David COULON : Trouble passager. - Les Lectures de l'Oncle Paul
Auteur de deux romans, dont L’invasion des crapauds des profondeurs qui a obtenu un succès d’estime, Rémi Hutchinson galère pour écrire son troisième ouvrage. Il a quarante ans, une femme, un fils, et avait une fille, Mélissa. Avait, car la gamine a disparu cinq ans auparavant, à la sortie de l’école, montant à bord d’une voiture bleue au lieu de prendre le car scolaire, et depuis le restant de la famille gère le quotidien tout en gardant à l’esprit cette amputation familiale. Ils vivaient à Caucriauville, sur les hauteurs du Havre et ils ont déménagé près d’Yvetot, non loin de Rouen. Rémi essaie d’avancer sur son nouveau roman tandis que sa femme Lucie enseigne dans un lycée de la Vallée du Cailly.
Le blog de Claude LE NOCHER
Pour une fois, c'est la Science-Fiction d'autrefois qui est à l'honneur dans la rubrique Suspense Story, consacrée aux polars d'antan. Le premier titre évoqué est l'œuvre d'Herbert J.Campbell, auteur anglais né en 1925. Il fut l'un des rédacteurs en chef de la revue "Authentic Science Fiction" (1951-1957), et publia au moins quatorze romans (dont certains signés Roy Sheldon, pseudo collectif).
Polar blog
Noir comme polar : L'essentiel du polar
La lecture est un domaine très important dans l’apprentissage et le développement d’un enfant. C’est pour cela que la lecture est fortement recommandée même à partir d’un bas âge. Nous allons voir à travers ces quelques lignes les bienfaits de la lecture sur un enfant ainsi que quelques conseils qui encouragera votre enfant à lire régulièrement. Les avantages de la lecture sur un enfant D’abord, vous devez savoir que le fait de lire favorise le développement des compétences d’un enfant vu que cela impactera la zone la plus active dans son cerveau.
Le bûcher de Moorea (Patrice Guirao) - Polars urbains
Sans avoir d’idées préconçues, je ne partais pas dans le meilleur esprit en commençant Le bûcher de Moorea. Après tout, je suis plutôt dans le polar urbain et j’ai quelques réserves sur le roman « exotique » même s’il devient ici « noir azur ». Ce que me confirmèrent les premières lignes, dignes d’un prospectus touristique ou d’un roman sentimental : « Le ciel commençait à peine à regrouper ses étoiles.
Prix Biblioblog - Biblioblog
Cette année, le prix est attribué à : Et oui, vous avez bien lu, cette année ce sont deux romans qui obtiennent le Prix Biblioblog ! La Sérénade d'Ibrahim Santos de Yamen Manai et Le Premier été d'Anne Percin. Chacun de ces deux récits a remporté un franc soutien du jury des lecteurs-biblioblogueurs ou des internautes, à tel point qu'il était impossible de les départager. C'est donc avec beaucoup de plaisir que nous remettons cette année le prix Biblioblog 2012 à deux romans très différents, mais qui ont su déclencher l'enthousiasme des lecteurs. Merci au plus de 200 internautes qui ont voté cette année.
Pol'Art Noir - Du polar en général au roman noir en particulier
Accueil - L'Ours-Polar
Sommaire Portrait / interview Abasse Ndione, par Ch. Dupuis Achille Ngoye, par P. Maugendre Lakhadar Belaïd, par H. Artus Salah Guemriche, par H.
American Witches – Katia Campagne – LIVRESSE DU NOIR
Découvrir une nouvelle auteure, c’est toujours un grande excitation pour moi. Et à force de lire des polars et thrillers à longueur d’année, je sens vite quand je tiens un roman qui possède un petit « quelque chose » de plus que les autres, ce petit supplément d’âme que j’aime tant. American Witches est un excellent thriller d’atmosphère, une maîtrise impressionnante qui donne à penserqu’on lit un roman noir américain.Katia Campagne, retenez bien son nom ! La brume se lève rarement à Hinsdale, un bled isolé au milieu des forêts dans le Massachusetts.
POLAR
C’est tout le paradoxe de la Série Noire. En 1945, la collection que crée Marcel Duhamel chez Gallimard installe le polar dans le paysage littéraire. Elle fait connaître en France les Américains Dashiell Hammett, Raymond Chandler, Chester Himes, Horace McCoy ou James Cain.
Bal Masqué à Bekeland de Raphaël Confiant.
Ne cherchez aucun rapport avec la Compagnie créole et son Bal masqué doudouiste. Celui qui donne son titre au nouveau polar de Raphaël Confiant (Bal masqué à Bekeland), chantre ombrageux et pas toujours très nuancé d’une créolitude de combat, n’est pas une danse joyeuse mais un corps à corps électrique avec l’Autre, le Béké, le descendant des quelques centaines de colons blancs installés en 1635 sur la côte caraïbe de la Martinique. Confiant le radical, l’indépendantiste, souverainiste dit-on aujourd’hui, a choisi de donner un troisième tome aux aventures du détective privé Jack Teddyson pour explorer, et bien sûr dénoncer, l’univers très fermé des anciens maîtres esclavagistes devenus les principaux acteurs économiques et propriétaires fonciers de l’île alors qu’ils ne représentent qu’un pour cent de sa population.
