Victory Program Le V dépend de moi. L'industrie de l'armement américaine a associé le V de la Victoire avec une hausse des cadences permettant de l'atteindre, à grand renfort de communications à l'adresse du public. Annoncé par un discours du président des États-Unis Franklin D. Roosevelt le 6 janvier 1942, le Victory Program (« Programme de la victoire ») est un plan d'économie de guerre destiné à permettre à l'économie américaine de devenir « l'arsenal des Alliés » durant la Seconde Guerre mondiale en produisant des quantités croissantes de matériel de guerre. Roosevelt confie à son Ministre de la Guerre Henry Stimson le soin de le concrétiser. Le Programme de la victoire résulte d'une volonté antérieure de la Présidence américaine de préparer, dès le 9 juillet 1941, un plan pour les « besoins globaux de production nécessaires pour vaincre nos ennemis potentiels ». Une planification pour abattre l'Allemagne nazie[modifier | modifier le code] Fabrication de masse[modifier | modifier le code]
2e GUERRE MONDIALE "Paris outragée, Paris brisée, Paris martyrisée ! Mais Paris libérée !" - Dossier Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Bienvenue ! {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *} {* /signInForm *} Votre compte a été désactivé Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}{* /resendVerificationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter {* #socialRegistrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} En cliquant sur "Créer un compte", vous confirmez que vous acceptez nos conditions générales et que vous avez lu et approuvé la politique de protection de données personnelles.{* /socialRegistrationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l'adresse suivante {* emailAddressData *}. Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe {| moreInfoText |}
Culture - Femmes en Résistance : "Beaucoup d'entre elles ne sont pas passées à la postérité" JiveEpic #ZAYN en couverture du prochain numéro de @complex. #MindOfMine Le printemps est arrivé !!! Télérama Jusqu'à demain, c'est le printemps du cinéma, et toutes les séances sont à 4 euros. Porto Latino Vous aussi partagez vos souvenirs des éditions précédentes du #festival avec le hashtag #portolatino#regram #remember #revival #goodtimes 4 h Charlize Theron toujours aussi belle pour J'adore de @dior. 6 h
Mémorial de la Shoah L’EFFORT DE GUERRE ALLIE Dossiers Apocalypse - TV5MONDE Agrandire Rétrecir Avant même leur entrée en guerre, les Etats-Unis s’engagent dans une production intensive de matériel militaire ; en quelques mois, ils deviennent, avec le Canada, « l’arsenal des démocraties ». Le Victory Program : un défi pour l’industrie américaine Lancé en janvier 1942 par le Président Roosevelt, le Victory Program entraîne les Etats-Unis dans une production de matériel militaire jamais égalée. Les industries convertissent leur production : Ford et Chrysler interrompent leur fabrication d’automobiles pour les particuliers au profit de l’assemblage d’avions, de chars et d’automitrailleuses. L’Angleterre aussi ! Malgré les bombardements allemands, le Royaume-Uni a lui aussi redéployé son industrie dans une production intensive de matériel militaire. La standardisation C’est dans le domaine de la construction navale que la standardisation est poussée à son maximum. Le Liberty ship L’effort de guerre soviétique « Buy war bonds » : l’effort de guerre des civils
France5 - SHOAH - Résistance et libération : La résistance LA RESISTANCE Durant la guerre, des juifs el des non-juifs résistèrent aux nazis, dans toute l'Europe occupée. Ces combattants résistants, appelés des partisans, volaient des armes, faisaient sauter des voies ferrées et tendaient des embuscades aux soldats allemands. Des juifs réussirent à s'échapper des ghettos et des camps de concentration pour se cacher ou rejoindre la Résistance. La résistance juive aux nazis s'accrut à mesure que les déportations s'intensifiaient et que les rumeurs de l'existence des camps de la mort atteignaient les ghettos. Dans plusieurs d'entre eux, des révoltes éclatèrent : l'insurrection du ghetto de Varsovie fut la plus célèbre. En avril 1943, les troupes allemandes encerclèrent le ghetto de Varsovie, dans le but de rassembler tous les juifs restants, mais ceux-ci ripostèrent. Des révoltes éclatèrent aussi dans les camps de la mort.
Un village français dans les mémoires de la France sous l’Occupation Entretien croisé Henry Rousso/Pierre Laborie par Sébastien Ledoux édité par Bruno Doguet Sébastien Ledoux : Auteur et coproducteur de la série télévisée, Frédéric Krivine a présenté la diffusion d’Un village français comme la transmission aux Français d’une nouvelle page de la mémoire de l’Occupation, plus apaisée et plus proche de la réalité historique. Il déclarait ainsi dans un entretien que « les Français dans leur majorité ont certainement été beaucoup plus attentistes et accommodants qu’on ne le disait en 45-70, et beaucoup moins pétainistes et passifs qu’on ne l’a dit depuis Ophuls et Paxton(1) ». Que pensez-vous de cette présentation ? Pierre Laborie : Si l’on croit possible de qualifier en une ou deux phrases ce que furent pour les Français quatre ans d’humiliation, de désarrois, de déchirements, d’abattements, de deuils, mais aussi d’espoir et de fidélités chevillées, on peut souscrire à la déclaration de Frédéric Krivine. Pierre Laborie : Le « retour au premier plan » (?)
Actualité - Résistance et Déportation dans la vallée du Rabodeau Devoir de mémoire: anatomie du «plus grand mythe démocratique» «La mémoire constitue sans nul doute le grand mythe contemporain des sociétés démocratiques modernes, une forme de conjuration contre la répétition des catastrophes de l’histoire récente dont on commence à voir les limites.» Henry Rousso brise ici le leitmotiv selon lequel se souvenir de son passé permet d’éviter sa répétition. Il paraît en effet difficile de contredire l’auteur puisqu’en 1994-1995, au moment où Jacques Chirac s’apprête à reconnaître la responsabilité de l’État français dans la déportation, le Rwanda et l’ex-Yougoslavie connaissent des situations de génocide. L’ouvrage se présente sous la forme d’un recueil d’articles. L’anamnèse de la Shoah Pour Henry Rousso, la mémoire demeure essentiellement victimaire car sa conception s’est forgée en grande partie à travers le cas de la Shoah. Plus tard, le monde politique investit le champ de la mémoire. Le lecteur sourira au sous-titre «Nicolas Sarkozy et le marketing mémoriel». Un historien face à ses travaux