturelle et la plus saine", explique Cristina Mateescu, directrice générale de l'Institut roumain de recherche et de développement apicole. Médecin allopathe classique durant des années, le Dr Mariana Stan pratique aujourd’hui à Bucarest l’apithérapie "qui donne des résultats plus lents mais plus durables et plus profonds". "Dans mon village, mon arrière-grand-mère était guérisseuse et utilisait les produits de la ruche. Une composante de la médecine scientifique Vidéo AFP
Première création d'un vaccin pour les abeilles - 20minutes Le futur verra peut-être les abeilles se faire vacciner. Deux chercheurs finlandais viennent d’annoncer la création du tout premier vaccin pour insecte, nommé le PrimeBEE. Il servira à les protéger contre la loque américaine (American foulbrood ou AFB en anglais), qui ravage des colonies entières. La maladie infecte les larves qui meurent et se décomposent dans une masse collante et extrêmement contagieuse, permettant à la maladie de se répandre à vitesse grand V dans toute la colonie. Ce vaccin, donné en nourriture à la reine et qui produirait ainsi des larves immunisées à la maladie en se mélangeant avec la vitellogénine (une protéine très présente dans les œufs d’abeille), pourrait être étendu à d’autres infections, comme la loque européenne ou les champignons, mais surtout à tous les animaux dont les œufs produisent de la vitellogénine.
Ces abeilles ont une redoutable technique de défense contre les frelons géants Pour lutter contre le redoutable frelon-géant japonais, les abeilles ont développé une stratégie consistant à rôtir leur prédateur à petit feu. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Cinq fois plus gros qu'une abeille, le frelon-géant japonais (Vespa mandarinia japonica) est capable d'en tuer 40 en moins d’une minute pour assurer sa subsistance. Lorsque l’on croise un frelon-géant près d’un essaim d'abeilles, celui-ci est la plupart du temps condamné. Fort heureusement, aussi redoutable que peut être le frelon-géant, celui-ci a lui aussi son propre talon d’Achille : la chaleur. Cuisson à petit feu A travers la séquence, on peut voir les abeilles s’en prendre à l’intrus non pas en le piquant mais en vibrant pour augmenter la température collective jusqu’à ce que celle-ci atteigne 47,2°C.
Mais pourquoi les apiculteurs français sont-ils englués dans leurs stocks de miel ? Entre les essaims de frelons asiatiques, les printemps en plein hiver, les étés à rallonge, et les pesticides, les fléaux s’abattent les uns après les autres sur les quelque 3.000 apiculteurs français, sans compter les 60.000 amateurs. Dans un pays qui consomme 45.000 tonnes de miel par an, leur problème devrait essentiellement être d’en produire assez pour rassasier tout le monde. « Pourtant, on a de plus en plus de mal à le vendre », souligne Olivier Fernandez, le président du Syndicat des apiculteurs d’Occitanie. Cette année particulièrement, 20.000 tonnes récoltées dans l’Hexagone, soit l’équivalent d’une année de production, dorment encore sur des palettes dans les fermes en attendant preneur. « Il y a même des petits producteurs qui n’arrivent plus à écouler leurs pots en vente directe sur les marchés », assure Muriel Pascal, membre de la commission apicole de la Confédération paysanne. « Sirop de synthèse » Alors quelle est cette nouvelle avanie qui rend le miel national si amer ?
Une espèce migratrice sur cinq est menacée d'extinction, selon un rapport des Nations unies Cet article a été initialement publié en anglais Selon ce rapport de l’ONU, qui porte sur 1 200 espèces dans le monde, 44 % d'entre elles sont en voie de disparition et près d’un cinquième sont menacées d'extinction. Des milliards d'animaux effectuent chaque année des voyages migratoires à travers la terre, les mers et les cieux. Mais jusqu'à présent, il n'existait pas de données complètes sur l'état de conservation ou les tendances démographiques de ces animaux. Pour la première fois, il existe des preuves irréfutables des dangers auxquels ils sont confrontés. Bien que la situation de certaines espèces migratrices s'améliore, l'étude révèle que près de la moitié d'entre elles (44 %) voient leur population décliner. Au cours des 30 dernières années, 70 de ces animaux migrateurs - dont l'aigle des steppes, le vautour percnoptère et le chameau sauvage - sont devenus plus menacés. Quelles sont les principales menaces qui pèsent sur les espèces migratrices ?