Maraîchage Sol Vivant : FormationLaFertiliteDesSolsKSchreiber La fertilité des sols : Pivot des pratiques agroécologiques en maraîchage VideoFormationLaFertiliteDesSolsKSchreiber01Enjeux - 1 - Économie, agriculture et CO2 : enjeux et réponses, problématique du sol vivant VideoFormationLaFertiliteDesSolsKSchreiber02BilanC - 2 - Bilan carbone, fertilité et vie du sol. Rapport C/N VideoFormationLaFertiliteDesSolsKSchreiber03CyclMO - 3 - Cycle de la matière organique, problématique de la fumure VideoFormationLaFertiliteDesSolsKSchreiber04Ancien - 4 - Ancien Monde, Nouveau Monde, pratiques agricoles qui en découlent VideoFormationLaFertiliteDesSolsKSchreiber05Advent - 5 - Gestion de lenherbement et sol vivant VideoFormationLaFertiliteDesSolsKSchreiber06BilanC - 6 - Étude de cas, bilan carbone VideoFormationLaFertiliteDesSolsKSchreiber07PhSol - 7 - pH du sol VideoFormationLaFertiliteDesSolsKSchreiber08Soltnr - 8 - Soltner : Jardiner sans bêcher, comment travailler et semer avec un sol couvert ? Konrad Schreiberfertilitéformation
L’agro-écologie à l’Inra, la recherche s’organise Une discipline scientifique émergente… L’agro-écologie est une discipline émergente qui a pour ambition de conjuguer les sciences agronomiques et l’écologie, deux domaines d’étude historiquement disjoints. L’agro-écologie considère les systèmes de culture ou d’élevage comme des écosystèmes particuliers, dans lesquels le milieu naturel est transformé par les pratiques agronomiques. Mots clés apparaissant dans les articles les plus cités au carrefour entre sciences agronomiques et écologie. Derrière le couple agronomie-écologie, c’est une agrégation disciplinaire beaucoup plus large qui se profile, englobant les sciences fondatrices que sont la biologie, les sciences de l’environnement, les sciences sociales et les sciences de l’information. …porteuse d’opportunités… Les transitions agro-écologiques visent une double performance économique et environnementale de l’agriculture grâce à une mobilisation des régulations écologiques, ce qui permet généralement de réduire les intrants.
untitled Afficher l'image d'origin Biocontrôle C’est l’ensemble des méthodes de protection des végétaux par l’utilisation de mécanismes naturels. Il vise à la protection des plantes par le recours aux mécanismes et interactions qui régissent les relations entre espèces dans le milieu naturel. Ainsi, le principe du biocontrôle est fondé sur la gestion des équilibres des populations d’agresseurs plutôt que sur leur éradication. Les produits de biocontrôle se classent en 4 familles : Les macro-organismes auxiliaires sont des invertébrés, insectes, acariens ou nématodes utilisés de façon raisonnée pour protéger les cultures contre les attaques des bio-agresseurs. Attractifs Cette méthode repose sur l’utilisation d’appâts alimentaires ou de kairomones (molécules odorantes qui permettent à un insecte de repérer les plantes dont il se nourrit, des sites de pontes ou des proies) pour attirer les ravageurs et les neutraliser dans des pièges (par emprisonnement, adhérence à des surfaces engluées, noyade ou contact avec un insecticide). Répulsifs
Fonds Salamon - Home Agriculture: Engage farmers in research Soil Association UK farmers in the Duchy Originals Future Farming Programme. Climate change threatens a creaking food system in which harvests are already lagging behind rising demand1, 2. Since the 1970s, agricultural research and development (R&D) has invested mainly in a few research institutes equipped with cutting-edge instruments. This one-size-fits-all approach has had qualified success. But advances are slowing. The next wave of innovation must be at smaller scales. Enhancing farmers' own R&D could reap big rewards for minimal extra cost. Listen Reporter Geoff Marsh meets farmer John Pawsey to discuss the research he is conducting on his farm. Such essential contributions are rarely recognized in official assessments of agricultural R&D. Some of the best returns can come from helping farmers to assess their own ideas. Grass-roots research Farmer-centred approaches are not new. These field labs do not always provide clear answers because of their small samples and short timescales.
Qu’est-ce que le volet agricole du Grand plan d’investissement ? S’inscrivant dans le cadre du Grand Plan d’Investissement (GPI) présenté par le Premier Ministre fin 2017, le volet agricole du GPI est doté de 5 milliards d’euros sur 5 ans (2018-2022). Il a vocation à être l’un des principaux instruments de la transformation des secteurs de l’agriculture, de l’agroalimentaire, de la forêt et du bois, de la pêche et de l’aquaculture. Il doit permettre d’accompagner les orientations stratégiques des plans de filière élaborés par les interprofessions, par la mise en oeuvre de projets concrets dans les territoires. Dans le prolongement des États généraux de l’alimentation, cette transformation doit permettre d’améliorer la réponse de ces secteurs aux attentes du consommateur et du citoyen, ce qui nécessite une évolution profonde des pratiques, des modes et processus de production, de l’offre de produits. Les priorités
séparation de la vente et du conseil à partir du 1er janvier 2021 L’objectif est d’offrir deux conseils de nature différente aux utilisateurs professionnels (agriculteurs ou autres) : d’un côté un conseil stratégique, pluriannuel, individualisé ; de l’autre un conseil spécifique, répondant à un besoin ponctuel. Ces activités de conseil doivent contribuer à la réduction de l'utilisation, des risques et des impacts des produits phytopharmaceutiques, et respecter les principes de la protection intégrée des cultures. La séparation des activités de vente et de conseil concerne toutes les utilisations (agricoles ou non) de produits phytopharmaceutiques. Elle est appréciée au regard des participations au capital ou des droits de vote au sein des organes d'administration des établissements concernés et de la composition de leurs organes de surveillance, d’administration et de direction. L'indépendance des personnes physiques exerçant ces activités est aussi assurée. Conseil stratégique et conseil spécifique Elle précise que : Références réglementaires
Plan d’actions sur les produits phytopharmaceutiques et une agriculture moins dépendante aux pesticides Le plan d’actions sur les produits phytopharmaceutiques et une agriculture moins dépendante aux pesticides, présenté ce mercredi 25 avril 2018 à l'issue d'une réunion de travail avec le ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation, le ministre de la Transition écologique et Solidaire, la ministre des Solidarités et de la Santé, et la ministre de l’Enseignement supérieur, se décline en quatre grandes priorités. Il intègre les propositions des parties prenantes consultées depuis le 15 février dernier. Les acteurs économiques concernés, les représentants de la société civile et des collectivités locales ont ainsi pu contribuer à enrichir le projet initial du gouvernement. Ce plan d'actions s’articule autour de quatre priorités : Diminuer rapidement l’utilisation des substances les plus préoccupantes pour la santé et l’environnement 1. 2. 3. 4. Mieux connaître les impacts pour mieux informer, protéger la population et les professionnels et préserver l'environnement 2. 1. 2. 3. 4.
Le projet agro-écologique en 12 clés Le projet agro-écologique pour la France présenté en 2012 par Stéphane Le Foll est un projet mobilisateur pour l'agriculture française. Ce projet vise à donner une perspective ambitieuse à notre agriculture en engageant la transition vers de nouveaux systèmes de production performants dans toutes leurs dimensions : économique, environnementale, et sociale. «Je souhaite engager notre agriculture sur la voie de la performance à la fois économique, environnementale et sociale. Je suis persuadé que nous pouvons et que nous devons faire de l'environnement un atout de notre compétitivité. Pourquoi un Projet agro-écologique? produire autrement en repensant nos systèmes de production, en les basant sur une utilisation optimale des ressources et des mécanismes naturels ;préserver les ressources sur lesquelles s'appuie notre production agricole et dont nous dépendons ;répondre à la demande légitime de la société d’engager l’agriculture vers de nouveaux modèles de croissance possibles. 1. 2. 3. 4.