Accident vasculaire cérébral : Symptômes , Définition , Diagnostic , Traitements l'instar de tous les organes du corps humain, le cerveau a besoin d'oxygéne et de nutriments pour fonctionner correctement. Ces éléments indispensables au maintien de la vie sont acheminés au cerveau par le sang qui circule dans tout l'appareil circulatoire. Un accident vasculaire cérébral se produit lorsqu'une partie du cerveau cesse d'être irriguée, ce qui entraîne la mort des tissus et la perte de certaines fonctions cérébrales. Il peut être provoqué par un anévrisme c'est-à-dire par la rupture d'un vaisseau sanguin, ou par une embolie, résultant de la présence d'un petit caillot ou d'une petite particule flottant librement dans la circulation sanguine avant de se loger dans l'une des artères cérébrales où elle interrompt le flux sanguin. Selon la zone du cerveau qui est atteinte, un accident vasculaire cérébral peut entraîner des troubles de la parole, une paralysie, une inconscience, ou même la mort.
Cryothérapie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pistolet de cryothérapie médicale La cryothérapie est le traitement par le froid. Histoire de la cryothérapie[modifier | modifier le code] La cryothérapie existe depuis l'Antiquité mais c'est seulement depuis les années 1970 que l'application de froid par vessie de glace, ou spray froid, a commencé à intéresser les scientifiques. Les Japonais ont été les premiers à mettre au point une méthodologie scientifique permettant l'évaluation codifiée des résultats obtenus par l'abaissement de la température cutanée[réf. souhaitée]. En juin 2011, cette méthode est utilisée pour la première fois dans le milieu du cyclisme professionnel, à l'occasion du Critérium du Dauphiné libéré, qui voit les coureurs de l'équipe La Française des Jeux participer régulièrement à des séances de cryothérapie, afin de favoriser leur récupération après l'effort. Applications[modifier | modifier le code] Chambre de cryothérapie[modifier | modifier le code] Portail de la médecine
Médecine générale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir MG. La médecine générale (MG) est la branche de la médecine prenant en charge le suivi durable, le bien-être et les soins médicaux généraux d'une communauté, sans se limiter à des groupes de maladies relevant d'un organe, d'un âge, ou d'un sexe particulier. Le médecin généraliste (on dit aussi médecin omnipraticien ou médecin de famille) est donc souvent consulté pour diagnostiquer les symptômes avant de traiter la maladie ou de référer le patient à un spécialiste. Dans la plupart des cas, le médecin traitant d'une personne est un médecin généraliste. Définition de la spécialité de la médecine générale[modifier | modifier le code] Les médecins généralistes sont chargés de dispenser des soins globaux et continus à tous ceux qui le souhaitent indépendamment de leur âge, de leur sexe et de leur maladie. Les caractéristiques de la discipline de la médecine générale[modifier | modifier le code] § 1. § 2. § 3.
Symptôme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un symptôme (du grec συμπίπτω, « rencontrer ») ou signe fonctionnel est un signe clinique qui représente une manifestation d'une maladie, tel qu'exprimé et ressenti par un patient. En général, pour une pathologie donnée, les symptômes sont multiples, et parfois il peut ne pas y avoir de symptôme : la maladie est dite dans ce cas asymptomatique. Inversement, un même symptôme peut très souvent être attribué à différentes maladies : on ne peut donc en général pas conclure automatiquement qu'un symptôme (par exemple, le mal de gorge) est dû à une maladie donnée (par exemple, la grippe) ; ce serait commettre le sophisme de l'affirmation du conséquent. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot σύμπτωμα, en grec, signifie « accident », « coïncidence » ; il est constitué du préfixe σύν, « avec » et de πίπτω, « arriver », « survenir ». Description[modifier | modifier le code] Les symptômes sont donc à différencier : Récapitulatif :
Lexique de biologie humaine et terminologie médicale Ce lexique comportant près de 800 définitions a été élaboré essentiellement à partir des termes rencontrés dans les sujets du bac SMS et de ceux utilisés pour rédiger les réponses aux questions.Pour comprendre le sens des termes médicaux ou scientifiques absents de ce lexique, utilisez le Lexique des racines, préfixes et suffixes. Si vous cherchez des termes de biologie ou géologie, utilisez le Lexique de sciences de la vie et de la Terre.Avec la collaboration de Marie - Hélène Prévot, docteur en médecine.Mise à jour : juillet 2001 Accès pernicieux : érythrocytopathie parasitaire avec, en particulier, des manifestations viscérales, neurologiques et rénales, liées à la multiplication rapide de Plasmodium falciparum dans les hématies des capillaires viscéraux entraînant une anoxie tissulaire par anémie hémolytique et éventuellement une coagulation intravasculaire disséminée. Acrocyanose : cyanose des extrémités. Acroérythrose : coloration rouge des extrémités. Aménorrhée : arrêt des règles.
Institut NÉEL - Cryogénie Cryogénie Savoir-faire Regroupant des compétences de conception et bureau d’études, de réalisation mécanique,de chaudronnerie, de vide et de thermique, la cryogénie a permis au site de développer une compétence reconnue nationalement et internationalement dans le monde des basses températures. Des cryostats ou des systèmes cryogéniques ont été conçus et réalisés dans des domaines ou des environnements extrêmement variés : on citera par exemple les cryostats ultra-basses températures, la cryogénie spatialisable ou embarquée, l’électrotechnique supraconductrice ou les microscopes en champ proche aux très basses températures. Contacts Les Acteurs Pôle cryogénie , SERAS Formation Formation permanente CNRS : CRYOGENIE NIVEAU INGENIEUR 35 Heures sur 5 Jours Formation permanente CNRS : CRYOGENIE NIVEAU TECHNICIEN 35 Heures sur 5 Jours
Cryogénie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec la cryonie. Bonbonne contenant de l'azote liquide (en anglais, « nitrogen »). La cryogénie est l'étude et la production des basses températures (inférieures à -150 °C ou 120 K) dans le but de comprendre les phénomènes physiques qui s'y manifestent. La limite de -153,15 °C représente la limite à partir de laquelle les gaz de l'air se liquéfient. La cryogénie possède de très nombreuses applications notamment dans les secteurs alimentaire, médical, industriel, physique et de l'élevage. Histoire[modifier | modifier le code] Cryogénie alimentaire[modifier | modifier le code] La cryogénie alimentaire consiste en la conservation d'aliments par une surgélation très rapide laissant l'aliment dans l'état dans lequel il était au départ, contrairement à la congélation classique qui provoque la déshydratation de surface et la formation de gros cristaux de glace dans le produit. Cryoconservation[modifier | modifier le code]
Cryonie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La cryonie ou cryogénisation (souvent confondue à tort avec la cryogénie), est un procédé de cryoconservation (conservation à très basse température) de tout ou parties d'êtres vivants, dans l'espoir de pouvoir les ressusciter ultérieurement. Dans l'état actuel du savoir-faire médical, le procédé n'est pas réversible. Aux États-Unis, il ne peut être pratiqué que sur des humains pour lesquels un certificat de décès a été signé, et si le stade de mort clinique n'est pas encore trop avancé. Histoire[modifier | modifier le code] En 1967, l'universitaire américain James Bedford est la première personne à avoir été cryonisée. Aspects médicaux[modifier | modifier le code] Endommagement et ischémie[modifier | modifier le code] La cryonie a traditionnellement été écartée par la cryobiologie, dont elle est une sous-branche. Résurrection[modifier | modifier le code] Neuroconservation[modifier | modifier le code] Aspects légaux[modifier | modifier le code]
Cryobiologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme « cryobiologie » vient du grec κρῧος [kryos], « le froid », βίος [bios], « la vie », et λόγος [logos] signifiant globalement « parole », « discours » ou « relation ». La cryobiologie a permis de mettre au point la cryoconservation, afin de conserver des tissus vivants à de très basses températures (azote liquide : −196 °C ). Définitions[modifier | modifier le code] Cryobiologie branche de la biologie qui étudie les effets des basses températures sur les organismes, le plus souvent dans le but de parvenir à cryoconserver. Cryogénie branche de la physique, ou de l'ingénéerie qui étudie les basses températures ou leur réalisation. Cryonie branche naissante de la cryoconservation des humains et des animaux, dans le but de parvenir ensuite à les restaurer. Chronologie[modifier | modifier le code] Boyle On peut retracer l'histoire de la cryobiologie jusqu'à l'Antiquité : dès 2500 av. Exemples chez les animaux[modifier | modifier le code]
Biostase Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La biostase ou animation suspendue est un état assimilable à l'hibernation qui est aussi appelé « arrêt réversible de la vie ». Définition du concept[modifier | modifier le code] Curieusement, notre faculté de placer des gens en biostase avec les techniques actuelles dépend entièrement de la capacité des techniques futures à inverser le processus. La procédure comprend deux parties et nous n’avons besoin d’en maîtriser qu’une seule sauf que, si nous parions sur la mauvaise méthode, les endormis ne pourront jamais être réveillés. Les progrès dans ce domaine sont on ne peut plus sérieux mais également vitaux à beaucoup d'applications pratiques dans le domaine médical, d'hygiène corporelle et mentale, d'exploration spatiale, de gestion de catastrophes majeures ou tout simplement de préservation de la survie des fonctions vitales. Il existe déjà des techniques brèves ou partielles qui ont une réversibilité quasi-automatique et naturelle.
La Télomèrase - Bioxa - Laboratoires La division des cellules humaines est un processus limité, en fonction du tissu considéré, le nombre des divisions peut atteindre 60 à 100 avant le vieillissement et éventuellement la mort cellulaire par apoptose. Un des mécanismes qui conduit à cette mort cellulaire est l’érosion des structures qui coiffent les extrémités des chromosomes : les télomères. En effet, à chaque division, les télomères raccourcissent , et finalement disparaissent, induisant du même coup la mort de la cellule. Dans les cellules cancéreuses, une enzyme, la télomèrase, va réparer les télomères endommagés et permettre l’immortalité de la cellule. Les deux extrémités 3’ et 5’ des chromosomes sont très exposées aux enzymes de dégradation : les nucléases, les télomères ont donc pour rôle la protection de ces extrémités, ce sont des complexes nucléoprotéiques comprenant des séquences nucléotidiques répétées de type 5’-TTAGGG-3’ couplées à des protéines de liaison au DNA. D’après R.
Télomérase Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Télomérase structure secondaire de la sous-unité ARN de la télomérase humaine. Le pseudonœud est à gauche. La télomérase est une enzyme qui, lors de la réplication de l'ADN chez les eucaryotes, permet de conserver la longueur du chromosome en ajoutant une structure spécifique à chaque extrémité : le télomère (du grec τέλος, extrémité ou fin). Bien que composé de désoxyribonucléotides comme le reste du chromosome, le télomère est synthétisé suivant un mode différent de la réplication classique de l'ADN. Les télomérases sont des ribonucléoprotéines (assemblage d'ARN et de protéines) qui catalysent l'addition d'une séquence répétée spécifique à l'extrémité des chromosomes. Historique[modifier | modifier le code] L'enzyme a été découverte par Elizabeth Blackburn et Carol Greider en 1985[1] qui ont reçu le Prix Nobel de physiologie ou médecine en 2009. Structure[modifier | modifier le code] Fonction[modifier | modifier le code]