Pirates & Corsaires, Ecumeurs des Sept Mers Pirates et flibustiers célèbres Liste des pirates Ce célèbre pirate de l'océan indien est né en Angleterre prés de Plymouth en 1675. D'une famille de marin et son brevet de second en poche il s'embarque tout d'abord à bord d'un navire marchand. C'est après avoir montré son habileté à ce poste qu'on l'envoya à bord du Duke, toujours en qualité de second, en Espagne. C'est de là qu'il devait partir, avec un autre navire anglais (la Duchess) et de trois navires de guerre espagnols, faire la chasse aux contrebandiers français dans la mer des Antilles. C'est à ce moment qu'il résolut d'embrasser une carrière criminelle. La croisière d'Avery l'emmena jusqu'à Madagascar. Le grand Mogol rentra dans une rage folle en apprenant la nouvelle. Avery cependant n'entendait pas partager avec ses alliés les formidables trésors pris à cette occasion. Il s'arréta au passage (en 1695) à l'île Bourbon (la Réunion) pour y débarquer 70 pirates. Avery fit ensuite route vers les Amériques et accosta aux Bahamas. Voir ses pages. Ducasse Kidd
les diférente sorte de bateaux de pirates : - thepirate La barque: Un trois-mât de petite taille, rapide,mais,de conception plus imposante que le Sloop, la barque pouvait accuillir jusqu'à 90 hommes.L'armement consistait généralement en 12 canons. La barque avait l'aventage de pouvoir se glisser facilement entre les îles. Le brigantin: Le bribantin était l'un des plus gros navires utilisés par les pirates. La caravelle: Navire marchand à deux ou trois mâts ; pouvant mesurer jusqu'à 80 pied de long.Relativement large et peu armée, la caravelle se déplacait facilement et transportait une caraison importante. La frégate: Un des plus gros vaisseaux naviguant les caraibes.La frégate était un trois-mâts avec un gaillard d'avant et un gaillard d'arrière.Son équipage comptait 195 hommes, et son armement 22 a 28 canons .Pas mal non il et super ce bateau non ??? La jonque: Le sloop: Le schooner: Trés proche du sloop le schooner était un bateau aux lignes pures . Trois-mâts carré :
Laffite, Jean LAFFITE, Jean. Peut-être né en 1780 à Bayonne comme son frère aîné et associé, Pierre (1776 ? - 1841 ?), Jean Lafitte (1774 - 1858) était un pirate écumant le golfe du Mexique au début du XIXe siècle. Il a créé son propre Royaume de Barataria dans les marais et les bayous près de La Nouvelle-Orléans après l’achat de la Louisiane en 1803. Lafitte avait un caractère coloré. En 1806 (en fait Pierre est arrivé vers 1804, et Jean l’a rejoint en 1809), Jean et Pierre s’installent à Barataria près de la Louisiane récemment vendue par Napoléon aux Américains en novembre 1803. Jean Lafitte est l’amant d’une des femmes les plus belle de Louisiane, Catherine Villard (et son frère Pierre de Marie Villard, la sœur de Catherine, toutes deux métisses). En 1812, l’Angleterre rentre en guerre contre les jeunes États-Unis, trente ans après la guerre d’indépendance. Jean Lafitte commandais une centaine de bateaux avec 5000 hommes. Fin de vie Pierre décède d’une fièvre aiguë dans le Yucatán en 1821.
Chronologie : les dates clés de l’Histoire de l’esclavage pratiqué par la France 12 à 18 millions. C’est le nombre estimé d’Africains déportés depuis l’Afrique Subsaharienne vers les Amériques, entre le milieu du 17ème siècle et les années 1850. Si la pratique de l’esclavage n’est pas apparue avec les Européens, ce sont bien eux qui ont initié et organisé la traite transatlantique jusqu’à étendre le commerce des humains à des régions d’Afrique dont il était absent. Basé sur une idéologie éminemment raciste, le système esclavagiste est avant tout un commerce extrêmement lucratif, tant pour les négriers que pour l’État. la suite après cette publicité • 17e siècle : l’État encadre la traite négrière 1642 : Louis XIII autorise la traite des Noirs. 1672 : Une ordonnance royale encourage la traite privée en accordant aux négriers une prime de treize livres par « tête de nègre » importé des colonies. Mars 1685 : Louis XIV édicte le Code noir, qui réglemente la vie des esclaves dans les colonies françaises. 18e siècle : entre développement continu et éveil des consciences
La vie sur le Mississippi - Mark Twain Samuel Clemens, alias Mark Twain, emprunte son pseudonyme au vocabulaire du pilotin, métier qu'il exerça d'abord avant celui de journaliste, guidant de ces grandes barges dotées d'une roue et leur fret sur le fleuve Mississipi ; se frayant un passage, plutôt, faudrait-il dire, au gré des crus et des décrues d'un fleuve, alors encore capable d'engloutir une ville entière, et de redessiner le pays. La profondeur de deux brasses («mark twain») est une cote que gueule le guetteur, utile pour ne pas s'échouer sur un banc.Le chemin de fer relégua rapidement ces embarcations, si vitales au commencement. Mark Twain, bien que pionnier, en éprouve déjà la nostalgie quelques années plus tard. Lien :
Esclavage aux États-Unis Titre : United States slave trade, 1830. Par la suite, l'application des droits constitutionnels fut encore entravée dans les États du sud jusqu'aux années 1960, par les lois Jim Crow, et par les divers règlements légalisant différentes formes de ségrégation raciale. Dès ses débuts, l'esclavage aux États-Unis a connu une croissance provenant surtout des naissances sur le sol américain. Les historiens estiment que, en trois siècles, un total d'environ 400 000 Africains y ont été déportés pour y travailler comme esclaves[1] alors que leur population avoisinait 4 millions d'habitants lors de l'abolition en 1865. Introduction[modifier | modifier le code] Succédant à une forme de servitude temporaire — l’indenture —, un esclavage fondé sur le commerce de déportés africains s'institutionnalise progressivement, à un rythme variable selon les colonies, dans le dernier quart du XVIIe siècle, sous l’effet de décisions de justice et d'évolutions législatives. Origines[modifier | modifier le code]
guerre de l'Indépendance américaine Conflit armé qui opposa les treize colonies anglaises d'Amérique du Nord à l'Angleterre, d'avril 1775 à novembre 1782 et qui aboutit à la formation d'États unis indépendants. 1. Les treize colonies À l'origine, la première entreprise anglaise en Amérique du Nord fut celle de Walter Raleigh, en Virginie (1585-1589) ; elle n'eut pas de résultat immédiat, et la mise en valeur de ce pays ne commença vraiment qu'à partir de 1607. Quant à l'organisation politique, chaque colonie est administrée par un gouverneur nommé par le roi d'Angleterre, à l'exception de la Pennsylvanie, du Connecticut, du Rhode Island et du Maryland ; les colonies élisent des assemblées locales et se considèrent, dans une certaine mesure, comme autonomes. 2. 2.1. 2.2. Le conflit prend d'abord une tournure juridique lorsque la Grande-Bretagne décide, en 1765, de créer un impôt du timbre (institué par le Stamp Act) qui frappe toute espèce de publication ou de document à caractère juridique ou commercial. 2.3. 3. 3.1. 3.2.
Les premiers colons de l’ancienne Haïti et leurs attaches en métropole, à l’aube des premiers établissements (1650-1700) 1 Pierre Clément, Lettres, instructions et mémoires de Colbert, t. 3 II, 7 vols., Paris, Imprimerie i (...) 2 Médéric Louis Élie Moreau de Saint-Méry, Loix et Constitutions des colonies françoises de l’Amériqu (...) 3 Jean-Baptiste Dutertre, Histoire générale des Antilles habitées par les François, Paris, T. Jolly, (...) 1Le 26 mars 1670, Louis xiv écrit au gouverneur général des Isles de Baas la chose suivante : « La pensée que les habitants ont de retourner dans mon royaume ne se peut pas empêcher et il n’y aura que le temps qui dissipera cette espérance. 2Ces réflexions quant à l’utilité de sédentariser les colons sont directement liées au nombre de ceux-ci. Les engagés de trois ou quatre ans 4 Jean Tanguy, « Les premiers engagés partis de Nantes pour les Antilles (1636-1660) », 97e Congrès n (...) 5 Pierre François Xavier Charlevoix, Histoire de l’île espagnole ou de Saint-Domingue, Paris, J. 9 Pierre François Xavier Charlevoix, op. cit., p. 363. 15 ANOM : Col. 16 ANOM : Col C9 B1.
Joseph Saint Ange 6 Joseph Saint Ange 1 Réussir ses recherches historiques avant d’écrire Vous vous lancez dans l’écriture d’un récit historique ? Avant de jeter les premiers mots, mieux vaut faire quelques recherches. Voici 5 astuces pour vous aider. Tenté par l’écriture d’un roman historique ? Utilisez des sources primaires Par opposition aux sources secondaires, comme un livre d’histoire, les sources primaires sont directement issues de la période historique qui vous intéresse. Egarez-vous Les recherches ne sont jamais simples. Plongez-vous dans l’époque Il est nécessaire que vous utilisiez dans votre récit les mots et la syntaxe de l’époque à laquelle il fait référence. Lisez plus qu’une seule biographie Si l’un de vos personnages est un personnage historique réel, ne lisez pas qu’une seule de ses biographies. N’oubliez pas les détails La plupart de ce que vous lirez au cours de vos recherches n’apparaîtra pas directement dans votre récit.
Enquêter avant d’écrire Un plan d’action simple et efficace à découvrir avant de partir enquêter dans le « vrai monde »… On peut trouver un grand nombre d’informations sur Internet. Tout en restant chez soi, on peut ainsi partir à la découverte de la planète : une plage de Bora Bora, la basilique Saint Pierre de Rome, le musée du Louvre… Mais Internet peut également être source d’erreurs. Difficile par exemple de décrire un métier que l’on ne connaît pas en utilisant le Web comme seule source de renseignements. Dans ce cas, mieux vaut partir enquêter dans le « vrai monde ». Identifiez vos besoins Avant de vous lancer, vous devez d’abord identifier les informations dont vous avez besoin. Trouvez le contact idéal Vous pensez qu’il est difficile de trouver une personne qui répondra à vos questions ? Utilisez vos 5 sens Une fois que vous êtes avec votre « informateur » dans le lieu qui vous intéresse, l’erreur serait de vous focaliser uniquement sur ce que votre interlocuteur vous raconte. Traiter vos informations