Entretien d'embauche: les attitudes à éviter Cinq minutes: c'est le temps qu'il faut à 37% des employeurs pour juger un candidat en entretien d'embauche. Et en quinze minutes, 71% d'entre eux savent si vous correspondez au poste à pourvoir, d'après un sondage mené par le cabinet CareerBuilder France auprès de 500 recruteurs. Assez expéditifs, ils fonderaient leur premier jugement sur les attitudes du postulant, plus ou moins à l'aise dans la relation. Pour la moitié des recruteurs interrogés, le manque de contact visuel est le premier critère de défiance. Suivi de près par la mauvaise position sur son siège, l'absence de sourire ou le fait de montrer un embarras (bouger sur sa chaise, jouer avec quelque chose sur la table...) . Rien n'est perdu cependant... S'entraîner et préparer l'entretien, pour le cabinet de recrutement, est une nécessité absolue pour éviter les attitudes qui risquent de vous desservir.
Questions fréquemment posées à propos des imprimantes 3D (suite du dossier) 1. Combien coûte l’impression d’une pièce? Évidemment, c’est la première question qui vient en tête, car il peut s’avérer dispendieux de permettre l’accès à l’imprimante à tous les élèves sans contrôle. (Prix de la bobine / poids de la bobine) x poids de la pièce produite = prix de la pièce À titre d’exemple, voici une petite figurine aztèque qui mesure 8 cm de hauteur, 4,5 cm de largeur et 3 cm de profondeur. 2. L’impression en 3D prend du temps, ce qui est une réalité quelque peu dichotomique avec l’avènement des nouvelles technologies dans la société. Plus précisément, le temps d’impression dépend de plusieurs facteurs : La grosseur de la pièce;Son remplissage;Sa complexité de conception (pentes, détails, etc.) Il est donc difficile de répondre justement. 3. Oui. 4. 5. Cela dépend de l’imprimante. Cependant, les logiciels estiment habituellement la quantité et le poids de filament nécessaires à la réalisation de la pièce. 6. 7. Sincères remerciements :
Hennebont Avec une population calculée à 15 582 habitants pour 2014, Hennebont est classée 607e ville de France[1], 18e de Bretagne[2], 5e du Morbihan[3], 3e de Lorient Agglomération, et enfin 1re et chef-lieu de son canton. Géographie[modifier | modifier le code] La ville fait partie de la communauté d'agglomération de Lorient Agglomération. Distance des grandes villes françaises[modifier | modifier le code] La communauté d'agglomération Cap L'Orient. Communes limitrophes[modifier | modifier le code] Transports en commun[modifier | modifier le code] Réseau TER Bretagne[modifier | modifier le code] Trains (Gare d'Hennebont) Réseau CTRL[modifier | modifier le code] Bus Urbanisme[modifier | modifier le code] Quartiers[modifier | modifier le code] De la rive gauche à la rive droite, de l'est à l'ouest, du centre-ville à la campagne, sur les deux rives du Blavet, Hennebont dispose d'une quinzaine de quartiers, lieux de vie qui ont chacun leur identité propre. Toponymie[modifier | modifier le code]
Le processus de recrutement et la grille de sélection - Exemple d'évaluation des candidats | HR4free Le but final d'un processus de sélection est de présenter un nombre restreint de candidats satisfaisant aux exigences du poste vacant aux responsables de la ligne directement concernés par le recrutement, afin de faciliter leur prise de décision. Il s'agira donc de réduire, à chaque étape, le nombre de candidats retenus pour l'étape suivante, en recoupant les observations des différents évaluateurs et en resserrant peu à peu les écarts avec le profil du poste. Le processus de sélection s'appuie principalement sur la grille d’évaluation, qui permet au recruteur d’effectuer un tri entre les candidats lors des différentes étapes d’une sélection. De plus, celle-ci fournit une information synthétique qui facilite le classement et la hiérarchisation des candidatures. A la fin du processus de recrutement, elle contribue à réduire la subjectivité de la prise de décision. La grille de sélection peut ainsi être utilisée à chaque étape du processus de sélection:
Cinq imprimantes 3D testées pour vos activités pédagogiques (suite du dossier) Dans un premier temps, il est important de comprendre que le marché des imprimantes 3D vient à peine de se démocratiser. Les appareils, bien qu’ils détiennent un potentiel pédagogique appréciable, demeurent une technologie qui sera appelée à évoluer rapidement. Par exemple, bien peu d’imprimantes permettent une impression à deux couleurs. Il est à prévoir que cela changera sous peu. Également, lors d’une utilisation intensive en milieu scolaire, il faut prévoir que des problèmes de durabilité risquent fort de surgir. Également, ces appareils nécessitent une bonne dose de patience. 1. Lorsqu’il est question de cette imprimante, la première qualité de l’appareil est certainement qu’elle est fabriquée au Canada. D’un simple regard lorsqu’elle fonctionne, un point saute aux yeux : l’accent est mis pour mettre en valeur l’objet imprimé. L’impression au PLA se fait sur une plaque de verre non chauffée. Appréciation générale : Spécifications : 2. 3. 4. 5. Sommaire du dossier :
Recrutement et formation : le boum des “serious games” Sauront-ils relever le défi de la construction d'un viaduc, réagir face à une alerte météorologique ou régler la circulation de plusieurs trains sur une même ligne ? Fin septembre 2012 la SNCF a lancé "Défi ingénieur". Au bout des challenges proposés par ce serious game : des voyages pour les gagnants. Que l'on ne s'y trompe pas : visant à rajeunir l'image de l'entreprise, cette proposition est d'abord destinée à identifier les nouvelles recrues. Détecter des talents Cette année, le géant des cosmétiques a ainsi proposé aux participants de leur serious game, "Brandstorm", de créer un produit ou une nouvelle gamme de produits emblématiques de la marque The body Shop, tout en respectant les valeurs du groupe. Adaptés aux jeunes. Pour la sensibilisation aux accidents du travail. Prendre des risques sans risque Autre avantage : le serious game transforme en effet la formation en outil d'entraînement. Explorer plusieurs approches. Du sur-mesure à la standardisation Revers de la médaille ?
« Impression 3D 101 » : le fonctionnement et les matériaux (suite du dossier) Avant d’aborder la question du choix de l’imprimante 3D, il y a un critère important à considérer : le filament. C’est un peu comme se questionner sur le type de cartouches d’encre pour une imprimante conventionnelle. Et avant de considérer le filament, il faut comprendre le fonctionnement intégral de l’appareil. Fonctionnement Par définition, l’imprimante 3D fonctionne de façon additive, c’est-à-dire qu’elle fait fondre l’une sur l’autre de très fines couches de thermoplastique qui fusionnent pour former l’objet conçu à l’aide d’un logiciel de conception tridimensionnelle. Ces bobines sont, règle générale, vendues à un poids de 750 grammes de matériau et ledit fil thermoplastique qui y est enroulé présente généralement un diamètre de 1,75 mm. Les deux principaux matériaux utilisés par les imprimantes 3D en milieu scolaire sont l’ABS et le PLA (expliqués un peu plus loin). Cependant, l’ABS a deux inconvénients majeurs. Le PLA La bonne bobine Sommaire du dossier :
Quand ignorer son smartphone pendant les cours rapporte des points | L'Atelier : Accelerating Business Une application mobile a été créée pour pousser les étudiants à être attentifs en classe et être récompensés avec des réductions dans des commerces locaux. Que ce soit en classe, au bureau ou sur la route, les utilisateurs ont l’habitude de consulter régulièrement leurs smartphones, ce qui peut nuire à l’attention. Pour remédier à ce problème, deux étudiants de l’Université d’Etat de Californie à Chico ont décidé de créer une application mobile pour pousser les étudiants à ne pas consulter leur smartphone. Ce qui paraît paradoxal au premier abord se révèle en fin de compte utile pour tous. Mitch Gardner, le co-fondateur commente “Nous avons créé la seule application au monde qui récompense les utilisateurs de ne pas utiliser cette application.” “No phones in class” Des réductions dans les commerces locaux