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1300 fois le diamètre du Soleil pour l'étoile HR5171

1300 fois le diamètre du Soleil pour l'étoile HR5171
CITRON. Le Très Grand Téléscope de l’ESO (VLT) vient de faire une observation des plus gigantesques : une étoile, jaune comme un citron, la plus grosse en son genre dénichée à ce jour dans la galaxie ! Son nom : HR 5171. Les hypergéantes jaunes sont très rares ÉTOILES. Damien Hypolite pour Sciences et Avenir. Ces étoiles figurent parmi les plus grosses et les plus brillantes. TELESCOPE. Un diamètre 1300 fois supérieur à celui du soleil Le diamètre de HR 5171, nettement supérieur à ce qui était attendu par les astronomes, équivaut à 1300 fois celui du Soleil. “Une énorme cacahuète” BINAIRE. VIDEO de L’ESO (vue d'artiste représentant le couple d'étoile) : Le composant de taille inférieure passe devant puis derrière celui de dimension supérieure. HR 5171 est observable à l'oeil nu OBSERVATION. L'étoile hypergéante jaune HR 5171 est située dans la constellation du Centaure ÉVOLUTION.

Super star-maker This artist’s illustration shows what the central galaxy of the Phoenix cluster might look like. The small blue dots represent new stars forming. NASA.gov The recently discovered Phoenix cluster is a big deal. One would expect the cluster to produce fewer than one star per year. Phoenix can make so many stars because its core is so cold. Stars form from clouds of gas. Whatever the reason, gas near this black hole can cool off and form star-building clumps at a rapid rate. “Stars are forming at a much higher rate than we’ve seen before in any of these galaxies,” says astrophysicist Martin Rees at the University of Cambridge in England. McDonald and his colleagues studied the cluster using the South Pole Telescope, a giant radio dish that stares into space from the bottom of the world. “It’s kind of the boss galaxy,” McDonald told Science News. That central galaxy holds the black hole. “I think something around 100 million years is reasonable,” McDonald said. Power Words

Les podcasts de Ciel et Espace À la une Nos dernières émissions New Horizons en approche: premier décryptage Système solaire L\'humanité s\'apprête à découvrir un nouveau monde! Pluton n\'a encore jamais été visitée. Une carte de la qualité du ciel nocturne Terre Où est passée la Voie lactée, cette majestueuse traînée d'étoiles que l'on pouvait observer dans le temps, dit-on, jusqu'au coeur des villes ? La preuve de l'inflation cosmologique enfin découverte ? Univers Une équipe de chercheurs américains vient de déceler la trace de l'inflation, un épisode extraordinaire de la vie de l'univers, dans son rayonnement fossile. Les grands cratères d'impact dans le monde Système solaire On en compte près de 180 sur la Terre. Mission Rosetta : se poser sur une comète Les partenaires : Système solaire Elle a rendez-vous avec une comète ! Dernières nouvelles d'Ison : péripéties au périhélie Dans les galaxies, les étoiles naissent sous perfusion L'aventure de Gaia, cartographe de la Galaxie (1/3)

Incroyable spirale de matière autour de l'étoile R. Sculptoris Le réseau d'antennes Alma a découvert une curieuse spirale de matière qui s'échappait de l'étoile géante rouge R. Sculptoris. © Alma, ESO, NAOJ, NRAO Incroyable spirale de matière autour de l'étoile R. Sculptoris - 2 Photos Découvrez le ciel profond en image C'est la première fois qu’on observe une spirale de matière s'échappant d'une étoile de type géante rouge, avec une enveloppe sphérique extérieure. L'existence de cette structure spirale laisse penser qu'il y a probablement une étoile compagnon invisible en orbite autour de l'étoile. Éjectant de grandes quantités de matière, les géantes rouges comme R. Image à grand champ du ciel autour de l’étoile géante rouge R. Les précédentes observations de l'étoile R. À la fin de leur vie, les étoiles ayant une masse jusqu'à huit fois celle du Soleil deviennent des géantes rouges et perdent une grande quantité de leur masse dans un vent stellaire dense. « Dans un futur proche, les observations d'étoiles comme R. A voir aussi sur Internet

cnes Directeur de publication : Jean-Yves Le Gall, Président Responsable éditorial : CNES - Direction de la communication Externe - 2 place Maurice Quentin 75001 ParisContent Management System : DrupalCréation graphique : Fabien Huet, Wax-oHébergeur : CNES - Direction du système d'information – 18, avenue Edouard Belin 31401 Toulouse cedex 9Pour nous contacter, veuillez utiliser le formulaire : L’accès et l’utilisation du site Internet du CNES sont régis par les dispositions des présentes conditions générales d’utilisation. A cet égard, en accédant ou utilisant le site Internet du CNES, l’utilisateur est automatiquement lié par ces conditions générales d’utilisation, et toute éventuelle modification successive effectuée par le CNES à sa seule discrétion et sans avis préalable. Ces conditions générales d’utilisation sont régies et interprétées conformément au droit français. Responsabilité Confidentialité Liens cookies Droits de propriété intellectuelle

eso1032fr - Regarder une explosion stellaire en 3D eso1032fr — Communiqué de presse scientifique 4 août 2010 En utilisant le très grand télescope (VLT) de l’ESO, des astronomes ont obtenu pour la première fois une image en trois dimensions de la distribution de la matière la plus profonde expulsée par une étoile récemment explosée. D’après les nouveaux résultats, l’explosion originelle n’a pas seulement été puissante. Contrairement au Soleil, dont la mort sera plutôt douce, les étoiles massives qui arrivent à la fin de leur courte vie explosent en supernovae en éjectant une importante quantité de matière. SN 1987A a été une aubaine pour les astrophysiciens (eso8711 et eso0708). Les nouvelles observations, en utilisant un instrument unique, SINFONI [1], sur le VLT de l’ESO ont fourni des informations encore plus approfondies sur cet événement exceptionnel puisque les astronomes sont maintenant capables d’obtenir la toute première reconstruction en 3D de la partie centrale de la matière ayant explosé. Notes Plus d'informations Liens Contacts

1242fr - 84 millions d'étoiles et ce n’est pas terminé … eso1242fr — Communiqué de presse photo VISTA réalise le plus grand catalogue du centre de notre galaxie 24 octobre 2012 C'est en utilisant une gigantesque image, de neuf gigapixels, du télescope infrarouge VISTA situé à l'Observatoire de Paranal de l'ESO qu'une équipe internationale d'astronomes a constitué un catalogue de plus de 84 millions d'étoiles peuplant les zones centrales de la Voie Lactée. « En observant dans le détail les myriades d'étoiles entourant le centre de la Voie Lactée, nous pouvons avancer notablement dans la compréhension de la formation et de l'évolution, non seulement de notre galaxie, mais également des galaxies spirales en général » explique Roberto Saito (Pontificia Universidad Católica de Chile, Universidad de Valparaíso et The Milky Way Millennium Nucleus, Chili), auteur principal de l'étude. « Chaque étoile occupe une zone particulière du diagramme à un moment précis de sa vie. Notes Plus d'informations L'équipe est composée de R. Liens Contacts

Une étoile "impossible" intrigue les astrophysiciens La naine SDSS J102915+172927 située dans notre galaxie, la Voie lactée, a été observée à l’aide du Very Large Telescope de l’ESO. Un peu moins massive qu’un soleil et probablement âgée de plus de 13 milliards d’années, elle se distingue par sa très faible teneur en éléments chimiques lourds, synthétisés après le Big Bang. La composition chimique de l’astre est dominée par les éléments primordiaux hydrogène et hélium. © ESO/DSS2/Observatoire de Paris Une étoile "impossible" intrigue les astrophysiciens - 1 Photo Tout savoir sur les étoiles avec notre dossier complet Les étoiles de première génération sont nées au cours des premières centaines de millions d’années après le Big Bang, c'est-à-dire à partir du gaz laissé par la nucléosynthèse primordiale. Les astrophysiciens ont une étrange manie : pour eux, tous les éléments autres que l’hydrogène et l’hélium sont des métaux. Une étoile de magnitude 17 dans le halo Seulement 0,00007 % d'éléments lourds L'énigmatique « étoile de Caffau »

La naissance des étoiles Un nuage moléculaire géant est un nuage dense - à l'échelle cosmique - de gaz et de poussières qui va être assez froid pour permettre à des molécules plus ou moins complexes de se former. La température d'un tel nuage est typiquement de l'ordre de 15K, soit -258°C. Ce nuage possède une masse totale comprise entre 100.000 et quelques millions de masses solaires. Il est composé en grande partie d'hydrogène, mais il contient aussi des molécules organiques complexes à base de carbone. Un exemple proche se trouve dans la nébuleuse d'Orion : M42 n'est qu'à 1500 années lumière de nous. Source : NASA / HST Suite à un événement externe, par exemple l'onde de choc d'une étoile proche qui explose, ou l'onde de densité d'un bras spiral de la galaxie où il se trouve, des fragments de ce nuage vont commencer à se condenser dans des régions appelées 'objets de Barnard' et 'globules de Bok'. En continuant à se condenser sous l'effet de la gravitation, le gaz des protoétoiles va se réchauffer.

Vue synoptique des classes spectrales Le tableau ci-dessous récapitule un certain nombre de caractéristiques des étoiles, ainsi que leur abondance relative dans notre galaxie. Les paramètres de masse, rayon et luminosité des étoiles sont exprimés relativement aux valeurs du Soleil. Ces paramètres ne s'appliquent qu'aux étoiles de la séquence principale, pas aux étoiles supergéantes. La classe spectrale n'étant définie qu'à partir de la température de surface de l'étoile, ce tableau ne peut donc définir qu'un seul point dans le diagramme de Hertzprung-Russel. La classe W correspond aux étoiles de Wolf-Rayet. (1) La durée de vie estimée de l'univers étant inférieure à 20 Milliards d'années, aucune étoile de classe K ou M n'est déjà morte. (2) Ces étoiles sont souvent des étoiles variables, susceptibles de grossir jusqu'à 1000 rayons solaires dans les cas extrêmes. L'immense majorité des étoiles est constituée de petites étoiles de classe M ou K. Références :

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