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Capsules vidéos sur l’hypersexualisation –
Hypersexualisation: gare à la banalisation | Pierre Pelchat | Société
«On n'est pas en train de voir le mal partout. La séduction, c'est correct. Les relations sexuelles entre ados, ça peut être possible. Ce qui est questionnant, c'est la séduction strictement sexuelle, c'est qu'il faut performer sexuellement parce que notre chum va nous laisser tomber ou que notre blonde va rire de nous», a affirmé, au cours d'une entrevue au Soleil, Francine Duquet, professeure au Département de sexologie de l'Université du Québec à Montréal. Il ne faut pas voir cette mise en garde comme un excès de pruderie. Le sujet de l'hypersexualisation est le sujet d'échanges aujourd'hui lors d'un forum qui a lieu au Patro Roc-Amadour de Québec. Geneviève Quinty, du Projet Intervention Prostitution Québec, et Pierre Pouliot, de la commission scolaire des Premières-Seigneuries, y traiteront notamment de la prostitution juvénile. Sécurité des jeunes Selon Mme Duquet, l'hypersexualisation des jeunes peut avoir des conséquences néfastes.
Quand on trouve des images érotiques (et plus) dans les Disney, ça brise une jeunesse
Disney, le monde de la magie, des princes, des princesses… et du sexe, apparemment. Dans certains dessins animés, quelques images subliminales se sont glissées dans les longs-métrages. Et il faut vraiment être attentif pour se rendre compte de la discrétion de la chose. À moins que ce ne soit nous qui ayons l’esprit perverti. Ou pas. À vous de juger ! Faudrait voir l’architecte de ce château… (La Petite Sirène) Troublante robe chez Mickey et Minnie Chaude flamme ( Le bossu de Notre-Dame) Poussière d’étoile… (Le Roi Lion) C’est un museau, ça ? Pas de culotte ? Sacrée bosse (Hercule) Basic Instinct (Qui veut la peau de Roger Rabbit ?) Sympa, la déco (Bernard et Bianca) Il a l’air très, très content ce prêtre.
Hypersexualisation des filles, mini miss, lolitas, pré adolescence précoce
© Istock Au delà des images publicitaires qui envahissent les esprits de nos bambins, l'éducation que nous leur donnons fait aussi la différence. Les relations mère fille ont évolué pour se nicher entre complicité et étouffement. Le fossé générationnel semble plus fin qu'autrefois, avec des filles qui se rapprochent de l'âge adulte - du moins en apparence – plus tôt, et des mères qui restent proches de la jeunesse. Les concours de Mini Miss en sont un exemple intéressant : les petites filles y sont bichonnées, brushées et fardées jusqu'à être mi poupées Coroll, mi femmes fatales. Pour Sébastien, jeune papa de 22 ans, il s'agit avant tout d'une projection et d'une décision des parents. « Quand j'entends des parents dire "Regardez comme elle est belle et heureuse", il ne s'agit pour moi d’une excuse mal dégrossie afin de se déculpabiliser d'infliger ça à son enfant. A l'inverse, Géraldine fait régulièrement concourir sa fille de 7 ans aux Mini Miss de sa région.
Approche de la représentation de la femme dans Mulan et Rebelle des studios Disney. | Revue Ganymède
Par Manuel Gauvin Illustrations : Alice Schneider La preuve de la forte présence et de l’influence des dessins animés1 Disney dans la culture occidentale et dans son exportation à l’étranger n’est plus à faire. Il suffirait de regarder le nombre de langues dans lequel chaque nouvelle production des studios Disney est traduite. Les enfants sont majoritairement le public visé par ces dessins animés, même si les studios ont depuis longtemps fait preuve d’une volonté d’élargir aux adultes. Ainsi il est intéressant d’étudier, de questionner, les images, les représentations du monde qui y sont données. En partant de ces affirmations, il devient intéressant d’étudier ces représentations, d’analyser l’image du monde qui est donnée au public des dessins animés Disney. Ces deux films sont Mulan, sorti en 1998, et Rebelle, sorti en 2012. Commençons tout d’abord par un bref résumé des intrigues de chaque film. Les deux films présentent au début une série de règles à suivre par la femme.
High heels for men are on the rise
By Daisy Dumas Updated: 12:53 GMT, 18 October 2011 It's the last bastion of women's outerwear that hasn't been appropriated by the more fashionable men out there - until now. High heels are, apparently, de rigueur for men. To the possible chagrin of some more traditional males, those with a fashionable eye and an eccentric sensibility are taking the women's power dressing weapon of choice and making it their own. Suits you, sir: Mark Cramer, left, and Coy Barton choose to wear heels as they find the conventional offerings for men so dull. And the resulting looks are far from the Priscilla Queen of the Desert-esque drag styles that are so often associated with men in heels. Luke Nero, a promoter at Mr Black club in LA, told the New York Times: 'I went to a loft party yesterday, and there was a guy in normal shorts, normal tank and really hot red pumps. At the club, Coy Barton, 24, and Mark Cramer, 25, paired their black heels with relatively conservative trousers and shirts.
Les aventures d'Euterpe