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Darknet

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Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un darknet (parfois appelé réseau friend-to-friend (F2F) : ami à ami) est un réseau privé virtuel dont les utilisateurs sont considérés comme des personnes de confiance. La plupart du temps, ces réseaux sont de petite taille, souvent avec moins de dix utilisateurs chacun. Les darknets sont distincts des autres réseaux pair à pair distribués car le partage y est anonyme (c'est-à-dire que les adresses IP ne sont pas partagées publiquement) et donc les utilisateurs peuvent communiquer avec peu de crainte d'interférence gouvernementale ou d'entreprise[1]. Le terme darknet ne doit pas être confondu avec « Deepnet » lequel signifie web profond. « Darknet » ne doit pas non plus être confondu avec le néologisme « darkweb »[3],[4]. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme a depuis été réutilisé dans les médias, par exemple The Economist, Wired magazine et Rolling Stone ; c'est aussi le titre d'un ouvrage de J. Annexes[modifier | modifier le code] Related:  Darknet

La vie privée, un problème de vieux cons ? Le livre En résumé : La vie privée, un problème de « vieux cons » ? (le livre) peut donc être commandé sur Amazon, la Fnac, l'AppStore (pour iPhone & iPad), et dans toutes les bonnes librairies... Depuis que j'ai écrit cet article intitulé La vie privée, un problème de vieux cons ?, en mars 2009, je ne compte plus le nombre de gens qui sont persuadés d'être des "vieux cons", alors que non : la vie privée, ce n'est pas un problème de "vieux cons", la preuve : jamais on en avait autant parlé que depuis que l'internet est arrivé. A contrario, depuis que j'ai aussi écrit Vie privée : le point de vue des “petits cons”, je ne compte plus le nombre de gens qui m'ont remercié d'avoir ainsi décrit ce que les internautes vivent et sont, au-delà des clichés dont ils sont affublés... mais qui n'ont pas forcément pour autant pris la mesure de la "société de surveillance" qui, pour le coup, attente gravement à nos libertés. Et ça s'appelle donc bien évidemment La vie privée, un problème de « vieux cons » ?

Qwant, Firefox, Framasoft... : découvrez la liste des alternatives à Google recommandées par le gouvernement Qwant, Firefox, Framasoft… les alternatives aux services de Google et plus largement aux GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft) existent. Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’Etat chargé du numérique du gouvernement, propose désormais sur le site officiel numerique.gouv.fr une liste d’alternatives aux services des géants américains. La suite gratuite des applications et services officiels de Google, GitHub, Facebook, iCloud, ou encore Microsoft OneDrive… on trouve sur internet quantité de plateformes extrêmement bien conçues pour améliorer sa productivité, chercher des informations pertinentes, faire du travail collaboratif, ou encore communiquer avec ses proches. Le problème, c’est que depuis longtemps, ces plateformes – toutes américaines – sont montrées du doigt pour la manière dont elles utilisent les données personnelles de leurs utilisateurs. Jusqu’à il y a encore peu, il n’existait pas vraiment d’alternative qui tienne la comparaison aux services des GAFAM. WeKan Agenda

Web profond Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec darknet. Ne pas confondre[modifier | modifier le code] Ressources profondes[modifier | modifier le code] Les robots d'indexation sont des programmes utilisés par les moteurs de recherche pour parcourir le web. On peut classer les ressources du web profond dans une ou plusieurs des catégories suivantes : contenu dynamique ;contenu non lié ;contenu à accès limité ;contenu de script ;format non indexable. Voir aussi la section raisons de la non-indexation qui donne plus de précision. Taille[modifier | modifier le code] Une étude de juillet 2001 réalisée par l'entreprise BrightPlanet[1] estime que le web profond pouvait contenir 500 fois plus de ressources que le web indexé par les moteurs de recherche. En 2008, le web dit « invisible » non référencé par les moteurs de recherche représente 70 à 75 % de l'ensemble, soit environ un trilliard de pages non indexées[2]. Web opaque[modifier | modifier le code] Portail d’Internet

10 outils de résistance aux GAFAM Alors que 87 millions de comptes Facebook ont vu leurs données siphonnées par Cambridge Analytica, la question de l'utilisation et la protection des informations que nous fournissons chaque jour sur internet reste d'actualité. We Demain vous propose 10 alternatives sécurisées aux GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft). Parmi elles, Telegram, dont Moscou vient de demander le blocage... car l'entreprise refusait de communiquer au FSB les clefs permettant de lire les messages envoyés par ses utilisateurs ! Retrouvez notre dossier complet dans We Demain n°21. À LIRE AUSSI : Cambridge Analytica : Facebook pourrait devenir plus transparent, payant... ou être démantelé À lire aussi Alors que 87 millions de comptes Facebook ont vu leurs données siphonnées par Cambridge Analytica, la question de l'utilisation et la protection des informations que nous fournissons chaque jour sur internet reste d'actualité.

The 7 Privacy Tools Essential to Making Snowden Documentary CITIZENFOUR What needs to be in your tool belt if you plan to report on a massively funded and ultra-secret organization like the NSA? In the credits of her newly released CITIZENFOUR, director Laura Poitras gives thanks to a list of important security resources that are all free software. We've previously written about CITIZENFOUR and Edward Snowden's discussion of his motivation to release closely guarded information about the NSA. Tor Tor is a collection of privacy tools that enables users to mask information about who they are, where they are connecting to the Internet, and in some cases where the sites they are accessing are located. Tails One of the most robust ways of using the Tor network is through a dedicated operating system that enforces strong privacy- and security-protective defaults. SecureDrop Also from the Freedom of the Press Foundation comes SecureDrop, a whistleblower submission system designed for journalists who wish to protect the anonymity of their sources. GPG Encryption

Banque de ressources libres de droit Quand il est question d’illustrer un cours, une présentation ou un média scolaire, il peut être long et fastidieux de récolter les ressources nécessaires. Voici un petit aperçu de quelques banques d’images, photographies, sons & musique ou encore vidéo libres de droits qui peuvent être utilisées. Du côté des images CC0 | Détails Pexel est une galerie collaborative regroupant une large collection de photographies d’illustrations disponible dans le domaine public. CC0 | Détails Public Domain Archive est une collection photographique assez large dont le nom se veut explicite. Freepik propose une large galerie de photos, dessins, design, vecteurs, etc libre de droit... CC0 | Détails Pixabay propose, tout comme la ressource précédente, une collection de photos, vecteurs et dessins le tout dans le domaine public. La boîte à musique CC 4.0 | Détails et affichage par licence Au bout du fil regroupe une collection de musiques de différents artistes. CC0 | Détails CC BY 3.0 | Détails CC BY | Détails

This is what a Tor Supporter looks like: Laura Poitras The first thing that Laura Poitras has to say about Tor is that she couldn’t have made Citizenfour without it. “There’s no way I would have been able to protect the initial source without using Tor,” she says. “Fundamentally, without Tor and other free software tools I wouldn’t have been able to do the reporting, and the story would not have been broken.” Laura also recalls her own learning process around encryption that allowed her to communicate easily with Snowden when he first contacted her. She references her first exchange with Snowden that dramatically shifted her methods of communication. “He contacted me through Micah Lee initially,” she recalls. Laura is heartened by feedback she has received that Citizenfour, by so compellingly telling Snowden’s story, has helped make mass surveillance a topic for public debate. “Before Snowden, as a journalist, I knew that I had to be careful, but didn’t quite know how to protect myself,” she remembers. Donate to Tor Today!

Se protéger en ligne c’est cybersimple ! Making Connections to Facebook more Secure Actualités du numérique - Le référentiel CNIL de formation des élèves à la protection des données personnelles Pourquoi un référentiel international de formation à la protection des données ? À l'ère numérique, l'éducation à un usage citoyen, responsable et éthique des nouvelles technologies constitue une priorité d'action, tout particulièrement auprès des jeunes en âge scolaire.La protection des données et de la vie privée constitue un volet clé de l'éducation au numérique. En ce sens, les personnels éducatifs ont un rôle essentiel à jouer dans cette éducation citoyenne au numérique.Acquérir une connaissance et une compréhension critiques de droits et responsabilités numériques, développer auprès des jeunes une démarche réflexive sur les usages qui sont faits des données personnelles, sensibiliser sur les risques et enseigner les pratiques permettant de se mouvoir dans l'environnement numérique avec confiance, lucidité et dans le respect des droits de chacun : tels sont en effet les objectifs de formation à atteindre. Pourquoi ? À propos du référentiel Les 9 domaines structurants

Who uses Tor? Tor was originally designed, implemented, and deployed as a third-generation onion routing project of the Naval Research Laboratory. It was originally developed with the U.S. Navy in mind, for the primary purpose of protecting government communications. Today, it is used every day for a wide variety of purposes by the military, journalists, law enforcement officers, activists, and many others. Here are some of the specific uses we've seen or recommend. We need your good Tor stories! Normal people use Tor They protect their privacy from unscrupulous marketers and identity thieves. Journalists and their audience use Tor Reporters without Borders tracks Internet prisoners of conscience and jailed or harmed journalists all over the world. Law enforcement officers use Tor Online surveillance: Tor allows officials to surf questionable web sites and services without leaving tell-tale tracks. Activists & Whistleblowers use Tor High & low profile people use Tor Business executives use Tor Tor Tip

Tor and HTTPS Click the "Tor" button to see what data is visible to eavesdroppers when you're using Tor. The button will turn green to indicate that Tor is on.Click the "HTTPS" button to see what data is visible to eavesdroppers when you're using HTTPS. The button will turn green to indicate that HTTPS is on.When both buttons are green, you see the data that is visible to eavesdroppers when you are using both tools.When both buttons are grey, you see the data that is visible to eavesdroppers when you don't use either tool.Potentially visible data includes: the site you are visiting (SITE.COM), your username and password (USER/PW), the data you are transmitting (DATA), your IP address (LOCATION), and whether or not you are using Tor (TOR).

On the Internet, nobody knows you're a dog Peter Steiner's cartoon, as published in The New Yorker History[edit] Peter Steiner, a cartoonist and contributor to The New Yorker since 1979,[5] said the cartoon initially did not get a lot of attention, but that it later took on a life of its own, and he felt similar to the person who created the "smiley face".[1] In fact, Steiner was not that interested in the Internet when he drew the cartoon, and although he did have an online account, he recalled attaching no "profound" meaning to the cartoon; it was just something he drew in the manner of a "make-up-a-caption" cartoon.[1] In response to the comic's popularity, he stated, "I can't quite fathom that it's that widely known and recognized Context[edit] The cartoon marks a notable moment in the history of the Internet. The cartoon symbolizes an understanding of Internet privacy that stresses the ability of users to send and receive messages in general anonymity. In popular culture[edit] See also[edit] References[edit] Further reading[edit]

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