Ressource non renouvelable Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une ressource naturelle est qualifiée de non renouvelable ou épuisable lorsque sa vitesse de destruction dépasse, largement ou non, sa vitesse de création. Ainsi un sol se forme en quelques siècles à plusieurs millénaires suivant les conditions chimiques, physiques et biologiques et est actuellement détruit dans certaines régions en quelques dizaines d'années, voire quelques années. On parle au contraire de ressource renouvelable lorsque leur production est possible sur un temps court (production animale, végétale, etc.) et ne consomme pas elle même une ressource non renouvelable, ou lorsque la ressource n'est pas détruite par l'usage (énergie marémotrice, énergie éolienne, énergie solaire). Modèles économiques[modifier | modifier le code] mplpmLa prise de conscience du caractère non renouvelable de certaines ressources est relativement récente. Histoire[modifier | modifier le code] Situation actuelle[modifier | modifier le code]
La fin programmée de la civilisation du gâchis. Réflection faite. De quoi est fait notre avenir? Quel avenir pour notre civilisation? Dates d'puisement des ressources naturelles de notre planète. Nous vivons depuis longtemps sur la Terre, une accueillante petite planète d'un système stellaire parmi des milliards de milliards d'autres. Dans un univers qui vient de rien (on parle de fluctuation du vide) et qui a explosé il y a 13,7 milliards d'années, d'après notre dernière datation. Nous en avons conscience et nous nous posons des questions essentielles. Qu'est-ce que la vie ? Est-elle extrêmement répandue dans notre galaxie et dans les cent milliards d'autres, répondant à des lois chimiques universelles ou bien est-ce un phénomène rarissime au point que la Terre soit finalement une exception dans l'univers, l'héritière d'une somme incalculable de hasards tous aussi improbables les uns que les autres ? Tout irait bien dans le meilleur des mondes possibles si nous ne faisions pas les terribles observations suivantes : L'espèce dominante, Homo sapiens, a vaincu toutes les étapes de l'adaptation à toutes sortes de milieux souvent hostiles. 9 milliards d'habitants prévus en 2050.
Tomales Bay Institute: The Commons Rising (PDF) | fírgoa Tomales Bay Institute: The Commons Rising (PDF) From public schools and universities to public lands and other natural resources, from the media with their broadcast and digital spectrums to scientific discovery and medical breakthroughs, a broad range of the American commons is shifting from public responsibility to private exploitation. — Bill Moyers The idea of the free market has become so widespread it’s hard to remember when public stadiums weren’t named for private corporations. But evidence is mounting—from catastrophic climate disruption to unprecedented disparities in wealth—that our present corporate-dominated economic system is leading to ecological and social disaster. There must be an alternative. In fact, there is an alternative, and it’s on the rise.
IASC COMMONS (iasc_commons) Digital Library Of The Commons Digital Library of the Commons hidden Image DatabaseExport Citations Menu: Search the DLC Advanced Search Browse the DLC My Account Commons Links DLC Home Digital Library Of The Commons Repository The Digital Library of the Commons (DLC) is a gateway to the international literature on the commons. Submit an Item DLC is a collaborative project of the: Generous funding has also been provided by the: About The Commons Feedback - Tell us about your user experience Select a Document Type Vincent and Elinor Ostrom Workshop in Political Theory and Policy Analysis | 513 N.
Le bien commun : l'assaut final - Un documentaire de Carole Poliquin Nombreux sont ceux qui pensent qu’en France le projet de loi « Création et Internet » (ou Hadopi) n’est pas qu’une simple question technique et juridique pour endiguer le « piratage », mais se situe bien au delà, sur le front politique et sociétal de la défense des biens communs contre une « marchandisation » croissante des activités humaines, ici la culture[1]. C’est pourquoi il nous a semblé intéressant de proposer aux lecteurs de passage un « vieux » documentaire que vous n’avez peut-être pas eu l’occasion de voir à sa sortie en 2002 (durée : 1 heure). Il a pour titre Le bien commun : l’assaut final et a été réalisé par la québécoise Carole Poliquin (dont nous avons obtenu accord pour diffusion). Voici ce qu’en disait Bernard Langlois dans le journal Politis : Sur le fond, c’est une charge très argumentée, très démonstrative contre la mondialisation libérale, nourrie de reportages et de témoignages recueillis au Canada, au Mexique, aux États-Unis, en Inde, en France. Loaded: 0%
Elinor Ostrom Debunks Tragedy of the Commons Nobel Prize-winning economist Elinor Ostrom proved that people can—and do—work together to manage commonly-held resources without degrading them. posted Oct 27, 2009 The biggest roadblock standing in the way of many people’s recognition of the importance of the commons came tumbling down when Indiana University professor Elinor Ostrom won the Nobel Prize for Economics. Garrett Hardin described the Tragedy of the Commons with a hypothetical example of shared herding land: If all herders make the individually rational economic decision of increasing the number of cows they graze on the land, the collective effect will deplete or destroy the common. Over many decades, Ostrom has documented how various communities manage common resources—grazing lands, forests, irrigation waters, fisheries—equitably and sustainably over the long term. Garrett Hardin himself later revised his own view, noting that what he described was actually the Tragedy of the Unmanaged Commons. -Elinor Ostrom YES!
Cause commune Cause commune : l’information entre bien commun et propriété vient d’être réédité en livre numérique chez publie.net avec une préface originale. L’édition papier a paru aux Editions Fayard dans la collection Transversales (février 2005). Pour des informations sur les traductions choisissez la langue correspondante dans les menus de bas de page. Achetez le livre numérique : chez publie.net Achetez le livre papier : Achetez le chez votre libraire préféré, ou si ce n’est pas possible en ligne (Alapage, Amazon, Decitre, FNAC) … et / ou téléchargez le La version PDF du livre Cause commune : l’information entre bien commun et propriété est mise à disposition sous un contrat Creative Commons Télécharger (format PDF) Quatrième de couverture L’information et ses technologies refaçonnent notre univers technique, social et éthique, mais ces bouleversements se font dans deux directions opposées selon que l’on choisit d’en encourager l’appropriation privée ou d’en faire des biens communs. Revue de presse
Category:Commons = What we share. Creations of both nature and society that belong to all of us equally, and should be maintained for future generations. The Commons has the potential to replace the commodity as the determining form of re-/producing societal living conditions. Such a replacement can only occur, if communities constitute themselves for every aspect of life, in order to take „their“ commons back and to reintegrate them into a new need-focused logic of re-/production. [1] This new section exclusively devoted to the emergence of Commons in various fields. Most commons fall into three general categories – gifts of nature, material creations, and intangible creations (i.e. the Three Commons. [2]. "Our global economic system is now in grave crisis, threatening the entire planet, its institutions and species. A new kind of common wealth is needed to protect the assets of Earth, resolve our private and public debts, and create a global society of justice, sharing and sustainability for everyone.
Quelles différences entre les biens communs et le communisme ? » Article » OWNI, Digital Journalism Quelle sont les similitudes divergences entre les traditions socialistes et l'émergence des idées et pratiques liées au P2P et des biens communs ? Michel Bauwens, fondateur de la P2P Foundation, nous explique sa vision. Titre original : How does the idea of p2p and the commons differ from the socialist tradition? Dans cet article du journal Pagina 12, le journaliste Mariano Blejman écrit que je mets sur le même plan le matériel ouvert et socialisme. Et c’est également le message qui semble être relayé aujourd’hui sur twitter. Ceci n’est pas exactement ma position, et j’aimerais donc en profiter pour publier de nouveau un précédent article qui explique notre positionnement vis à vis du socialisme. Quelle est la connexion entre la tradition historique du socialisme/communisme et l’émergence contemporaine des idéologies liées au peer to peer et des biens publics ? Notre interprétation du communisme Et le Peer to Peer ? Quelles sont alors les principales différences avec le communisme ?
La redécouverte des biens communs Traduction de l'anglais de «The Rediscovery of the Commons» David Bollier David Bollier est un spécialiste en stratégie, journaliste et consultant indépendant avec des activités d'intérêt général variées. La majorité des travaux récents de Bollier a été concentrée sur la défense vigoureuse des communs comme un nouveau paradigme en politique, économie et culture, un thème qu'il a exploré dans son ouvrage Silent Theft: The Private Plunder of Our Common Wealth (Routledge, 2002). Traduction de l'anglais: Olivier Berger Copyright © 2003 David Bollier Résumé Le discours qui prévaut pour parler de l'Internet est celui du marché. The prevailing discourse for talking about the Internet is that of the market. Les catégories intellectuelles de la doctrine du libre marché sont ancrées si profondément dans notre conscience qu'il est souvent difficile de voir le monde tel qu'il existe. Le discours qui prévaut pour parler de l'Internet est celui du marché.